Hall de Poud'mazelle - coupe des 4 Mad'zons 2016 - topic des créations

13 Juillet 2011
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Nantes
Kumo et les sombrals
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Dans un petit village, au Nord du Japon , dans les montagnes vastes et majestueuses vivait une petite fille. Son prénom Kumo, voulait dire Nuage. C'était une petite fille de 10 ans, frêle, à la peau très pâle et ses longs cheveux noirs faisaient sa fierté. Elle les nattait souvent comme sa maman le lui avait appris avant qu'elle ne meurt. En effet, sa maman était morte lorsqu'elle n'avait que 7 ans. Et Kumo vivait donc maintenant seulement avec son père et ses deux grands frères.

Ces derniers bien que très aimants, étaient aussi beaucoup trop protecteurs. Ils la pensaient bien trop fragile et ne lui laissait donc que très peu de liberté.
Au plus grand malheur de Kumo, ils étaient tellement protecteurs qu'ils refusaient même qu'elle n'aille à l'école. Ils avaient même pour habitude de lui répéter cette phrase " Kumo tu sais bien que tu es trop fragile ".
Alors dès qu'ils avaient le dos tourné, elle en profitait pour explorer les montagnes environnantes. N'ayant pas le droit d'utiliser la magie, Kumo appris à se débrouiller. Elle vivait en parfaite harmonie avec la nature, connaissant les plantes médicinales mieux que personne, et pratiquant l'escalade avec une agilité déconcertante. Mais ce qu'elle aimait par dessus tout, c'était les animaux.

Un jour lors de ses explorations, elle tomba sur un jeune sombral qui semblait blessé. Elle s'approcha alors délicatement afin d'évaluer ses blessures.
Le jeune sombral avait chuté lors d'un vol encore peu assuré , et c'était blessé une patte.
Grâce à ses connaissances des plantes et des animaux, Kumo réussit à soigner le petit sombral. Elle retrouva ensuite son troupeau et le ramena auprès des siens. Les sombrals étant des animaux très intelligents, ils comprirent ce qu'elle avait fait et Kumo fut acceptée parmi eux.
Elle revint souvent les voir appréciant beaucoup leur compagnie.
A force de les côtoyer elle finit par avoir une idée, elle alla retrouver son père et ses deux grands frères et passa un accord avec eux : " Si j'arrive à voler, vous devrez me laisser aller à l'école de magie "
Ils acceptèrent pensant cela impossible. Elle retourna dans la forêt auprès des sombrals et chuchota à l'oreille de l'un d'entre eux qui accepta volontier sa mission heureux de pouvoir lui rendre hommage.

Elle grimpa sur son dos, lui flatta l'encolure et ils décolèrent. Ils survolèrent bientôt son village natal, et grisée par la sensation que lui procurait le vol Kumo décida de sauter du dos du sombral, se rattrapa à une branche d'un sapin avoisinant, puis avec une agilité déconcertante, se balança sur une branche plus basse pour finir par atterrir souplement au sol après un saut périlleux.
Son père et ses frères ayant assistés à la scène, étaient totalement bouche-bée.

Ils s'excusèrent et lui promirent de ne plus la considérer comme fragile.
Peu de temps après, son père l'accompagna pour acheter une baguette et Kumo pu enfin connaître les joies de la magie et de l'école de Sorcellerie.
 
6 Avril 2013
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Paris
*Participation de @Ellanaa *

Le droit chemin

Il était une fois- attends tu vas pas vraiment commencer ton histoire comme ça ? C'est un classique, déjà vu des centaines de fois, sois un peu plus original ! Écoutes, je fait ce que je veux, c'est moi qui raconte l'histoire, tais toi un peu ! Donc que disais-je ? Ah oui...

Il était une fois une jeune fille nommée Ellie, elle était timide, ordinaire, banale, qu'on ne remarquait pas au premier coup d'œil. Elle n'était pas de celle qui ont le dialogue facile, des jolies filles pétillantes. Non elle était plutôt terne à dire vrai. Mais elle avait quelque chose que les autres n'avaient pas, quelque chose qui n'appartenait qu'à elle.

