@UnSuricate Oui, l'article est culpabilisant Après, je comprend le point de vue de l'auteur-e : dans le but d'instaurer une société végane, où manger un animal serait aussi choquant que le cannibalisme l'est pour nous, les simili-carnés sont au mieux une étape transitoire, au pire un bâton dans les roues.
Mais je trouve qu'iel réfléchit beaucoup en terme d'idéal, et peu en termes pratiques : l'essentiel est de ne plus manger d'animaux. Si les simili-carnés permettent à un-e végan-e de vivre sa vie, de faciliter son engagement envers soi-même et de la société, c'est tout bénef'.
Et ce d'autant plus que dire "oui mais j'adore la viande en fait, c'est juste que c'est complètement immoral d'en manger" c'est fort aussi comme message - ça démolit les arguments qui réduisent le végéchoix d'une personne à une affaire de goût, de sensibilité, ou qui de manière générale en font l'expression d'un défaut de caractère pour évacuer le jugement moral que le végéchoix antispé pose et les questions que cela amène.
Mais je trouve qu'iel réfléchit beaucoup en terme d'idéal, et peu en termes pratiques : l'essentiel est de ne plus manger d'animaux. Si les simili-carnés permettent à un-e végan-e de vivre sa vie, de faciliter son engagement envers soi-même et de la société, c'est tout bénef'.
Et ce d'autant plus que dire "oui mais j'adore la viande en fait, c'est juste que c'est complètement immoral d'en manger" c'est fort aussi comme message - ça démolit les arguments qui réduisent le végéchoix d'une personne à une affaire de goût, de sensibilité, ou qui de manière générale en font l'expression d'un défaut de caractère pour évacuer le jugement moral que le végéchoix antispé pose et les questions que cela amène.