Je ne comprends pas
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Si vous voulez continuer, en privé ce sera mieux je pense. Merci.
lenehan;4687657 a dit :
Story of my life à l'université
(voire au lycée).Une de mes camarades de classe en Licence "bossait" longtemps, très souvent. On voyait qu'en plus elle avait l'air de "bosser dur" (et je suis sûre que c'était le cas).
Cependant, elle était la dernière de notre classe niveau résultats (la moyenne tout de même, faut dire que notre classe était minuscule de chez minuscule).
Et elle râlait sur moi un camarade de classe en disant qu'on ne travaillaient jamais, qu'on étaient paresseux, avec derrière le grand sous-entendu comme quoi ce n'est pas normal qu'on soit bien meilleurs qu'elle (on était tous les deux les meilleurs de notre (minuscule) classe).
Je précise qu'on travaillait pas mal (surtout en L2 et L3), et qu'elle ne remettait jamais en cause ni ses méthodes de travail, ni certains de ses acquis qui étaient au mieux bancals, au pire complètement foireux.
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@fleur-davalon c'est vrai que malheureusement on a peu de temps et de moyens pour bosser la méthodo...
acathe;4687719 a dit :
Un ex-collègue en fast-food:
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Dernière édition :
@lady-stardust Ce que tu dis à propos de ta camarade, qui râlait parce qu'elle avait de moins bonnes notes que vous alors qu'elle "travaillait" plus, ça me fait penser à quelque chose : j'ai eu un long débat avec un ami sur les acquis et les "talents innés", on est tombés d'accord sur le fait que dans les études, l'inné est assez mal vu bizarrement. Si on a des capacités ou des facilités dans un domaine, que du coup on étudie peu (parce que ça nous semble inutile ou redondant), on est mal vu ou jalousé, alors qu'un bosseur qui n'a pas de facilités à la base sera valorisé.
Je comprends le principe du mérite du travail, moi-même je pense que c'est une excellente chose de chercher à s'améliorer, mais je me demande pourquoi un talent inné devrait être déprécié dans les études ? Si le résultat est le même (ou meilleur). Quand c'est dans d'autres domaines on a plutôt tendance à faire les louanges de la personne (si elle est très bon orateur, dessinateur, musicien...). Spontanément j'aurais accusé la jalousie, mais j'ai déjà vu des professeurs être un peu réfractaires avec de très bons élèves quand ils savaient qu'ils n'avaient pas étudié (alors qu'encore une fois, ça ne se voyait pas dans leurs rendus, ils le savaient uniquement parce que ç'avait été dit).
Je comprends le principe du mérite du travail, moi-même je pense que c'est une excellente chose de chercher à s'améliorer, mais je me demande pourquoi un talent inné devrait être déprécié dans les études ? Si le résultat est le même (ou meilleur). Quand c'est dans d'autres domaines on a plutôt tendance à faire les louanges de la personne (si elle est très bon orateur, dessinateur, musicien...). Spontanément j'aurais accusé la jalousie, mais j'ai déjà vu des professeurs être un peu réfractaires avec de très bons élèves quand ils savaient qu'ils n'avaient pas étudié (alors qu'encore une fois, ça ne se voyait pas dans leurs rendus, ils le savaient uniquement parce que ç'avait été dit).
impromptue;4690336 a dit :
Si c'est des gens bourrés, je "comprend" (comme on peut essayer de vaguement comprendre la "psychologie" des gens bourrés).
Sinon ma psychologie de comptoir dirait que ces gens là ont un souci dans leur vie avec la possibilité de s'exprimer: "je ne peux pas m'exprimer dans mon travail/dans mon couple/etc du coup je "lâche" tout ça de manière primaire (en hurlant et en faisant du bruit) en soirée, dans un contexte où je pense que socialement, cela me sera moins dommageable".
(psycho de bazar donc
)
theodora-;4690432 a dit :
Pendant toutes mes études à la fac, à chaque soirée où j'allais, je ne buvais qu'un verre d'alcool (voire pas du tout) parce que je devais conduire pour rentrer chez moi. Et si je n'ai jamais senti qu'on ne me voyait pas comme quelqu'un de cool (je trouve, en tout cas parmi mon entourage, que le fait de ne pas boire pour pouvoir conduire ensuite est encore assez bien respecté, bien vu), j'ai souvent eu des "oh, non, désolé!" "ça doit pas cool de pas pouvoir boire" "tu veux pas dormir ici?".
Comme si je n'étais pas capable de passer une bonne soirée sans alcool. Finalement, en réfléchissant, je pense que presque à chaque fois que j'ai bu en soirée, j'ai passé de moins bons moments que quand je ne buvais pas (rapport à mon incroyable manie d'avoir l'alcool triste/relou). Du coup, il vaut mieux pour moi-même et les autres que je ne boive pas ou que je me limite à un ou deux verres, mais pour je ne sais quelle raison les gens (surtout les mecs dans une situation de flirt) aiment bien voir les filles bourrées.