La magie ? Oui mais pas que ça serait trop facile n'est ce pas ? Bon reprenons.

Oui comme tu l'as deviné elle était magicienne mais ce n'est pas ça le plus important, elle était intègre, elle croyait en ses valeurs : la loyauté, la justice, la vérité et le respect.

Elle est née dans un petit village d'Angleterre humide élevée par ses parents moldus. Elle fut évidemment très surprise d'être admise à Poudlard. Elle fut envoyée vers la maison Poufsouffle même si la choixpeau, il faut l'avouer a beaucoup hésité avec Serpentard. Ses premières années se passèrent bien, sans incident. Elle fut une élève studieuse et appliquée. Nous arrivons maintenant à sa cinquième année.

Un nouvel élève venait d'arriver à Poudlard. Il s'appelait Dimitri et venait de Durmstrang, une école de magie situé dans le Grand Nord. Il fit rapidement connaissance avec Ellie et deviennent amis. Mais elle ne savait pas c'est que Dimitri avait un secret. Un secret qu'il portait en tatouage sur son bras. Ellie découvrit bien vite son secret, car quand on est vraiment proche de quelqu'un il devient difficile de cacher de si grand secret.

Il était un mangemort ? Oui, c'était la part noire de son âme. En effet à Durmstrang il avait été enrôlé par un groupe de jeunes mages noirs qui l'avait forcé à devenir un des leurs.

Ellie ne savait pas comment se comporter. Devait-elle le dénoncer comme il le lui demandait ? Ou le protéger au dépit de la loi ? Elle choisit de l'aider. Elle l'aida à accepter cette part de sa vie, de son histoire, à accepter sa noirceur. Elle le poussa à l'utiliser comme une force pour rentrer dans la lutte contre les mangemorts. Elle le défendit quand les gens l'accusaient de traître. Elle resta fidèle à ses valeurs et l'aida à s'accepter, à accepter sa différence et à en faire une force.

C'est la morale ? Eh oui, accepter qui ont est et en tirer le meilleur.
 

futilite

Ambassadrice de Ville
24 Octobre 2014
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Valence
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Aalana et ses pouvoirs

Un après-midi d’été, celui de ses 7 ans. Elle se trouvait dans la forêt proche du domaine familial et pleurait sans pouvoir s’arrêter.
Son elfe de maison, attribué à la naissance, s’approcha pour la consoler.
-« Laisse-moi Draps-en-Neige, je le sais, tu le sais, je ne serais jamais une sorcière ! »

C’est là qu’une voix se fit entendre :
- « Bonjour les amis », dit un grand chêne.
- « Bonjour Monsieur le chêne », répondirent-ils.
- « Que faites-vous ici ? »
- « Je me cache, j’ai 7 ans et je n’ai toujours pas de pouvoirs », dit timidement Aalana.
- « Pour trouver tes pouvoirs tu dois savoir d’où tu viens, regarder au plus profond de toi. » dit le grand chêne avant de redevenir un simple bout de bois.

Les deux amis restèrent un moment sans parler et puis l’elfe de maison demanda :
- « Eh bien Aalana ! Répond à la question. D’où viens-tu ? »
Aalana commença doucement :
- « Je viens des plaines dorées situées de l’autre côté de la montagne noire. Là d’où je viens les gens s’entraident, nous partageons nos biens, nous vivons en communauté. Mes parents sont des êtres formidables qui m’ont donné tout l’amour dont j’avais besoin. »

Ils marchaient en direction d’un lac où ils s’arrêtèrent pour continuer la conversation.
- « Tu as énormément de chance, Aalana d’avoir eu une vie si remplie d’amour », dit Draps-en-Neige.
- « Oui tu as bien raison », dit une voix venue du fond du lac.
- « Mais qui est-ce? », s’étonna Aalana.
- « C’est moi la dame du Lac. »
Les deux amis se penchèrent au-dessus de l’eau et virent un visage qui leur souriait.
- « Bonjour les amis, que faites-vous ici ? »
- « Je suis à la recherche de mes pouvoirs », répéta Aalana.
- « Pour trouver tes pouvoirs tu dois savoir qui tu es. » dit la voix du lac.

