@Suzi Lee Ben de base je dirais que non. 
Veille permanente décroissance / écologie
- Initiateur de la discussion Búho
- Date de début
@Suzi Lee
J'aurais tendance à dire que ca dépend de quel point de vue tu regardes. Je ne suis pas du tout une experte du sujet alors si je dis des bêtises, dites-le moi.
Tu peux comparer :
- le nombre d'individus de chaque espèce,
- la grosseur,
- leur apparition sur Terre,
- la sentience,
- le sentiment d'appartenance à une espèce/un groupe,
- les capacités d'interraction sociales,
- les réseaux trophiques,
- ....
Donc pour moi non, on ne peut pas hiérarchiser globalement les espèces.
J'aurais tendance à dire que ca dépend de quel point de vue tu regardes. Je ne suis pas du tout une experte du sujet alors si je dis des bêtises, dites-le moi.
Tu peux comparer :
- le nombre d'individus de chaque espèce,
- la grosseur,
- leur apparition sur Terre,
- la sentience,
- le sentiment d'appartenance à une espèce/un groupe,
- les capacités d'interraction sociales,
- les réseaux trophiques,
- ....
Donc pour moi non, on ne peut pas hiérarchiser globalement les espèces.
Après le Brésil, la Chine 
Ça fait vraiment peur, tu as complètement raison 
En terme de civilisation, de culture, de philosophie, de compréhension d'idées abstraites, de stratégie, et même notre capacité à dominer un environnement qui nous est défavorable (genre, l'Antarctique, l'espace, ou le fond des océans) par l'utilisation d'outils (ce qui nécessite savoir, intelligence, adaptation et prévoyance) sont pour moi les critères selon lesquels notre espèce est supérieure aux autres. J'avais déjà aborder ce point, de loin, précédemment, et je m'attendais à ce que ça coule de source. Maintenant, il y a eu un problème de communication, donc je détaille.
Maintenant, si ton critère c'est la vitesse de course, ou la capacité à survivre à une explosion nucléaire, le guépard et le cafard te battent à plate couture.
Les critères que j'évoque au-dessus sont évidemment des critères d'avancement technologique et culturel, et c'est uniquement en ça que l'Homme est supérieur. Si on regarde par rapport à des critères biologiques, nous sommes des guimauves, c'est tout.
Encore une fois, ça me semblait tellement évident que je n'ai pas pris la peine d'expliquer. D'où l'incompréhension de certaines ci-dessus.
Je pars un après-midi de l'internet mondial et tant de haine à mon retour, pourquoi ? 
(et juste moment troll... sérieusement, citer Interstellar comme référence ? j'ai beaucoup rigolé, désolé 
)
Je ne pense pas non plus qu'on puisse hiérarchiser les espèces, fin trop de critère différent, une vitesse d'évolution différente (selon moi en tout cas, je ne trouve en rien l'homme supérieur à d'autre espèce bien au contraire, mais si on parle de supériorité au vu de notre technologie... je me dis juste qu'on a évoluer plus rapidement, je vois ça un peu comme les révolutions industrielles, en France c'était au XIXe, mais dans d'autre pays c'est encore très récent, ça ne ce fait pas partout à la même vitesse c'est tout, enfin ce n'est que mon point de vu).
