L
l u c i e
Guest
4. Un film dont le thème ne t'attire pas habituellement
Rogue One de Gareth Edwards
Je ne suis pas une adepte de l’univers de Star Wars, mais classique oblige, j’ai vu tous les volets avec Natalie Portman. Du coup, je n’avais pas vraiment d’attente vis-à-vis de celui-ci, n’appréciant que très moyennement la saga. Au final, j’ai passé un agréable moment, mais sans plus.
12. Un film dont le rôle principal est tenu par un(e) enfant
Tomboy de Céline Sciamma
C’est pas nouveau, Céline Sciamma aime filmer l’enfance et elle le fait bien. Les doutes, les peurs ou les souffrances de l’adolescence, mais aussi les moments simples du quotidien, une partie de foot, un moment de complicité entre soeurs, un premier baiser. Tomboy ne déroge pas à la règle, toujours avec cette caméra pudique et intimiste, la réalisatrice parvient à faire poser notre regard sur Laura, une jeune fille qui ne se sent pas vraiment fille au fond, alors elle se fait passer pour un garçon aux yeux de sa nouvelle bande de potes. La jeune actrice qui l’interprète, Zoé Héran, est époustouflante. Je ne connais pas son âge, mais elle parvient à porter le film avec une telle justesse, c’est suffisamment dingue pour être relevé. Mais le film pêche au niveau de sa mise en scène, un peu trop plate, avec ce surplus de réalisme auquel Céline Sciamma nous avait déjà habitué avec son Naissance des pieuvres. En fait, je n’ai pas été autant touché que je pensais l’être, contrairement à Ma Vie de Courgette, film d’animation en stop-motion qu’elle a récemment scénarisé. D’ailleurs, je le conseille à TOUS (vraiment, il est vraiment très beau, touchant et sensible, allez le voir ! ).
Bref, Tomboy est un film à voir, rien que pour la sublime interprétation de Zoé Héran, pleine de maturité et de tendresse.
27. Un film avec une héroïne
Seven sisters de Tommy Wirkola
Je ne m’attendais pas forcément à un truc de ouf mais l'idée du film avait attisé ma curiosité. Seven Sisters débute pas trop mal mais s’essouffle à sa moitié, dommage. Mention spéciale pour l’actrice principale, qui réussit à élever le film grâce à ses interprétations mais assez déçue dans l’ensemble, film oubliable !
40. Un film inspiré de faits réels
Pride de Matthew Warchus
Bon, j’ai jamais été vraiment douée pour émettre un avis sur un film inspiré de faits réels, à séparer la réalité de la fiction, donc désolée d’avance.
Pride est inspiré d’une belle histoire, d’un combat de deux minorités, d’êtres qui se rencontrent, s’entraident et qui tentent de construire ensemble un avenir qui leur semble plus juste. Un cocktail plutôt prometteur pour en faire un beau film. Mais voilà, je trouve qu’il échoue dans sa forme, manquant de finesse et jonglant entre clichés et overdose de bons sentiments. Le tout débouchant sur un résultat davantage grossier que touchant. Par moment, j’avais l’impression d’assister à une parodie...
En bref, le film constitue une belle preuve de bravoure et de tolérance, nécessaire pour faire avancer les choses, mais peine à convaincre dans sa forme
51. Un film d'animation asiatique
Dans un recoin de ce monde de Sunao Katabuchi
La première heure est d’un ennui… Je sais qu’il faut poser le contexte, les personnages, etc, mais je trouve que certains passages auraient pu être supprimés ou du moins écourtés. Et je n’ai toujours pas saisi certains éléments comme par exemple la représentation du monstre poilu. Bref j’ai trouvé cette première heure interminable et un peu confuse, à tel point que je ne me souviens même plus de ce qui s’y passe (je l’ai vu ce week end) et que l'idée de quitter la salle m'a traversée l'esprit je l'avoue. Heureusement, la seconde partie sauve la mise et m’a empêchée de m’endormir…
86. Un film avec des fantômes
Personal Shopper d’Olivier Assayas
Je n’ai pas pensé grand chose du film mis à part que je l’ai trouvé lent, que je n’aime toujours pas le jeu d’actrice de Kristen Stewart et que niveau placement de produit c’était vraiment tranquille. Bref, je n’ai pas bien compris où le réalisateur a voulu nous amener…
98. Un film caméra au poing ou à l'épaule
States of Grace de Destin Cretton
Et bah agréablement surprise ! Le film tient bien ses 1h30 sans ennuyer, il ne révolutionne rien avec un sujet déjà traité moult fois et ça dégouline de bons sentiments mais j’ai passé un super moment. Alors qu'importe les puristes qui diront que ça ne reflète pas la réalité ou la dureté de ces foyers, ça fait du bien parfois ce genre de films. Oui, nous ne vivons pas dans un monde de bisounours mais ça n'empêche pas d'apprécier un film sincère, drôle et bien mené. Et puis y’a cette scène de rap assez ouf à laquelle on assiste en retenant son souffle à chaque rime. La scène la plus touchante du film, fort, mémorable
J’avais déjà envie de voir Room mais après avoir vu l’interprétation de Brie Larson dans States of Grace, je le passe dans mes films prioritaires.
