A
AnonymousUser
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J'ai raté trois fois mon permis et j'en suis à plus de 70h d'heures de conduite, je ne me la pète absolument pas.
Je me la pète pas
- Initiateur de la discussion Cygnus
- Date de début
Bleuenn;1403320 a dit :
Pareil ; mais en plus de ça je suis incapable d'affronter une situation que je juge d'avance stressante sans m'être cuitée au préalable.
Ah, et quand j'étais en première, j'ai dû descendre à moi seule, en une année, l'équivalent de 3 bouteilles de cognac appartenant à mes parents car ça me stressais trop d'aller en cours. Afin que l'affaire passe inaperçue, au lieu de jeter les bouteilles, je me suis permise de remplacer le cognac par du coca, car je savais que mes parents ne touchaient jamais aux alcools dans le placard. Cinq ans plus tard, les bouteilles sont encore là, pleines de coca moisi.
La première fois que je suis sortie avec mon copain, il y a 5 ans, je devais me rendre à une soirée qui se trouvait en pleine campagne, à environ une heure de chez moi, et ça me stressait trop, car premièrement, j'avais raconté un gros bobard à mes parents, comme quoi un pote du lycée organisait une réunion pédagogique chez lui, et deuxièmement, je n'avais aucune idée de comment j'allais pouvoir rentrer chez moi à la fin de la soirée. Je parlais de mon problème sur msn à ma soeur, en plus d'évoquer le fait que j'avais la ferme intention de pécho ce soir-là, et catastrophe, en partant de chez moi, j'oublie de fermer la conversation. Une heure plus tard, mon père m'appelle, hors de lui, m'accuse d'avoir trahi sa confiance et blabla. Moi, incapable de gérer la situation (car oui, une fois de plus j'étais complètement avinée) je passe le téléphone à mon (futur) copain et lui oblige à mentir et à persuader mon père que non non, on était bien chez lui en pleine réunion, et non dans les montagnes de l'Ardèche haha.
Du coup, quand je pense que j'ai forcé mon copain - que je venais à peine de rencontrer - à mentir à mon père alors qu'il ne le connaissait même pas, y'a vraiment pas de quoi se la péter
A
AnonymousUser
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Je suis terrifiée à l'idée de vomir et je ne me la pète absolument pas, je meurs de honte à la place.
J'ai 21 ans et absolument pas la moindre envie d'apprendre à conduire un jour, mais va bien falloir.
J'ai 21 ans et absolument pas la moindre envie d'apprendre à conduire un jour, mais va bien falloir.
A
AnonymousUser
Guest
Je suis très angoissée dans la vie, j'ai peur de beaucoup de choses.
Surtout, j'ai peur des gens dans la rue.... Je n'ose pas rentrer seule la nuit par exemple.
Et des fois je me fais des petits bad trips dans les transports en commun, en m'imaginant qu'un mec va sortir un flingue dans le métro.
Surtout, j'ai peur des gens dans la rue.... Je n'ose pas rentrer seule la nuit par exemple.
Et des fois je me fais des petits bad trips dans les transports en commun, en m'imaginant qu'un mec va sortir un flingue dans le métro.
A
AnonymousUser
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- je viens de rigoler comme une baleine en lisant ce topic et je me la pète pas parce que ça prouve une fois de plus que je suis une grosse connasse
(mais merci les filles j'en avais vraiment besoin, c'est grosse soirée lose, j'arrête pas de pleurer)
alors ma contribution :
- j'ai vomi sur les pieds d'une copine alors qu'elle essayait de me remonter le moral parce que j'avais trop bu et que je pleurais.
- quand j'avais 16ans, au nouvel an, j'ai vomi parce que j'avais trop bu. probleme : pas le temps d'atteindre les chiottes, je gerbe dans le lavabo... qui était bouché. oups.
- je suis restée près d'un an avec un type pour que finalement il me sorte que bah non, il est pas amoureux de moi. et je me la pète vraiment pas.
(mais merci les filles j'en avais vraiment besoin, c'est grosse soirée lose, j'arrête pas de pleurer)
alors ma contribution :
- j'ai vomi sur les pieds d'une copine alors qu'elle essayait de me remonter le moral parce que j'avais trop bu et que je pleurais.
- quand j'avais 16ans, au nouvel an, j'ai vomi parce que j'avais trop bu. probleme : pas le temps d'atteindre les chiottes, je gerbe dans le lavabo... qui était bouché. oups.
- je suis restée près d'un an avec un type pour que finalement il me sorte que bah non, il est pas amoureux de moi. et je me la pète vraiment pas.
J'ai abandonné mes deux seuls projets d'études au bout de deux mois, comme une petite merdeuse gâtée et inconséquente, et j'ai vraiment honte. J'ai d'autant plus honte que je ne fais rien en remplacement, que je mens à mon père en ne lui disant pas que j'ai arrêté la fac, que je suis devenue insomniaque mais que je dors la journée, et que je suis incapable de m'engager dans un projet pour l'an prochain parce que ça me tétanise et que ça m'angoisse terriblement. Ca m'obsede, et je me le pardonne vraiment, vraiment, vraiment pas.