Pour le débat sur le fait d'avoir des enfants (ouais je réponds grave à a bourg), je n'en ai jamais vraiment eu envie, mais si je devais en avoir, mon option pour le moment serait l'adoption aussi. Je ne vois pas pourquoi je ferais un enfant alors que d'autre attendent, après pareil ce n'est que mon point de vu, fin j'ai jamais réussi à voir le côté "hyper cool" (je sais pas comment dire d'autre dsl) de donner la vie, je ne suis pas sensible à ça, après je peux comprendre que pour d'autre personnes ça soi très important, et je respecte leurs opinions ^^
@Tusaistousser Je suis exactement dans le même cas de questionnement en ce moment. Je trouve vraiment que je fais pas assez, et j'aimerais faire plus, mais je sais pas soit j'ai besoin d'y aller progressivement, soit j'ai l'impression de ne pas faire les efforts qu'il faut pour m'informer et faire plus de chose. Puis surtout je ne sais pas si c'est le même cas pour toi, mais je ne me sens pas du tout soutenu, et parfois je manque de confiance en moi, et j'ai besoin qu'on me soutienne (d'ailleurs ça me fait beaucoup de bien de vous lire
), fin la je vois je commence dans le végétarisme, et ma mère me suit sans problème, mais à côté j'ai tout les commentaires de ma sœur, qui empire puisqu'on arrive à noël et que misère je ne vais pas forcement manger la même chose qu'eux du coup c'est plus "vraiment noël".... fin sinon c'est que de la bouffe ca va x) J'essaye de lui expliquer des choses simples sur l'écologie mais non, même le tri sélectif elle veut pas le faire, juste par qu'elle a la flemme et que soi disant je suis la seule personne en centre-ville à faire ça 
Enfin bref, mine de rien me prendre plein de réflexion dans la tronche ça commence à m'atteindre (avant je m'en prenais plein la gueule sur le féminisme au moins ça change). Et du coup à te lire et le topic en général ca me remonte le moral, et me donne envie de faire plus, de me dépasser pour mes envies, mes idées.
Et rien à voir, mais normalement dans ma ville on peut par immeuble faire installer un composteur, du coup va falloir que je me renseigne d'avantage, et voir si mes voisins sont tentés, ça serait vraiment cool d'en avoir un
(et juste moment troll... sérieusement, citer Interstellar comme référence ? j'ai beaucoup rigolé, désolé )Je ne pense pas non plus qu'on puisse hiérarchiser les espèces, fin trop de critère différent, une vitesse d'évolution différente (selon moi en tout cas, je ne trouve en rien l'homme supérieur à d'autre espèce bien au contraire, mais si on parle de supériorité au vu de notre technologie... je me dis juste qu'on a évoluer plus rapidement, je vois ça un peu comme les révolutions industrielles, en France c'était au XIXe, mais dans d'autre pays c'est encore très récent, ça ne ce fait pas partout à la même vitesse c'est tout, enfin ce n'est que mon point de vu).
Pour le débat sur le fait d'avoir des enfants (ouais je réponds grave à a bourg), je n'en ai jamais vraiment eu envie, mais si je devais en avoir, mon option pour le moment serait l'adoption aussi. Je ne vois pas pourquoi je ferais un enfant alors que d'autre attendent, après pareil ce n'est que mon point de vu, fin j'ai jamais réussi à voir le côté "hyper cool" (je sais pas comment dire d'autre dsl) de donner la vie, je ne suis pas sensible à ça, après je peux comprendre que pour d'autre personnes ça soi très important, et je respecte leurs opinions ^^
@Tusaistousser Je suis exactement dans le même cas de questionnement en ce moment. Je trouve vraiment que je fais pas assez, et j'aimerais faire plus, mais je sais pas soit j'ai besoin d'y aller progressivement, soit j'ai l'impression de ne pas faire les efforts qu'il faut pour m'informer et faire plus de chose. Puis surtout je ne sais pas si c'est le même cas pour toi, mais je ne me sens pas du tout soutenu, et parfois je manque de confiance en moi, et j'ai besoin qu'on me soutienne (d'ailleurs ça me fait beaucoup de bien de vous lire
), fin la je vois je commence dans le végétarisme, et ma mère me suit sans problème, mais à côté j'ai tout les commentaires de ma sœur, qui empire puisqu'on arrive à noël et que misère je ne vais pas forcement manger la même chose qu'eux du coup c'est plus "vraiment noël".... fin sinon c'est que de la bouffe ca va x) J'essaye de lui expliquer des choses simples sur l'écologie mais non, même le tri sélectif elle veut pas le faire, juste par qu'elle a la flemme et que soi disant je suis la seule personne en centre-ville à faire ça Enfin bref, mine de rien me prendre plein de réflexion dans la tronche ça commence à m'atteindre (avant je m'en prenais plein la gueule sur le féminisme au moins ça change). Et du coup à te lire et le topic en général ca me remonte le moral, et me donne envie de faire plus, de me dépasser pour mes envies, mes idées.Et rien à voir, mais normalement dans ma ville on peut par immeuble faire installer un composteur, du coup va falloir que je me renseigne d'avantage, et voir si mes voisins sont tentés, ça serait vraiment cool d'en avoir un
En ce moment, c'est vraiment vraiment la galère
Voila sinon, j'ai emballé mes cadeaux de Noêl avec du papier journal
Je suis fière de moi.