Bon, 16 films... lentement mais sûrement...
Rogue One de Gareth Edwards
Je ne suis pas une adepte de l’univers de Star Wars, mais classique oblige, j’ai vu tous les volets avec Natalie Portman. Du coup, je n’avais pas vraiment d’attente vis-à-vis de celui-ci, n’appréciant que très moyennement la saga. Au final, j’ai passé un agréable moment, mais sans plus.
12. Un film dont le rôle principal est tenu par un(e) enfant
Tomboy de Céline Sciamma
C’est pas nouveau, Céline Sciamma aime filmer l’enfance et elle le fait bien. Les doutes, les peurs ou les souffrances de l’adolescence, mais aussi les moments simples du quotidien, une partie de foot, un moment de complicité entre soeurs, un premier baiser. Tomboy ne déroge pas à la règle, toujours avec cette caméra pudique et intimiste, la réalisatrice parvient à faire poser notre regard sur Laura, une jeune fille qui ne se sent pas vraiment fille au fond, alors elle se fait passer pour un garçon aux yeux de sa nouvelle bande de potes. La jeune actrice qui l’interprète, Zoé Héran, est époustouflante. Je ne connais pas son âge, mais elle parvient à porter le film avec une telle justesse, c’est suffisamment dingue pour être relevé. Mais le film pêche au niveau de sa mise en scène, un peu trop plate, avec ce surplus de réalisme auquel Céline Sciamma nous avait déjà habitué avec son Naissance des pieuvres. En fait, je n’ai pas été autant touché que je pensais l’être, contrairement à Ma Vie de Courgette, film d’animation en stop-motion qu’elle a récemment scénarisé. D’ailleurs, je le conseille à TOUS (vraiment, il est vraiment très beau, touchant et sensible, allez le voir ! ).
Bref, Tomboy est un film à voir, rien que pour la sublime interprétation de Zoé Héran, pleine de maturité et de tendresse.
27. Un film avec une héroïne
Seven sisters de Tommy Wirkola
Je ne m’attendais pas forcément à un truc de ouf mais l'idée du film avait attisé ma curiosité. Seven Sisters débute pas trop mal mais s’essouffle à sa moitié, dommage. Mention spéciale pour l’actrice principale, qui réussit à élever le film grâce à ses interprétations mais assez déçue dans l’ensemble, film oubliable !
40. Un film inspiré de faits réels
Pride de Matthew Warchus
Bon, j’ai jamais été vraiment douée pour émettre un avis sur un film inspiré de faits réels, à séparer la réalité de la fiction, donc désolée d’avance.
Pride est inspiré d’une belle histoire, d’un combat de deux minorités, d’êtres qui se rencontrent, s’entraident et qui tentent de construire ensemble un avenir qui leur semble plus juste. Un cocktail plutôt prometteur pour en faire un beau film. Mais voilà, je trouve qu’il échoue dans sa forme, manquant de finesse et jonglant entre clichés et overdose de bons sentiments. Le tout débouchant sur un résultat davantage grossier que touchant. Par moment, j’avais l’impression d’assister à une parodie...
En bref, le film constitue une belle preuve de bravoure et de tolérance, nécessaire pour faire avancer les choses, mais peine à convaincre dans sa forme
51. Un film d'animation asiatique
Dans un recoin de ce monde de Sunao Katabuchi
La première heure est d’un ennui… Je sais qu’il faut poser le contexte, les personnages, etc, mais je trouve que certains passages auraient pu être supprimés ou du moins écourtés. Et je n’ai toujours pas saisi certains éléments comme par exemple la représentation du monstre poilu. Bref j’ai trouvé cette première heure interminable et un peu confuse, à tel point que je ne me souviens même plus de ce qui s’y passe (je l’ai vu ce week end) et que l'idée de quitter la salle m'a traversée l'esprit je l'avoue. Heureusement, la seconde partie sauve la mise et m’a empêchée de m’endormir…
86. Un film avec des fantômes
Personal Shopper d’Olivier Assayas
Je n’ai pas pensé grand chose du film mis à part que je l’ai trouvé lent, que je n’aime toujours pas le jeu d’actrice de Kristen Stewart et que niveau placement de produit c’était vraiment tranquille. Bref, je n’ai pas bien compris où le réalisateur a voulu nous amener…
98. Un film caméra au poing ou à l'épaule
States of Grace de Destin Cretton
Et bah agréablement surprise ! Le film tient bien ses 1h30 sans ennuyer, il ne révolutionne rien avec un sujet déjà traité moult fois et ça dégouline de bons sentiments mais j’ai passé un super moment. Alors qu'importe les puristes qui diront que ça ne reflète pas la réalité ou la dureté de ces foyers, ça fait du bien parfois ce genre de films. Oui, nous ne vivons pas dans un monde de bisounours mais ça n'empêche pas d'apprécier un film sincère, drôle et bien mené. Et puis y’a cette scène de rap assez ouf à laquelle on assiste en retenant son souffle à chaque rime. La scène la plus touchante du film, fort, mémorable
J’avais déjà envie de voir Room mais après avoir vu l’interprétation de Brie Larson dans States of Grace, je le passe dans mes films prioritaires.
Bon, 16 films... lentement mais sûrement...