Aalana qui regardait toujours le fond du lac vit peu à peu le visage de la dame disparaître pour laisser place à sa propre image. L’elfe de maison qui connaissait bien sa jeune maitresse, lui demanda :
- « C’est vrai qui es-tu ? »
- « Je suis la fille de deux sorciers, qui eux ont des pouvoirs magiques. Les miens auraient dû apparaitre avant mes 7 ans ou pour mon anniversaire. »
- « Oui mais encore, Aalana, qu’est ce qui te caractérise, quelles sont tes qualités et tes défauts », demanda Draps-en-Neige.
- « Je suis prévenante, j’aime bien rendre service, aider les gens, les rendre heureux. Je manque parfois de confiance en moi »
-« Et si le problème était là ? »
-« Que veux-tu dire ? »
-« Ton manque de confiance en toi, peut-être que si tu y crois, tes pouvoirs apparaitront. »

Aalana se concentra fortement sur elle-même, puis sur ses pouvoirs jusqu’à sentir une douce chaleur monter en elle, se répandre dans tout son corps.
Elle regarda son elfe de maison, sourit, désigna une feuille au sol avant de transformer celle-ci en draps. Au début seule la forme donnait cette indication mais plus elle se concentrait sur elle, sur ses qualités, sur ses progrès en cuisine, plus les draps se transformaient.
De simples draps ils se transformèrent en draps qui montaient en neige vers le ciel.

Comme un rappel de la fois où Draps-en-Neige, son elfe, lui avait remonté le moral en cuisine. Elle n’arrivait pas à monter ses blancs en neige, il avait attrapé le bol et les avait transformés en draps, rappel de celui qu’elle lui avait cousu, qui montaient au plafond. Plus tard elle avait réussi à monter des oeufs en neige et même à faire une chantilly maison !

Son elfe attitré se mit à rire avant de lui dire :
-« Aalana tu dois toujours avoir confiance en toi ! C’est très important ! Comme ça tu pourras toujours accomplir de grandes choses, prendre le pas sur tes peurs. Mais si tu te laisses envahir par ces dernières tu seras moins forte. N’oublie jamais la magie présente en toi. »
 
11 Octobre 2014
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Le sorcier vantard

Il y a très longtemps, vivait un sorcier très vantard. Il disait avoir la meilleure baguette, les meilleures potions, la meilleure cape, le meilleur balais. Mais pour lui, ce qui était le plus important, c’est qu’il pensait avoir le sang le plus pur. Selon lui, cette caractéristique faisait de lui le sorcier le plus puissant au monde.
Cet homme vivait isolé dans un village de Moldus. Au début c’était surtout un moyen pour lui de n’avoir aucun sorcier plus fort que lui dans les parages. En effet pour forger la légende qui faisait de lui le plus grand sorcier de tout les temps, il ne fallait personne qui puisse contredire la rumeur de ses exploits. Cette situation lui avait convenu pendant de nombreuses années mais un jour arriva ou il s’ennuyait trop. De plus, comme personne n’avait pu attester de son existence, les rumeurs concernant ses exploits étaient de plus en plus considérées comme les récits d’un vieux fou.

Il décida qu’il était temps de prouver sa grandeur au monde magique. Il organisa un grand tournoi de sorcellerie. Il n’ouvrit ce tournoi qu’aux seuls sangs pur, convaincu qu’ils valaient bien mieux que les autres. Une dizaine de courageux vinrent s’inscrire. Il était près a fermer les inscription quand une onzième personne arriva. C’était une femme, la seule du tournois. Elle s’avança vers le sorcier et lui indiqua son nom. L’homme rit tellement fort que les oiseaux qui étaient perchés aux alentours s’envolèrent dans un grand bruit. Il connaissait bien cette famille. C’était une famille de paysans mordus de son village. Il expliqua à la femme qu’elle n’avait pas le statut de sang nécessaire pour accéder au tournois, aucun né mordu ne pouvait s’inscrire. Cependant celle ci insistât tant qu’il l’inscrivit quand même en se disant que sa défaite ne prendrait que quelques secondes et divertirait les autres sangs pur présents.