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Voila sinon, j'ai emballé mes cadeaux de Noêl avec du papier journal
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Dernière édition :
@Kiha
Je suis présentement dans le même état d'esprit (je viens d'écrire 3 pages dans mon journal sur le fait que je ne savais pas quoi faire de ma vie). Tout ce qui m'intéresse dans ce monde n'a aucune valeur aux yeux des autres et ça me déprime totalement.
Il va pourtant bien falloir que je trouve un emploi rémunéré si je veux pouvoir un jour acquérir un lieu où viser l'autonomie.
Quand j'étais petite je croyais qu'à partir de 25 ans on était enfin adulte et sûr de soi. A presque trente ans j'ai l'impression de m'être fait complètement avoir par la vie.
Je suis présentement dans le même état d'esprit (je viens d'écrire 3 pages dans mon journal sur le fait que je ne savais pas quoi faire de ma vie). Tout ce qui m'intéresse dans ce monde n'a aucune valeur aux yeux des autres et ça me déprime totalement.
Il va pourtant bien falloir que je trouve un emploi rémunéré si je veux pouvoir un jour acquérir un lieu où viser l'autonomie.
Quand j'étais petite je croyais qu'à partir de 25 ans on était enfin adulte et sûr de soi. A presque trente ans j'ai l'impression de m'être fait complètement avoir par la vie.
@Numéro Treize
Je trouve tes critères beaucoup plus subjectifs qu'évidents.
Je rejoins ce que dit @Suzi Lee
De plus, même au niveau de l'évaluation de ces critères, on va pas être d'accord. Par exemple sur "la civilisation" ou l'"avancement technologique". Moi ce que je vois, c'est une civilisation capitaliste et de consommation (je ne sais pas si on peut parler de civilisation ?
on dit toujours "société de consommation" ou "société capitaliste", mais finalement vu son ampleur...) qui a pour conséquence non seulement la destruction de l'environnement (et une non-viabilité totale) mais en plus des inégalités criantes entre les personnes. Du coup je me demande (sincèrement) l'intérêt d'avoir fondé quelque chose qui n'aboutit pas au bien-être de tous et qui n'est pas durable sur très long terme.
@Kiha
Je te conseillerais de ne pas trop trop anticiper ni te projeter dans l'avenir. On ne sait pas ce qui nous attend ! Si déjà tu as un plan pour les 2 ou 3 années qui viennent, profites-en pour réfléchir à tout ça en prenant ton temps. Et surtout, je dirais, reste ouverte à toutes les possibilités. Aie confiance en l'avenir (si vous avez la chanson de Kaa dans la tête, j'ai gagné!).
En fait, dans ma vie j'ai remarqué que quand je cesse de me prendre la tête et que j'ai confiance en l'avenir, non seulement je vais mieux psychologiquement, mais en plus les choses finissent par venir, mais pas forcément de la manière dont je les avais envisagées. Je sais que c'est difficile de réussir à lâcher prise ou à se laisser porter, mais au final c'est plus reposant. Et ça veut pas dire "faire des choses contraires à ses convictions" hein, au contraire, les petits pas que tu fais chaque jour, fais-les en étant pleinement d'accord avec. Ne dévalorise pas les projets que tu as déjà ("fuite en avant" : non ! "projets à court terme visant à m'ouvrir sur tel ou tel truc" : oui)
Aujourd'hui tu ne sais pas comment faire, mais dans un an tu auras peut-être des idées sur la façon de procéder.