A
AnonymousUser
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Au collège j'étais seule aux récrés et je faisais dix fois mon casier pour surtout que personne ne voit que j'étais une "sans amie". C'était pas tout le collège mais pendant un mois peut-être,en 4ème (pire année de ma vie).
Ma première fois c'était y a euh bon j'ai honte (un an et demi, donc j'avais 22 ans). Franchement j'assume pas du tout.
J'ai joué aux barbies pendant plus longtemps que la moyenne.
Ça fait 4 ans et demi que je suis amoureuse d'un connard mais je suis incapable de l'oublier.
Ma première fois c'était y a euh bon j'ai honte (un an et demi, donc j'avais 22 ans). Franchement j'assume pas du tout.
J'ai joué aux barbies pendant plus longtemps que la moyenne.
Ça fait 4 ans et demi que je suis amoureuse d'un connard mais je suis incapable de l'oublier.
A
AnonymousUser
Guest
On voit beaucoup mes côtes, tant je suis maigre. Pas sur le côté, mais disons... à 5/10 cm sous les seins. Au début de mon adolescence, on me disait "c'est ta deuxième paire de seins, plus volumineux" où "elle, on peut la soulever par les poignées".
J'ai appris à mieux vivre avec (vive l'amour et le désir d'un garçon, aha..) mais en vrai, j'assume très très mal. Au point de parfois repousser les mains du sus mentionné garçon tant je me sens mal d'être osseuse comme ça.
J'ai appris à mieux vivre avec (vive l'amour et le désir d'un garçon, aha..) mais en vrai, j'assume très très mal. Au point de parfois repousser les mains du sus mentionné garçon tant je me sens mal d'être osseuse comme ça.
Hihi comme Hélio j'ai volé beaucoup de jouets petite. Je me souviens, je les piquais dans le jardin des voisins de ma meilleure amie: une Renault espace pour playmobils, une grosse voiture à traction... Même qu'une fois je me suis fait choper, le père (un pompier baraqué et mauvais comme la gale) m'a prise sur le fait accompli et m'a poursuivie!
J'ai aussi cassé le carreau d'une voisine à ma meilleure amie, toujours, avec une pierre. On s'est enfuies et j'ai dénoncé son petit frère qui s'était fait arrêter par la femme, comme une dégueulasse, alors que c'était moi!
En CP j'avais très envie de faire pipi, et je n'ai pas osé le demander à la maîtresse. Résultat j'ai fait pipi dans ma culotte et c'est tombé au sol en une grosse flaque. Ma copine s'en est aperçue et je lui ai dit: "Mais non, j'ai renversé de la colle!" (grosse honte).
Je suis sortie à 16 ans avec une ordure de trente balais qui m'a fait enormément de mal.
Je suis incapable de répondre au téléphone par périodes. Et quand je ne connais pas un numéro, je ne réponds jamais!
Je ne vais jamais chercher le pain en boulangerie et je ne rentre pas dans les petites boutiques, j'ai honte et je déteste qu'on me regarde directement et qu'on vienne me parler.
Ma première fois a été pitoyable.
J'ai souvent été seule à l'école. Souvent rejetée et humiliée. C'est encore une blessure ouverte.
J'ai mis des années à ne pas devenir rouge à une caisse, à ne pas être gênée par le regard de la caissière et à ne pas avoir honte quand je rends la monnaie. Et encore aujourd'hui j'ai du mal à calculer pour la rendre.
J'ai aussi cassé le carreau d'une voisine à ma meilleure amie, toujours, avec une pierre. On s'est enfuies et j'ai dénoncé son petit frère qui s'était fait arrêter par la femme, comme une dégueulasse, alors que c'était moi!
En CP j'avais très envie de faire pipi, et je n'ai pas osé le demander à la maîtresse. Résultat j'ai fait pipi dans ma culotte et c'est tombé au sol en une grosse flaque. Ma copine s'en est aperçue et je lui ai dit: "Mais non, j'ai renversé de la colle!" (grosse honte).
Je suis sortie à 16 ans avec une ordure de trente balais qui m'a fait enormément de mal.
Je suis incapable de répondre au téléphone par périodes. Et quand je ne connais pas un numéro, je ne réponds jamais!
Je ne vais jamais chercher le pain en boulangerie et je ne rentre pas dans les petites boutiques, j'ai honte et je déteste qu'on me regarde directement et qu'on vienne me parler.
Ma première fois a été pitoyable.
J'ai souvent été seule à l'école. Souvent rejetée et humiliée. C'est encore une blessure ouverte.
J'ai mis des années à ne pas devenir rouge à une caisse, à ne pas être gênée par le regard de la caissière et à ne pas avoir honte quand je rends la monnaie. Et encore aujourd'hui j'ai du mal à calculer pour la rendre.
- J'ai une peur bleue de remettre mes lentilles depuis que je me suis brûlé un ?il avec en faisant une connerie. Je les ai planqué dans un placard et j'essaye d'y penser le moins possible parce qu'au final je les ai fait payé à ma mère pour rien et qu'elles sont en train de se dissoudre. Je suis partagée entre la honte et la colère de ne pas y retoucher, et l'envie d'arrêter de porter ces lunettes qui me rendent si laide et mal à l'aise. Je déteste ce sentiment.