Le tournois débuta le lendemain matin. Il s’agissait d’une succession de défis magiques dans différents labyrinthes. Ils auraient a réaliser des métamorphoses, des sortilèges et à combattre des créatures magiques. Chaque concurrent était dans son propre labyrinthe. L’organisateur passait tous les obstacles sans problèmes puisqu’ils les avaient lui même créés. Les concurrents échouaient les uns après les autres. Il sortit le premier de son labyrinthe et attendis de voir lequel des concurrents allait le rejoindre. Il vit les portes des autres labyrinthes se fermer au fur et à mesure que les autres échouaient. Il n’en restait plus qu’une et d’après lui, ce n’était qu’une question de temps avant qu’elle ne se ferme. Ainsi, seul a être sorti, il prouverait au monde entier sa supériorité puisqu’aucun autre sorcier n’aurait réussit à vaincre ses épreuves. Il fut interrompu dans sa réflexion par un bruit de pas.

Quelqu’un venait de sortir de la dernière porte. Il leva les yeux et fut surpris de voir la femme s’avancer vers lui, sa baguette à la main en lui demandant ce qu’il fallait faire à présent. Le sorcier ne sut pas quoi répondre. Il n’avait pas prévu l’éventualité que quelqu’un puisse le rejoindre. Ils dit a la femme qu’elle avait réussi la première épreuve et l’invita a revenir le lendemain. Il fit disparaitre le labyrinthe, ranima les concurrents et chacun parti de son côté.

Toute la nuit il chercha une idée d’épreuve qui lui permettrait de vaincre cette femme. Ne trouvant rien, il finit par s’endormir. Il fut réveillé par les coups de la femme contre sa porte. Il se leva précipitamment et la retrouva dehors. Elle lui demanda ce qu’il faudrait affronter aujourd’hui. Il lui répondit que pour être honnête, ce serait à elle de choisir le dernier défi. En vérité, il pensait que de toute façon, une sang de bourbe ne pourrait pas proposer quelque chose de très difficile, surtout s’il la prenait au dépourvu. La femme accepta et demanda à s’isoler quelques minutes pour réfléchir. Le sorcier accepta. Elle partit en courant vers sa maison et revint avec son petit frère. Elle dit au sorcier que si il était capable de répondre à la question de l’enfant, il serait vainqueur. Le sorcier accepta en riant tellement le défi lui parut simple.

L’enfant parla : « Un berger, en compagnie d’un loup, de sa chèvre et d’un choux, veut traverser une rivière. Pour cela, il dispose d’une petite barque qui ne peut contenir que lui et un autre objet ou animal. Le problème qui se pose au berger est qu’il ne peut laisser sans surveillance le loup avec la chèvre, ou la chèvre avec le choux. Vous pouvez vous faire une idée de ce qui peut arriver sinon. Comment doit il s’y prendre ?»
Le sorcier resta bouche bée. Il n’avait aucune idée de la réponse. Il dessina un schéma dans la terre à l’aide de sa baguette, réfléchis pendant de longues minutes. Soudain il se releva, il avait trouvé. du moins c’est ce qu’il pensait. Il proposa d’emmener en premier le choux puis de revenir prendre le loup et enfin de s’occuper de la chèvre en dernier. L’enfant lui rétorqua que la chèvre aurait été mangée par le loup pendant la première traversée. La femme donna alors la réponse. Il fallait faire traverser la chèvre, puis prendre ensuite le choux, le poser de l’autre côté et refaire monter la chèvre à bord. La déposer à nouveau sur la première rive. Prendre le loup à sa place et le déposer avec le chou et enfin revenir chercher la chèvre.