Par rapport à tes études, vraiment, ne regrette pas. Moi j'ai fait des études d'agro et franchement, la "technique" ne m'est en RIEN utile dans mes projets. Je suis infoutue de savoir planter une graine (merci les tutos sur internet ...), j'ai foiré toutes mes plantes aromatiques car j'avais semé les graines trop profond (AHEUM) alors que j'ai un bac+5 dans le domaine de l'agro. On prévoit de faire un poulailler, encore une fois je vais me référer à des trucs trouvés sur le net car c'est pas mes cours orientés productivité+++ qui vont m'aider (et de toutes façons, je n'ai rien retenu à ce sujet).
Vois plutôt le côté positif que t'ont apporté tes études. Perso, ça a été de rencontrer des gens intéressants (même si on n'a quasiment plus aucun contact, ils m'ont aidé à avoir les convictions que j'ai aujourd'hui), d'apprendre à réfléchir et à faire des recherches, une certaine rigueur, avoir un raisonnement, l'esprit critique... Bref, des "savoir-être" utiles au quotidien et dans tous les secteurs.
Après, si tu es actuellement dans un épisode dépressif ( ) j'imagine combien c'est difficile de réussir à relever la tête. Essaie peut-être de voir quelqu'un pour essayer de ne pas trop "sombrer" ?
Et puis (@Mama Sara aussi) moi je me dis qu'on peut aussi faire un travail rémunéré-tout-pourri au moins le temps de réussir à monter son propre projet. Je hais mon boulot, mais j'attends encore avant de démissionner car j'ai malheureusement besoin du maigre salaire qui va avec. Ça me fait grave chier, mais c'est "pour une bonne cause" au final, ce boulot est là jusqu'à ce que nos projets décollent, je sais que ça finira par arriver. Quand, je ne sais pas, mais savoir que ça ne durera pas toute la vie m'aide à tenir le coup.
Courage les madz !
La vie n'est facile pour personne et tout choix implique des difficultés, des obstacles, des retours en arrière pour mieux recommencer. Mais en choisissant soigneusement la direction qu'on donne à notre vie, toutes ces difficultés deviennent plus faciles à surmonter parce qu'on sait qu'elles nous rapprochent vers un but qui nous motive. Hauts les coeurs !!!
Je trouve tes critères beaucoup plus subjectifs qu'évidents.
Je rejoins ce que dit @Suzi Lee De plus, même au niveau de l'évaluation de ces critères, on va pas être d'accord. Par exemple sur "la civilisation" ou l'"avancement technologique". Moi ce que je vois, c'est une civilisation capitaliste et de consommation (je ne sais pas si on peut parler de civilisation ?
on dit toujours "société de consommation" ou "société capitaliste", mais finalement vu son ampleur...) qui a pour conséquence non seulement la destruction de l'environnement (et une non-viabilité totale) mais en plus des inégalités criantes entre les personnes. Du coup je me demande (sincèrement) l'intérêt d'avoir fondé quelque chose qui n'aboutit pas au bien-être de tous et qui n'est pas durable sur très long terme. @Kiha
Je te conseillerais de ne pas trop trop anticiper ni te projeter dans l'avenir. On ne sait pas ce qui nous attend ! Si déjà tu as un plan pour les 2 ou 3 années qui viennent, profites-en pour réfléchir à tout ça en prenant ton temps. Et surtout, je dirais, reste ouverte à toutes les possibilités. Aie confiance en l'avenir (si vous avez la chanson de Kaa dans la tête, j'ai gagné!).
