@greenapple : moi personnellement je trouve ça drôle parce que c'est trop gros et en plus c'est le Gorafi, a.k.a un magazine entièrement satirique (en gros s'ils publient un truc c'est soit faux soit l'inverse de ce qu'ils pensent). Mais ça fait débat sous l'article consacré au sujet de madmoizelle, ça dérange certaines.
@SuperGeekette : 7 ans, t'es sûre ? Il me semblait que sa peine avait été réduite aux 2-3 ans qu'elle avait déjà purgés et donc qu'elle allait être libérée bientôt.
@madmoizelle N : moi aussi ça me tue ces réactions. Toutes les femmes qui meurent chaque année sous les coups de leur conjoint, beaucoup de gens s'en foutent ("elle n'avait qu'à partir". Ben voyons, comme si c'était simple. Y en a même pour sortir que si elles restent c'est qu'elles aiment ça. Mais QUI peut aimer se faire tabasser ??). Le bijoutier qui a tué son cambrioleur a carrément eu droit à un gros mouvement de soutien. Mais qu'on gracie partiellement une femme qui a craqué après des années de torture sur elle-même et sur ses enfants et le suicide de son fils et ça devient un permis de tuer. Pour moi, c'est soit de la stupidité crasse, soit de la mauvaise foi, comme ça on en profite pour taper sur les féministes (car c'est bien connu, les chiennes de garde murmurent à l'oreille du Président).
@Cantor Métrique : ça, le sexisme dans le jeu vidéo ou sur Internet c'est un gros problème. Moi aussi j'ai lu l'article de Mar_Lard et j'ai tiqué aussi sur cette joueuse harcelée en plein tournoi et qui a fini par se barrer. En plein TOURNOI. Non seulement les mecs se conduisent comme des sales porcs mais ils compromettent leurs chances de réussite dans la compétition juste pour le plaisir douteux de harceler une fille. Quant à l'histoire du "oui mes les filles reçoivent des cadeaux"... Pitié, déjà les mecs choisissent ou non de leur donner des objets, elles ne choisissent pas de recevoir des messages dégueulasses. Ensuite certaines "filles" sont en fait des mecs alors qu'à côté plein de joueuses se font passer pour des garçons, j'aimerais bien savoir combien d'ailleurs (moi je faisais ça, bien obligée).