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- Initiateur de la discussion Lemon Juice
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@-Jeanne- Il y a aussi des tatouages qu'on apprécie justement avoir en commun avec d'autres, un peu comme un truc communautaire. Je pense au point-virgule par exemple.
Après je pense que la plupart du temps les gens s'en fichent juste. Enfin perso en ce moment j'envisage un tatouage, c'est pas un truc super original mais c'est pas grave
Après je pense que la plupart du temps les gens s'en fichent juste. Enfin perso en ce moment j'envisage un tatouage, c'est pas un truc super original mais c'est pas grave
@skippy01 alors autant les gens qui promeuvent le communisme je peux comprendre autant des livres qui vantent le système soviétique ça me dépasse complètement 
On parle d'un système organisé qui a instauré une sorte de terreur, avec une Nomenklatura et qui a affamé sa population, parfois de manière délibéré et organisé (Holodomor en Ukraine). Ça me dépasse complètement qu'on puisse vvaer ce genre de système.
Déjà que les deux autres régimes communistes que je connais un peu (Cuba et Chine mais bon la Chine est-elle vraiment communiste?
) ne me font absolument pas rêver mais alors le régime soviétique on est un cran en dessus, elle est où la justice sociale là-dedans?
On parle d'un système organisé qui a instauré une sorte de terreur, avec une Nomenklatura et qui a affamé sa population, parfois de manière délibéré et organisé (Holodomor en Ukraine). Ça me dépasse complètement qu'on puisse vvaer ce genre de système.
Déjà que les deux autres régimes communistes que je connais un peu (Cuba et Chine mais bon la Chine est-elle vraiment communiste?
) ne me font absolument pas rêver mais alors le régime soviétique on est un cran en dessus, elle est où la justice sociale là-dedans?
S'il y a des tendances en tatouage c'est bien parce que justement ça ne gène pas les gens d'avoir quelque chose déjà vu ailleurs (après c'est pas forcément "le même" tatouage mais le thème).
J'avoue que je ne vois pas trop le souci : ce n'est pas tant l'idée d'être "à la mode" je pense quand on voit les tops de telle ou telle année (vu qu'un tatouage se garde souvent à vie) que ce qui est populaire à un instant T. On est beaucoup influencé, inconsciemment ou non, par ce qu'on voit autour de nous, et il y a des choses qu'on trouve jolies quand on les a découvert (par exemple avant d'en voir des photos partout depuis quelques années j'aurais jamais pensé qu'un bébé hérisson puisse être mignon
(
), cette année on a découvert le lama mignon et drôle à travers sa mode dans la déco, etc), donc ça me semble "normal" que certains thèmes de tatouage se retrouvent beaucoup (il y a quelques temps c'était les animaux dans des portraits et les têtes de cerf par exemple).
Bien sûr que l'effet de mode joue mais ce que je veux dire c'est que c'est que les tatouages ne sont pas forcément fait pour "être à la mode" (je sais pas si je suis claire
)
J'avoue que je ne vois pas trop le souci : ce n'est pas tant l'idée d'être "à la mode" je pense quand on voit les tops de telle ou telle année (vu qu'un tatouage se garde souvent à vie) que ce qui est populaire à un instant T. On est beaucoup influencé, inconsciemment ou non, par ce qu'on voit autour de nous, et il y a des choses qu'on trouve jolies quand on les a découvert (par exemple avant d'en voir des photos partout depuis quelques années j'aurais jamais pensé qu'un bébé hérisson puisse être mignon
(), cette année on a découvert le lama mignon et drôle à travers sa mode dans la déco, etc), donc ça me semble "normal" que certains thèmes de tatouage se retrouvent beaucoup (il y a quelques temps c'était les animaux dans des portraits et les têtes de cerf par exemple). Bien sûr que l'effet de mode joue mais ce que je veux dire c'est que c'est que les tatouages ne sont pas forcément fait pour "être à la mode" (je sais pas si je suis claire
)
Je ne comprends pas tes derniers posts@Rocksteady : Ah oui les moutons de PanurgeMais... Rabelais aurait alors imaginer une histoire fictive comme tu le soulignes (littéralement) et un jour quelqu'un de méprisant à fait le lien avec une partie de la population ou Rabelais pensait déjà à cette certaine partie de la population en l'écrivant ?
Peut-être que lui aussi n'aurait pas du dire faire le lien entre mouton et "suiveurs humains" parce que le mouton n'a rien demandé dans l'histoire en effet
Et que l'ego humain est une chose bien fragile (mépris ou pas ? Je te laisse interpréter
"Etre un mouton" c'est une expression française très commune (dont @Rocksteady a bien retracé l'histoire) et il se trouve qu'elle est péjorative pour les gens traités de mouton.