En fait, dans ma vie j'ai remarqué que quand je cesse de me prendre la tête et que j'ai confiance en l'avenir, non seulement je vais mieux psychologiquement, mais en plus les choses finissent par venir, mais pas forcément de la manière dont je les avais envisagées. Je sais que c'est difficile de réussir à lâcher prise ou à se laisser porter, mais au final c'est plus reposant. Et ça veut pas dire "faire des choses contraires à ses convictions" hein, au contraire, les petits pas que tu fais chaque jour, fais-les en étant pleinement d'accord avec. Ne dévalorise pas les projets que tu as déjà ("fuite en avant" : non ! "projets à court terme visant à m'ouvrir sur tel ou tel truc" : oui
)Aujourd'hui tu ne sais pas comment faire, mais dans un an tu auras peut-être des idées sur la façon de procéder.
Par rapport à tes études, vraiment, ne regrette pas. Moi j'ai fait des études d'agro et franchement, la "technique" ne m'est en RIEN utile dans mes projets. Je suis infoutue de savoir planter une graine (merci les tutos sur internet ...), j'ai foiré toutes mes plantes aromatiques car j'avais semé les graines trop profond (AHEUM) alors que j'ai un bac+5 dans le domaine de l'agro. On prévoit de faire un poulailler, encore une fois je vais me référer à des trucs trouvés sur le net car c'est pas mes cours orientés productivité+++ qui vont m'aider (et de toutes façons, je n'ai rien retenu à ce sujet).
Vois plutôt le côté positif que t'ont apporté tes études. Perso, ça a été de rencontrer des gens intéressants (même si on n'a quasiment plus aucun contact, ils m'ont aidé à avoir les convictions que j'ai aujourd'hui), d'apprendre à réfléchir et à faire des recherches, une certaine rigueur, avoir un raisonnement, l'esprit critique... Bref, des "savoir-être" utiles au quotidien et dans tous les secteurs.
Après, si tu es actuellement dans un épisode dépressif (
) j'imagine combien c'est difficile de réussir à relever la tête. Essaie peut-être de voir quelqu'un pour essayer de ne pas trop "sombrer" ? Et puis (@Mama Sara aussi) moi je me dis qu'on peut aussi faire un travail rémunéré-tout-pourri au moins le temps de réussir à monter son propre projet. Je hais mon boulot, mais j'attends encore avant de démissionner car j'ai malheureusement besoin du maigre salaire qui va avec. Ça me fait grave chier, mais c'est "pour une bonne cause" au final, ce boulot est là jusqu'à ce que nos projets décollent, je sais que ça finira par arriver. Quand, je ne sais pas, mais savoir que ça ne durera pas toute la vie m'aide à tenir le coup.
Courage les madz !
La vie n'est facile pour personne et tout choix implique des difficultés, des obstacles, des retours en arrière pour mieux recommencer. Mais en choisissant soigneusement la direction qu'on donne à notre vie, toutes ces difficultés deviennent plus faciles à surmonter parce qu'on sait qu'elles nous rapprochent vers un but qui nous motive. Hauts les coeurs !!!
@Kiha @Mama Sara c'est hypertexte difficile de savoir ce qu'on veut, commence déjà par définir ce que tu ne veux pas, et ça t'aidera peut - être à clarifier ton chemin. J'ai pas mal fonctionné comme ça (diplôme d'agro mais non vraiment les industries agro-alimentaires c'est pas possible pour moi).
Aujourd'hui, on a quand même davantage la possibilité de changer de voie, que ce soit dans les études ou dans la vie "active". J'ai vraiment l'impression que les recruteurs sont plus "ouverts", qu'ils sont prêts à te laisser ta chance - bon, faut pas se leurrer, faut argumenter, expliquer pourquoi tu veux changer de domaine/métier.
