Sinon, on parie que pour chaque homme subissant une "paternité imposée" (t'aurais mis un preservatif, ca se serait mieux passé), on peut trouver une femme à qui le partenaire a imposé un avortement, par chantage ou autre ?
C'est arrivé à une connaissance, et je vous laisse imaginer les traces que ca peut laisser psychologiquement... Personnellement, entre une depression et une pension alimentaire à payer, je pense que la pension alimentaire est un moindre mal.
Attention : je ne dis pas qu'un avortement est horrible psychologiquement pour tout le monde. Seulement, ca doit être le choix de la personne enceinte.