Que tu ne connaisses pas cette expression et donc l'utilise dans un sens compris par toi seule, ok je peux comprendre, mais que tu veuilles en changer le sens communnément admis en parlant animaux (moutons) et leurs sentiments, je comprends moyen le délire
Aussi oui on peut trouver du positif à être conformiste mais ça ne change toujours rien au fait que cette expression est péjorative et est utilisée péjorativement
@CutaPica Pragmatiquement je dirais que c'est mieux pour soi d'en avoir trop et mieux pour les autres d'en avoir pas assez. Je trouve les gens qui ont une grande estime d'eux-mêmes injustifiée parfaitement exaspérants, alors que ceux pour qui elle est faible peuvent aussi être ennuyeux mais sont beaucoup plus facile à vivre. Mais pour soi-même la vie est beaucoup plus facile quand on en a beaucoup.
@CutaPica Je pense pas que ça soit quantifiable en effet, mais pour moi y a plusieurs éléments :
Déjà si la personne se considère toujours légitime pour tout et n'importe quoi même dans des domaines ou elle n'a aucune connaissance (le mainsplaining est un exemple).
Se considérer meilleur.e que les autres de manière générale
Je réfléchis en écrivant, mais en fait je sais pas si c'est l'estime de soi en elle-même qui me dérange ou les corollaires, genre quand elle s'accompagne d'une absence totale de remise en question, de dédain. Pour moi, trop d'estime de soi, c'est de l'arrogance ou se considérer supérieur d'une façon ou d'une autre.
Quand on dit "trop", ça signifie "excès", et pour qu'il y ait excès il faut qu'il y ait une norme ou une limite. Avoir une estime de soi suffisante, ça pourrait par exemple être "savoir qu'on est doué.e pour tel ou tel truc mais tout de même être conscient.e qu'on n'est pas irréprochable et qu'il peut nous arriver de faire des erreurs ou qu'on peut encore avoir à apprendre". Par extension, avoir une estime de soi excessive, ce serait "savoir qu'on est doué dans tel domaine et n'accepter aucune remarque, aucun conseil ou critique", parce qu'on se considère si bien, si hautement, que l'avis des autres n'est pas légitime pour justifier que l'on se remette en question.
Est-ce qu'on pourrait évaluer l'estime de soi à l'aune de notre capacité de remise en question ? Parce qu'il est très facile d'avoir une très haute estime de soi lorsque l'on ne se remet jamais en question ("ce sont les autres les problèmes", l'inverse est bien plus compliqué. Et on peut se remettre en question tellement excessivement qu'on en perd toute estime de soi, parce qu'on a plus les repères qui permettent de savoir qu'on est légitime pour certaines choses et pas d'autres.
Je suis désolée si c'est du charabia ou du grand n'importe quoi (#bonneestimedesoi)
Déjà si la personne se considère toujours légitime pour tout et n'importe quoi même dans des domaines ou elle n'a aucune connaissance (le mainsplaining est un exemple).
Se considérer meilleur.e que les autres de manière générale
Je réfléchis en écrivant, mais en fait je sais pas si c'est l'estime de soi en elle-même qui me dérange ou les corollaires, genre quand elle s'accompagne d'une absence totale de remise en question, de dédain. Pour moi, trop d'estime de soi, c'est de l'arrogance ou se considérer supérieur d'une façon ou d'une autre.
Quand on dit "trop", ça signifie "excès", et pour qu'il y ait excès il faut qu'il y ait une norme ou une limite. Avoir une estime de soi suffisante, ça pourrait par exemple être "savoir qu'on est doué.e pour tel ou tel truc mais tout de même être conscient.e qu'on n'est pas irréprochable et qu'il peut nous arriver de faire des erreurs ou qu'on peut encore avoir à apprendre". Par extension, avoir une estime de soi excessive, ce serait "savoir qu'on est doué dans tel domaine et n'accepter aucune remarque, aucun conseil ou critique", parce qu'on se considère si bien, si hautement, que l'avis des autres n'est pas légitime pour justifier que l'on se remette en question.
Est-ce qu'on pourrait évaluer l'estime de soi à l'aune de notre capacité de remise en question ? Parce qu'il est très facile d'avoir une très haute estime de soi lorsque l'on ne se remet jamais en question ("ce sont les autres les problèmes", l'inverse est bien plus compliqué. Et on peut se remettre en question tellement excessivement qu'on en perd toute estime de soi, parce qu'on a plus les repères qui permettent de savoir qu'on est légitime pour certaines choses et pas d'autres.
Je suis désolée si c'est du charabia ou du grand n'importe quoi (#bonneestimedesoi)
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