M
Maurivie
Guest
Franchement les filles , ça me brise le cœur de voir vos témoignages de l'attitude horrible de vos parents à propos de votre poids... Et hélas, ça me rappelle ce que j'ai vécu.
Quand j'étais petite ,j'étais très fine . Vraiment. Et un jour vers mes huit ans , j'ai commencé à prendre du poids et je suis devenue enrobée , j'avais cinq kilo de trop quoi.
Honnêtement , je pense que j'aurais été bien dans mes baskets sans le regard des adultes mais surtout le plus blessant celui de mes parents(qui bizarrement cesser de me dire que j'étais belle à cette période). Mes parents faisaient de manière plus ou moins classe référence à mon surpoids , ce truc horrible qu'il fallait m'enlever à tout pris.J'étais un peu dans mon monde jusqu'à mes douze ans , cela a heureusement permit que beaucoup de ces critiques ne m’atteignent pas trop tout de suite.
Un jour, alors ma mère m'avait offert une tenue et à insister pour que je change devant elle. A contrecoeur , après plusieurs refus, j'ai accepté de le faire. Et là , j'ai vu que le regard de ma mère.qui scrutait mes cuisses. Il y avait un mélange d'anxiété et d'horreur face à ce corps si gras qui se trouvait devant elle. Elle a alors sorti cette phrase qui est d'une bêtise sans nom à la pré ado de treize ans que j'étais :" Ho mon dieu, mais tes cuisses se touchent!!!!!!!" c'est vraiment ce qu'elle a hurlé. Du coup qui a passé quelques années à complexer sur ses cuisses qui se touchaient? He ben c'est bibi.
Et du côté de mon père,le résultat n'était pas plus glorieux. Il m'avait d'ailleurs inscrit à plein d'activités sportives pour que je me débarrasse de cette horrible graisse . Sans succès.
Finalement , la nature s'en est mêlé et vers mes quinze ans quasi tout mes kilos en trop se sont logés vers mes seins ,mes hanches et mes fesses. Et curieusement , ma famille a recommencé à me refaire des compliments sur mon physique.
j'ai essayer d'aborder le sujet avec mon père. je lui ait dit après une de ces remarques blessantes : "je suis bien comme je suis et j'aime mon corps". Et m'a lancé un regard de mépris avant de rétorquer que c'était l'excuse des personnes obèses, des fainéants et de me rappeler qu'il y a quelques années j'avais un ventre qui "touchait par terre". (je faisais 1m68 pour un 40...)
Le pire c'est qu'ils ont mis tout les deux cette pression sur ma petite soeur de 14 ans (qui fait 1m75 pour un 40 oui oui vous avez bien lu). Je me retrouve ainsi impuissante à les voir faire les mêmes erreurs. La vie sociale en tant que femme "ronde" est bien assez dure comme ça , alors si en plus ceux qui sont censés t'aimer le plus se mettent à te dire des horreurs...
Quand j'étais petite ,j'étais très fine . Vraiment. Et un jour vers mes huit ans , j'ai commencé à prendre du poids et je suis devenue enrobée , j'avais cinq kilo de trop quoi.
Honnêtement , je pense que j'aurais été bien dans mes baskets sans le regard des adultes mais surtout le plus blessant celui de mes parents(qui bizarrement cesser de me dire que j'étais belle à cette période). Mes parents faisaient de manière plus ou moins classe référence à mon surpoids , ce truc horrible qu'il fallait m'enlever à tout pris.J'étais un peu dans mon monde jusqu'à mes douze ans , cela a heureusement permit que beaucoup de ces critiques ne m’atteignent pas trop tout de suite.
Un jour, alors ma mère m'avait offert une tenue et à insister pour que je change devant elle. A contrecoeur , après plusieurs refus, j'ai accepté de le faire. Et là , j'ai vu que le regard de ma mère.qui scrutait mes cuisses. Il y avait un mélange d'anxiété et d'horreur face à ce corps si gras qui se trouvait devant elle. Elle a alors sorti cette phrase qui est d'une bêtise sans nom à la pré ado de treize ans que j'étais :" Ho mon dieu, mais tes cuisses se touchent!!!!!!!" c'est vraiment ce qu'elle a hurlé. Du coup qui a passé quelques années à complexer sur ses cuisses qui se touchaient? He ben c'est bibi.
Et du côté de mon père,le résultat n'était pas plus glorieux. Il m'avait d'ailleurs inscrit à plein d'activités sportives pour que je me débarrasse de cette horrible graisse . Sans succès.
Finalement , la nature s'en est mêlé et vers mes quinze ans quasi tout mes kilos en trop se sont logés vers mes seins ,mes hanches et mes fesses. Et curieusement , ma famille a recommencé à me refaire des compliments sur mon physique.
j'ai essayer d'aborder le sujet avec mon père. je lui ait dit après une de ces remarques blessantes : "je suis bien comme je suis et j'aime mon corps". Et m'a lancé un regard de mépris avant de rétorquer que c'était l'excuse des personnes obèses, des fainéants et de me rappeler qu'il y a quelques années j'avais un ventre qui "touchait par terre". (je faisais 1m68 pour un 40...)
Le pire c'est qu'ils ont mis tout les deux cette pression sur ma petite soeur de 14 ans (qui fait 1m75 pour un 40 oui oui vous avez bien lu). Je me retrouve ainsi impuissante à les voir faire les mêmes erreurs. La vie sociale en tant que femme "ronde" est bien assez dure comme ça , alors si en plus ceux qui sont censés t'aimer le plus se mettent à te dire des horreurs...
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