@Sadala
Pour la superficialité des conversations je parlais de mon cas en particulier. Pas que le fait de parler de banalités avec les gens soient mauvais.
J'aime bien aussi parler de choses superficielles mais mes relations amicales ne sont basées que sur ça et au bout d'un moment c'est pesant quand tu vas mal et que tu es obligée de faire l'enjouée en public alors que t'aurais envie de te libérer d'un poids.
Pour l'instant je souffle un peu parce que j'en avais marre de jouer un rôle tout le temps. Donc mes relations "physiques" avec les gens ne me manquent pas pour l'instant. Elles me manqueront certainement à un moment mais là je "savoure" ces deux mois de confinement. Pas besoin de faire semblant, à part par WhatsApp si c'est nécessaire.
@Vogel
Je suis d'accord avec toi, l'humain a besoin de contacts sociaux moi aussi mais là en deux mois je ne ressens aucun manque. Je tends même à être un peu agacée par la présence des autres (les bruits dans l'immeuble, la musique à fond ou même la queue aux caisses).
Disons que je ne ressens pas l'isolement aussi car je sais que ça va finir un jour (et très vite vu comme c'est parti) mais également parce que les règles sont tellement peu strictes que si je voulais je pourrais sortir là et je verrais des gens dans la rue.
C'est juste que les contacts sociaux de "petite qualité" (sans jugement, je parle de dire bonjour au voisin que je croise dans le hall ou merci à la caissière) ne m'apportent rien de bien. Je ne remarque aucune différence à ce sujet entre la période non confinée et la période confinée. Quand je sors faire mes courses je ne me dis pas : "ahh enfin des visages!"
Non j'ai exactement le même sentiment que quand je n'étais pas confinée.
Alors peut-être que la solitude est masquée par des contacts en ligne assez présents (j'appelle ma famille et des amis au téléphone, je reçois constamment des messages sur WhatsApp, des mails et j'ai un emploi du temps plus chargé qu'en temps normal parce que je me suis mis plein de trucs à faire sur ma to-do list) mais pour moi le sentiment de solitude s'est appaisé : je ne me compare plus aux autres.
Pour la superficialité des conversations je parlais de mon cas en particulier. Pas que le fait de parler de banalités avec les gens soient mauvais.
J'aime bien aussi parler de choses superficielles mais mes relations amicales ne sont basées que sur ça et au bout d'un moment c'est pesant quand tu vas mal et que tu es obligée de faire l'enjouée en public alors que t'aurais envie de te libérer d'un poids.
Pour l'instant je souffle un peu parce que j'en avais marre de jouer un rôle tout le temps. Donc mes relations "physiques" avec les gens ne me manquent pas pour l'instant. Elles me manqueront certainement à un moment mais là je "savoure" ces deux mois de confinement. Pas besoin de faire semblant, à part par WhatsApp si c'est nécessaire.
@Vogel
Je suis d'accord avec toi, l'humain a besoin de contacts sociaux moi aussi mais là en deux mois je ne ressens aucun manque. Je tends même à être un peu agacée par la présence des autres (les bruits dans l'immeuble, la musique à fond ou même la queue aux caisses).
Disons que je ne ressens pas l'isolement aussi car je sais que ça va finir un jour (et très vite vu comme c'est parti) mais également parce que les règles sont tellement peu strictes que si je voulais je pourrais sortir là et je verrais des gens dans la rue.
C'est juste que les contacts sociaux de "petite qualité" (sans jugement, je parle de dire bonjour au voisin que je croise dans le hall ou merci à la caissière) ne m'apportent rien de bien. Je ne remarque aucune différence à ce sujet entre la période non confinée et la période confinée. Quand je sors faire mes courses je ne me dis pas : "ahh enfin des visages!"
Non j'ai exactement le même sentiment que quand je n'étais pas confinée.
Alors peut-être que la solitude est masquée par des contacts en ligne assez présents (j'appelle ma famille et des amis au téléphone, je reçois constamment des messages sur WhatsApp, des mails et j'ai un emploi du temps plus chargé qu'en temps normal parce que je me suis mis plein de trucs à faire sur ma to-do list) mais pour moi le sentiment de solitude s'est appaisé : je ne me compare plus aux autres.