- Quand j'étais au collège j'étais incapable d'assumer mes conneries, j'accusais toujours les autres ou je niais en bloc.
- Je n'ai pas eu de copain avant mes 18 ans, sur le coup ça me semblait très vieux, finalement avec le recul ça n'a rien de terrible, mais pas de quoi se la péter pour autant.
- Je laisse toujours traîner des choses à faire, et plus je les laisse traîner moins je suis motivée à les faire et plus ça me mortifie. Un des meilleurs exemples est lié aux médecins. Je devais donner un relevé de ma tension chaque mois à ma cardiologue, je ne le fais jamais. Je devais reprendre rendez-vous en janvier avec mon ORL pour m'opérer des amygdales, je préfère laisser traîner ... Idem pour certains correspondances que j'avais au lycée, un jour j'ai oublié de répondre, et plus le temps passe plus je me dis que c'est trop tard et ça sert à rien, mais j'y pense toujours en culpabilisant ...
- Le premier soir où je suis sorti avec mon mec (on était donc pas ensemble), on est allé au ciné et on a commencé à s'emballer tranquille au premier rang, et j'ai fini sans T-shirt ni soutif, mon torse caché sous un manteau avec mon amour sous le manteau ... On a pas du tout fait gaffe aux gens autour, et on était sûrs d'être trop discrets (au premier rang, bien sûr), mais en partant les gens ont dit "Dégueulasses !" et nous on jeté plein de regards dégoutés. J'avais trop honte. Dans le même genre on a failli se faire capter plein de fois dans des lieux publics, j'aurai eu tellement honte, mais à ma connaissance c'était pas le cas (j'espère). Je me la pète pas du tout pour le coup
...
- La première fois où j'ai été amenée à voir mes "beaux-parents", ils étaient sensé arriver chez mon mec à 18h. A 17h on était en train de folâtrer. On entend la clé dans la serrure (sachant que c'est une chambre juste, donc le lit est pile en face de la porte), mon amour crie "NON ! N'entrez pas ! On ... dort !". On a dû se rhabiller en vitesse et ... replacer les meubles et ranger (bah ouais, dans le feu de l'action on avait un peu envoyé balader tout ce qu'il y avait sur la table). Ses parents ont trop captés et se sont foutus de nous mais à un point. J'ai jamais été aussi gênée.
- J'ai toujours été une énorme tanche en sport et j'assume trop pas, je me trouve toujours des excuses ou j'accuse les profs de sport de pas m'aimer ...
- Quand j'étais au collège j'étais incapable d'assumer mes conneries, j'accusais toujours les autres ou je niais en bloc.
- Je n'ai pas eu de copain avant mes 18 ans, sur le coup ça me semblait très vieux, finalement avec le recul ça n'a rien de terrible, mais pas de quoi se la péter pour autant.
- Je laisse toujours traîner des choses à faire, et plus je les laisse traîner moins je suis motivée à les faire et plus ça me mortifie. Un des meilleurs exemples est lié aux médecins. Je devais donner un relevé de ma tension chaque mois à ma cardiologue, je ne le fais jamais. Je devais reprendre rendez-vous en janvier avec mon ORL pour m'opérer des amygdales, je préfère laisser traîner ... Idem pour certains correspondances que j'avais au lycée, un jour j'ai oublié de répondre, et plus le temps passe plus je me dis que c'est trop tard et ça sert à rien, mais j'y pense toujours en culpabilisant ...
- Le premier soir où je suis sorti avec mon mec (on était donc pas ensemble), on est allé au ciné et on a commencé à s'emballer tranquille au premier rang, et j'ai fini sans T-shirt ni soutif, mon torse caché sous un manteau avec mon amour sous le manteau ... On a pas du tout fait gaffe aux gens autour, et on était sûrs d'être trop discrets (au premier rang, bien sûr), mais en partant les gens ont dit "Dégueulasses !" et nous on jeté plein de regards dégoutés. J'avais trop honte. Dans le même genre on a failli se faire capter plein de fois dans des lieux publics, j'aurai eu tellement honte, mais à ma connaissance c'était pas le cas (j'espère). Je me la pète pas du tout pour le coup
...- La première fois où j'ai été amenée à voir mes "beaux-parents", ils étaient sensé arriver chez mon mec à 18h. A 17h on était en train de folâtrer. On entend la clé dans la serrure (sachant que c'est une chambre juste, donc le lit est pile en face de la porte), mon amour crie "NON ! N'entrez pas ! On ... dort !". On a dû se rhabiller en vitesse et ... replacer les meubles et ranger (bah ouais, dans le feu de l'action on avait un peu envoyé balader tout ce qu'il y avait sur la table). Ses parents ont trop captés et se sont foutus de nous mais à un point. J'ai jamais été aussi gênée.
- J'ai toujours été une énorme tanche en sport et j'assume trop pas, je me trouve toujours des excuses ou j'accuse les profs de sport de pas m'aimer ...
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