@Cirranai
Le problème c'est qu'il a de tous dans les études...
Même les nouveaux nés sont conditionnés très tôt : dès la naissance, on a un prénom genré, on a le body rose ou bleue. Une étude avait même montré que selon qu'on perçoit le bébé comme un garçon ou une fille, on interprétera pas les pleurs de la même façon (quand un bébé garçon pleure, c'est parce qu'il est en colère, quand un bébé fille pleure, c'est parce qu'elle est triste
)
Le problème c'est qu'il a de tous dans les études...
@Eruaz Et surtout, même dans le cas où il y aurait effectivement des différences cérébrales significatives entre hommes et femmes, il conviendrait d'être prudent ; car étant donnée l'immense plasticité cérébrale, comment savoir si ces différences sont innées, déterminées dès la naissance, ou bien acquises, entretenues par l'habitude, les constructions sociales, les injonctions, les prophéties auto-réalisatrcies - en gros par notre société très genrée ? Finalement, il ne faudrait étudier que les cerveaux de nouveaux-nés, avec tous les problèmes méthodologiques que cela implique (un nouveau-né, amab ou afab, aura a priori un peu de mal à lire une carte routière...)
Même les nouveaux nés sont conditionnés très tôt : dès la naissance, on a un prénom genré, on a le body rose ou bleue. Une étude avait même montré que selon qu'on perçoit le bébé comme un garçon ou une fille, on interprétera pas les pleurs de la même façon (quand un bébé garçon pleure, c'est parce qu'il est en colère, quand un bébé fille pleure, c'est parce qu'elle est triste
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