Je suis également convaincue que les études servent à t'apprendre à penser (ça fait un peu lavage de cerveau, dit comme ça), à réfléchir, à te questionner, à te documenter, bref, te donnent des méthodes de travail plutôt que des savoirs. Clairement, j'ai oublié des tas de trucs que j'ai vus durant mes études, mais je pense avoir appris à enregistrer, à sélectionner ce qui m'était utile à un moment, et à savoir comment retrouver l'info dont j'ai besoin le moment venu.
Tout ça pour dire : ne te prends pas trop la tête, nous n'avons pas un chemin tout tracé, et puis tout le monde peut se tromper, on a le droit de recommencer, de réessayer.
Aujourd'hui, on a quand même davantage la possibilité de changer de voie, que ce soit dans les études ou dans la vie "active". J'ai vraiment l'impression que les recruteurs sont plus "ouverts", qu'ils sont prêts à te laisser ta chance - bon, faut pas se leurrer, faut argumenter, expliquer pourquoi tu veux changer de domaine/métier.
Je suis également convaincue que les études servent à t'apprendre à penser (ça fait un peu lavage de cerveau, dit comme ça), à réfléchir, à te questionner, à te documenter, bref, te donnent des méthodes de travail plutôt que des savoirs. Clairement, j'ai oublié des tas de trucs que j'ai vus durant mes études, mais je pense avoir appris à enregistrer, à sélectionner ce qui m'était utile à un moment, et à savoir comment retrouver l'info dont j'ai besoin le moment venu.
Tout ça pour dire : ne te prends pas trop la tête, nous n'avons pas un chemin tout tracé, et puis tout le monde peut se tromper, on a le droit de recommencer, de réessayer.
Dernière édition :
Je me permet de te citer et de sortir de mon sous marin (coucou les Madz de la VP, j'adore vous lire c'est toujours revigorant meme si parfois un peu deprimant) parce que je vois au moins un animal qui pourrait potentiellement entrer en competition avec nous. La fourmi. Donc si on admet que competition il y a et que donc on souhaite vraiment noter ces criteres comment on fait? On se rend vite compte qu'on est juge et parti a la fois. On peut observer les fourmis, voir qu'elles s'adaptent TRES bien aux environnements defavorables, qu'elles utilisent des outils, on peut pousser en disant qu'elles construisent des civilisations (je suis pas bien sure de ce que regroupe ce terme), et on est surs qu'elles font preuve de strategies. Par contre pour ce qui est de la philosophie, de la comprhension d'idees abstraites ou de culture... ba on peut pas communiquer donc on peut rien affirmer ou infirmer.
Donc quand bien meme tes criteres seraient valides, on ne pourrait pas reellement assoir la superiorite de l'humain.
Le juge ne peut etre impartial qu'a condition d'etre omniscient, or on en est loin surtout qu'on decouvre encore tous les jours de nouvelles especes (notamment dans les grands fonds marins). Si ca se trouve au centre de la terre vit une espece qui nous est superieure en tout!
Bon, alors, pour ta dernière phrase, je ne sais même pas si t'es vraiment sérieuse (d'où l'intérêt d'utiliser des smileys, parfois...).
Je vais supposer que c'est une blague. Vis-à-vis de la subjectivité des critères de notations, c'est normal. Un critère de notation est forcément subjectif, puisqu'il nécessite un système de valeurs, celui-ci nécessitant obligatoirement des "références", des "normes", des "comportements normaux". Et ça, ça dépend du groupe, de la culture, de la civilisation.
Un exemple simple : il est normal en Europe de ne pas manger d'insectes. Il est normal d'en manger en Asie du Sud-Est. Ca, c'est la norme. Le système de valeurs associé, c'est que : manger des insectes : en Europe, pas bien, en
Asie du Sud-Est, bien. Et ça influence ta vision du monde (les critères de notations, qui sont subjectifs) : tu considéreras comme bizarre quelqu'un qui mange des insectes, mais quelqu'un qui est originaire du Viet-Nam n'en fera pas une montagne.
