Personnellement, j'essayerai d'en parler justement pour atténuer cette peine. Peut-être pas dire jusqu'à quel point ça va, mais parler de cette envie et de cette peine.
J'ai l'impression que si on en parle tout en ayant évacué le côté "mauvais" de l'envie, autrement dit si on arrive à faire la part des choses et à ne pas en vouloir aux autres, le fait d'en parler peut éviter un pourrissement de la situation.
Mais oui, c'est hyper hard. Perso, je n'ai encore aucune amie proche qui a eu des enfants, mais ça risque d'arriver d'ici peu. Et les amis de M. Kettricken sont tous parents, dont une bonne partie le sont devenus cette année (et en deux-trois mois d'essais). Ca pique