@Azurbihis : Qu'est-ce que tu n'as pas compris ? L'article en général ?
Sinon moi je trouve cette partie intéressante :
Fema : femmes et assimilés
Homa : hommes et assimilés.
Je ne savais pas quel mots utilisés car les personnes trans binaire et non-binaire sont constamment invisibilisé et mal-traité, du coup j'essaye de voir comment pense la société, mais c'est dur de rendre mon texte inclusif car la société ne l'est pas. Si j'ai dit des trucs transphobes ou si j'ai mal utilisé un mots je suis désolé.e et dites le moi je changerais
Ce que je dit n'est pas ce que je pense, mais comment je pense que la société en général pense.
Sinon moi je trouve cette partie intéressante :
Côté biologie, les femmes auraient des prédispositions. Leur désir serait plus polymorphe que celui des hommes : exposées à des images pornographiques de toute nature, elles démontrent un intérêt sexuel plus vaste. Selon une étude de 2015, 82 % des femmes sont excitées par les deux sexes, du moins en laboratoire. De là à affirmer que l’hétérosexualité féminine est une construction sociale, il n’y a qu’un pas (et 18 %) à franchir… En attendant, cette fluidité se traduit non pas par une explosion de la bisexualité (dont les adeptes seraient 3 % en France), mais par une explosion de la bi-curiosité, un intérêt qu’on pourrait résumer par « je ne dis pas non ». Les bi-curieuses se déclinent en de multiples formes, de l’épouse en manque de variété à l’étudiante qui ne voudrait pas mourir idiote. Paradoxalement, le lesbianisme non dilué reste redoutablement rare (0,5 % des femmes) : coucher avec une femme, d’accord, mais ne coucher qu’avec des femmes, ça, non. Allez comprendre.
Erotisation constante
Nature ou culture ? Eternelle question, éternelle confusion… De fait, les femmes ne poussent pas dans des incubateurs étanches. Il est possible qu’elles aient appris à trouver séduisantes leurs semblables. Personne ne peut nier que nous évoluons dans une culture où le corps féminin est présenté comme systématiquement plus désirable que celui des hommes, avec comme corollaire une érotisation constante, y compris pour nous vendre des choux de Bruxelles. Il ne paraît pas absurde de parler de matraquage fantasmatique.
Nous vivons dans un monde dominé par les hommes, nos fantasmes de femmes sont logiquement dominés par leurs fantasmes. Les vainqueurs n’écrivent pas seulement l’histoire, ils écrivent le désir. Ce qui paradoxalement, transforme la bisexualité de façade en stratégie de séduction féminine hétérosexuelle – rien n’attirant plus l’attention sur un dancefloor que l’application roucoulante du refrain de Katy Perry : I kissed a girl (cinq millions de singles vendus rien qu’aux Etats-Unis).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-perso/artic...asme_4924029_4497916.html#sZdkmVeAuHtXqQHl.99
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Fema : femmes et assimilés
Homa : hommes et assimilés.
Je ne savais pas quel mots utilisés car les personnes trans binaire et non-binaire sont constamment invisibilisé et mal-traité, du coup j'essaye de voir comment pense la société, mais c'est dur de rendre mon texte inclusif car la société ne l'est pas. Si j'ai dit des trucs transphobes ou si j'ai mal utilisé un mots je suis désolé.e et dites le moi je changerais
Ce que je dit n'est pas ce que je pense, mais comment je pense que la société en général pense.
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