Tout ça pour dire qu'à partir du moment où t'as un cerveau, tu es obligé d'évaluer les choses qui t'entourent, parce que ça te permet de prendre des décisions et de survivre - je ne rentre pas dans une discussion sur le darwinisme, mais l'idée est là. C'est quelque chose que tout le monde. Que ce soit un mec dans la rue, les chaussures de ta copine, ou le dernier Star Wars, tu vas obligatoirement les valoriser, en fonction de deux choses : ce que tu partages avec le groupe, et ce qui te rends unique. La plupart des gens, y compris moi, y compris toi, y compris toutes celles qui sont ici, sont très formatées. Maintenant, il y a des petites choses qui te rendent différente, c'est ton expérience, ton vécue, la relation particulière que tu as avec d'autres personnes. Mais ça n'influence finalement qu'assez peu ton jugement - sinon, tu serais beaucoup plus souvent en désaccord avec tes copines ou ta famille, et même la société dans son ensemble. La plupart des gens (et il est vraiment stupide de se croire à part, parce que très souvent, ce n'est pas le cas) se soumette à l'autorité et à l'avis du groupe. C'est ce qu'on montré les expériences de Millgram. C'est ce qui explique aussi la mode, la montée du FN ou le fait qu'une majorité des allemands suivaient le parti nazi avant et pendant la WWII.
En résumé : toi être subjectif tout le temps, toi être influencé par le groupe très souvent. A partir du moment où l'on comprend ça, on peut commencer à prendre du recul et à comprendre comment les dynamiques sociales, ainsi que ce qui se passe dans la tête des gens, fonctionnent.
Pour en revenir aux fourmis (ou là là le roman que je suis en train d'écrire) :
Je ne pense pas qu'on puisse parler de civilisation pour les fourmis. Le problème des fourmis, d'abord, c'est que ce sont des insectes sociaux, au même titre que les abeilles, c'est une espèce qui a poussé le communisme à l'extrême (du fait, en partie, du mode de reproduction). Essayer de comparer les humains et les fourmis, c'est compliqué. C'est une espèce qui, intrinsèquement, ne fonctionne pas comme une majorité des êtres vivants - à savoir : la majorité de la population se sacrifie pour que la reine puisse donner naissance à une nouvelle reine.
Pour la culture des fourmis, à la limite, on peut vaguement imaginer qu'il y est des formes de "traditions" (une tradition, au sens très très large du terme, c'est la base de la culture).
Pour la compréhension d'idées abstraites, là je dis non. Tout simplement non. Tu ne peux pas comprendre des idées abstraites avec un cerveau de la taille d'un grain de sable. Il n'y a pas assez de neurones. Et ne viens pas me parler d'intelligence collective, parce que l'intelligence collective, je ne considère pas ça comme de l'intelligence, mais plus comme un ensemble de "mécanismes" et de "phénomènes" qui se cachent derrière ce terme.
ET même si tu cherches à comparer les humains et les fourmis, tu te rends compte que la civilisation humaine est de loin plus complexe (j'ai vraiment besoin de démontrer ça ?), plus avancée culturellement (ça aussi, j'ai besoin de le démontrer ?), et plus avancée technologiquement (encore une fois, ça coule de source).
Euh juste excuse moi, mais cette partie me dérange énormément, tu lui parles sérieusement comme ça, et après tu oses venir dire que tu n'es pas agressive ? Après je n'irai pas rentrer dans le débat, car ça ne m’intéresse pas de débattre avec toi, les autres le font déjà et j'ai juste à lire la conversation, mais soit plus respectueuse ok, car la je trouve ça vraiment intolérable.
Là du coup je ne comprends pas ta réaction et là, c'est moi qui te trouve super agressive, alors que la tournure de ma phrase, c'était juste pour le style, et absolument pas pour la prendre pour quelqu'un de stupide (c'était résumer en quelques mots un énorme bloc que j'ai passé une demi-heure à écrire).
Du coup, c'est ta réaction qui me dérange.
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