Le sorcier fût bien obligé d’accepter sa défaite. Il était peut être doué en magie, mais il avait échoué a répondre à la question d’un simple Moldu. Ce jour la il compris qu’il fallait traiter les Moldus et les Nés-Moldus avec respect car ils possèdent des qualités dont sont dépourvus les sorciers. Il bannit alors les mots « sang de bourbe » de son vocabulaire.

Une première version illustrée:
Defi 3.jpg
Une deuxième version illustrée (plutot celle la sur le tumblr mais je peux faire un montage des deux si vous voulez)défi 3.jpg
(a la base c'était gris, c'est devenu légèrement bleuté en exportant mais finalement c'est pas gênant je trouve)
 
Dernière édition :
18 Avril 2012
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La sorcière et le loup.

Une jeune sorcière, triste dans son esprit
pleurait, loin des regards, presque toutes les nuits :
elle ne s'aimait pas.

Un jour qu'elle brassait une potion lui vint
une idée pouvant transformer son quotidien.
Grâce à la magie, elle pourrait changer !

Allant dans les bois pour penser à la question,
deux billes luisantes transpercèrent un buisson.
Un loup était là.

« Caches-toi idiot, les humains d'ici
te détestent fort et ne veulent qu'abréger ta vie! »
Mais l'animal n'eut pas l'air effrayé.

« Je ne me cache pas, pourquoi le ferais-je ? »
lui répondit-il, sans sortir de la neige.
Elle ne comprit pas.

Si le fauve voulait mourir, grand bien lui fasse,
se dit-elle, partant avant qu'il ne la pourchasse,
et retournant auprès des sorciers.

Ses souffrances et défauts, elle pouvait les cacher :
baguette en main, des sorts elle se mit à jeter,
et elle changea.

Ce qu'elle avait apprit à haïr dans son corps
et son âme, elle l'avait transformé en trésor,
ses cauchemars à présent oubliés.

C'est une autre personne que ses amis virent.
Noyée sous les compliments à son grand plaisir,
Enfin elle s'aima.

Elle se plut un moment dans ce nouvel idylle
mais un jour, ses pas la ramenèrent à la sylve.
A l’orée du bois le loup l'attendait.

« Encore toi ? » cria t-elle à la créature.
« Je te reconnais, jamais ta nature
ne s'effacera. »

La sorcière qui ne voulait plus ouïr un mot,
fuit, sa neuve apparence camouflant ses maux,
Mais elle savait que le loup disait vrai.

Voulait-elle d'un bonheur artificiel ?
Apprendre à s'aimer, n'est-ce pas essentiel ?
Elle ne savait pas.

Elle fut d'humeur maussade même dans ses songes
car l'amour des autres était un mensonge,
et le sien était tout aussi singé.

Des années plus tard, quand elle fut vieille et lasse,
elle brisa tous ses sorts, s'observa dans la glace,
et dehors marcha.

Nue de tout vêtement et de tout artifice,
elle se glissa dans la forêt libératrice,
et se mit à chercher le canidé.

« J'ai enfin compris. » clama-elle en le voyant.
Le vieux loup bien fourbu avait les yeux brillants
mais il lui parla :

« Il est l'heure de mourir et tu comprends enfin
que se changer pour se plaire ou plaire aux voisins
t'éloigne de ce que vraiment tu es.

Viens t'étendre sur mon flanc comme les dieux t'ont faite,
accepte toi, tu ne seras jamais parfaite.
Je t'en prie, viens là. »

La jeune fille devenue vieille colla sa peau
contre la fourrure du loup, et dit ces mots :
« L'humain toujours rejette la vérité,

il se pare de bijoux et de sorts par centaines
pourtant sa nature à qui il voue une haine,
l'attend dans les bois. »

La sorcière et le loup n’eurent pas de lendemain.
Êtres que l'humain pousse à détester, enfin
s’aimèrent comme ils avaient étés créés.

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