Ca me perturbe d'être aussi mal (surtout physiquement) en ce moment.
J'ai l'impression d'aller plutôt bien dans ma tête : l'optique de mon voyage me ravit, j'ai fini la phase ultra stressante de mon dossier, je n'ai plus qu'à attendre de finir l'année, j'ai des milliards de projets personnels en cours par rapport à ça, je sens mon niveau en japonais augmenter... mais je me sens pas bien. J'ai beau me reposer, je me sens toujours fatiguée, comme avec un poids sur les épaules, j'ai du mal à me lever, je dors tout le temps. J'ai plaisir à voir des gens mais quand je suis avec eux, je me sens absente, et je mets un temps fou à répondre aux messages qu'on m'envoie. Puis surtout je recommence à avoir de fortes angoisses sur les conséquences écologiques de mon existence, autrement dit les angoisses les plus graves que j'avais lors de ma dépression (c'est quand même bien d'en avoir conscience mais quand j'allais mieux, j'utilisais ça pour améliorer mes habitudes de vie, pas pour m'emittoufler dans ma couette en mode "omg je pollue en existant tuez moi"). Pourtant je prends des antidépresseurs, ça allait beaucoup mieux depuis un moment... ça me soule. Surtout que ma mère est surprotectrice et elle passe son temps à s'assurer que je vais bien, que je suis en forme, etc. J'ai peur de lui dire que je vais mal et qu'elle m'angoisse encore plus en espérant me rassurer.
J'ai l'impression d'aller plutôt bien dans ma tête : l'optique de mon voyage me ravit, j'ai fini la phase ultra stressante de mon dossier, je n'ai plus qu'à attendre de finir l'année, j'ai des milliards de projets personnels en cours par rapport à ça, je sens mon niveau en japonais augmenter... mais je me sens pas bien. J'ai beau me reposer, je me sens toujours fatiguée, comme avec un poids sur les épaules, j'ai du mal à me lever, je dors tout le temps. J'ai plaisir à voir des gens mais quand je suis avec eux, je me sens absente, et je mets un temps fou à répondre aux messages qu'on m'envoie. Puis surtout je recommence à avoir de fortes angoisses sur les conséquences écologiques de mon existence, autrement dit les angoisses les plus graves que j'avais lors de ma dépression (c'est quand même bien d'en avoir conscience mais quand j'allais mieux, j'utilisais ça pour améliorer mes habitudes de vie, pas pour m'emittoufler dans ma couette en mode "omg je pollue en existant tuez moi"). Pourtant je prends des antidépresseurs, ça allait beaucoup mieux depuis un moment... ça me soule. Surtout que ma mère est surprotectrice et elle passe son temps à s'assurer que je vais bien, que je suis en forme, etc. J'ai peur de lui dire que je vais mal et qu'elle m'angoisse encore plus en espérant me rassurer.




. Que les gens se mêlent de leur
. J'ai des problèmes de reflux et je m'empêche de manger certains aliments pour ne pas avoir mal. Tu auras toujours quelqu'un qui te fera un commentaire là-dessus. Mais qu'est-ce que ça peut faire bordel ? On mange ce qu'on veut !
), et une portion de fruit (une portion de fruit = un fruit qui tient dans ta main = 1/2 banane ou la moitié d'une pomme quoi). Mais tu sais c'est le genre de biscottes Wasa, c'est mince comme du papier... 

Avec tout ça je suis calée vite fait pour 45mn. Voilà voilà!
, et je sais qu'il faut bien mâchonner quand je mange. Une mauvaise habitude du collège où ils faisaient toujours passer notre classe un quart d'heure avant la fin de la pause midi... 
).
en général je les encourage vivement à se mêler de leurs affaires, et je leur rappelle que personne n'est parfait et qu'ils ne font pas exception à la règle, ça calme bien. Quand j'étais enfant ma mère me tannait pour que je finisse mon assiette, elle me servait plutôt copieusement et on à cette habitude de se faire un gros plat unique et de se resservir au maximum. Chez nous la table était toujours débordante, on a un amour de la bonne chère qui fait que c'est un vrai plaisir pour moi de manger en quantité (le midi surtout, le soir moins, sauf exception), et puis on bouge pas mal au boulot, on se dépense. Et comme on dit : il faut petit déjeuner comme un roi, déjeuner comme un prince, et souper comme un pauvre. Je fatigue très vite physiquement (hypoglycémie ? je ne sais pas) et je deviens vite aigrie quand mon estomac se creuse donc j'ai toujours peur d'avoir faim, c'est aussi pour ça que j'applique cette règle. Ah et je mange très peu de sucres rapides / transformés car je sens que ça ne me nourris pas, ça me rend malade plutôt qu'autre chose, je crois que c'est ce qu'on appelle des "calories vides" ?
). C'est pas hyper sain mais c'était ma fierté personnelle ado, et j'en ai gardé quelques traits
!