Dernière édition :
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. Résumé :
. La bonne nouvelle c'est quand même qu'on voit que Me too et Les culottées de Bagieu ont fait des petits dans l'édition et que c'est quelque chose qui doit rapporter de l'argent et intéresser les gens. Il y a tellement de sorties de documentaires jeunesse sur les femmes de sciences, les femmes aventurières, j'en passe et j'en passe !
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je vais peut-être le mettre à jour avec le MOOC de l'ENS sur la théorie de Gallois que j'avais suivi l'autre été, tiens, il était très chouette !)
(le lien vers un des témoignages)Alors d'abord il y a toujours eu des personnes trans (dans le sens qui ne se reconnaissait pas du genre qui leur était assigné à la naissance). Il y en a également dans toutes les cultures donc parler de "préoccupations contemporaines", ça me gêne. Si je suis d'accord qu'il ne faut pas coller les étiquettes/identités actuelles sur les personnes du passé, ça ne veut pas non plus dire que tout le monde était forcément cis.De plus nous n'avons pas de traces concernant son identité de genre et c'est une relecture anachronique de l'histoire de lui en attribuer une. Du coup cette école utilise des préoccupations contemporaines pour réécrire sa propre histoire et en effacer la misogynie, et efface une des grandes figures féminines de l'histoire de la médecine dans le même temps. Ca me blase.
Dis moi si tu veux que je supprime la citationje suis tombée sur un tweet de l'école de médecine d’Édimbourg dans lequel ils utilisent un pronom neutre (they) pour James Barry, une chirurgienne qui s'était fait passer pour un homme pour exercer au 19ème siècle.



(donc des versets couchés sur papier).