L
luvna
Guest
J'avais écris un message sur la discussion de l'alcool. Je venais tout juste de le finir quand.. j'ai cliqué sur je ne sais quelle touche pour "revenir en arrière".
J'ai du coup perdu tout mon post.
Joie.
JE RECOMMENCE :
Je suis comme Glouns. Le cliché du "Personne qui ne boit pas en soirée - car bonne soirée = il faut boire - est considérée comme coincée, nulle, moins cool, chiante, ringarde.. du coup les autres la taquinent (en lui mettant quand même une certaine pression), et ce surtout à l'adolescence" je ne le vis pas dans mon entourage. Ni aujourd'hui, ni même (bizarrement) au tout début de mon adolescence.
A par si, quand j'étais "ado", avec des inconnus, j'ai déjà eu quelques fois, et encore c'était rare vu que ça se passait seulement lors de "grosse soirée" : - Allez encore un p'tit verre ?
- Non merci, c'est bon ! haha
- Mais siiiii allez, t'es en soirée, profites ! Il passera tout seul hahahaha ! Allez je te sers !
Et je remarque de plus en plus que beaucoup de personnes sont comme moi. Des personnes qui ne boivent pas d'alcool/très peu/n'aiment pas spécialement/savent que pour s'amuser on n'est pas obligé de boire/savent gérer leur taux d'alcool. Et les autres le respectent très bien. (c'est même limite super bien vu ! vu que maintenant y'a ce cliché (?) des jeunes qui boivent à s'en rendre malade.. je trouve limite que "ça revient même à la mode" (entre grosses guillemets) de ne pas boire. Alors est-ce avec l'âge ? Ou tout simplement parce que les personnes proches de moi me ressemblent ? On s'assume plus, et on assume nos choix ? On est plus mature ? Bon je pense que c'est surtout avec l'âge, on assume ENFIN. Car vraiment, même quand j'avais 15 ans, mes potes étaient "Je ne suis pas fan de l'alcool/on peut très bien s'amuser sans") D'ailleurs mes potes masculins, chez moi, préfèrent largement une fille qui ne boit pas/sait gérer sa consommation, qu'une meuf qui au bout de 2 heures est déjà bourrée..
Mais ouais, les personnes qui mettent la pression à coup de "Mais siiiiiiiii allez encore un petit verre ! Ca passe tout seul ! Allez détends-toi ! T'es en soirée, profiiiiiiiiites, tu dormiras bien ce soir hihihi ! Roooooh t'es nulle ! Tiens je te donne mon verre haha", qui se prennent des cuites la plupart du temps (ok c'est cool ça fait une expérience, d'accord) sinon ils trouvent qu'ils ont loupé quelque chose, et qui considèrent RÉELLEMENT que bonne soirée = moment où il faut boire, et où on doit boire : sont des cons. Clairement. (amen de n'avoir pas de potes (et amis de mes potes) comme ça !) Adultes, ou ado. (moi je ne trouve pas ça normal car bah ouais ado = expériences = on n'est pas mature. Bah non, pas forcément)
Par la même occasion, je ne comprends pas les personnes qui s'obligent à boire. Du moins, si je les comprends puisque c'est à cause de cette fameuse pression, mais NON. Si tu as envie de boire UN verre et pas DEUX, tu n'en boiras QU'UN. Pire, si tu n'aimes pas l'alcool et que tu ne veux pas boire d'alcool, tu n'en boiras PAS. Même si les autres te font des remarques en te taquinant, avec une douce voix gentille, ou carrément avec une pression : TU ES LIBRE DE TES CHOIX.
NB : c'est comme quand je vais dans un bar. Perso je ne commande pas comme la plupart (même si du coup je le sens que je suis un peu "de côté") une bière, mais un jus de fruit.
Et ça m'importe peu. En plus faut le dire, ça coûte quand même super cher de prendre un verre d'alcool. Je me dis que j'ai du faire des économies depuis le temps
J'ai du coup perdu tout mon post.
Joie.JE RECOMMENCE :
Je suis comme Glouns. Le cliché du "Personne qui ne boit pas en soirée - car bonne soirée = il faut boire - est considérée comme coincée, nulle, moins cool, chiante, ringarde.. du coup les autres la taquinent (en lui mettant quand même une certaine pression), et ce surtout à l'adolescence" je ne le vis pas dans mon entourage. Ni aujourd'hui, ni même (bizarrement) au tout début de mon adolescence.
A par si, quand j'étais "ado", avec des inconnus, j'ai déjà eu quelques fois, et encore c'était rare vu que ça se passait seulement lors de "grosse soirée" : - Allez encore un p'tit verre ?
- Non merci, c'est bon ! haha
- Mais siiiii allez, t'es en soirée, profites ! Il passera tout seul hahahaha ! Allez je te sers !
Et je remarque de plus en plus que beaucoup de personnes sont comme moi. Des personnes qui ne boivent pas d'alcool/très peu/n'aiment pas spécialement/savent que pour s'amuser on n'est pas obligé de boire/savent gérer leur taux d'alcool. Et les autres le respectent très bien. (c'est même limite super bien vu ! vu que maintenant y'a ce cliché (?) des jeunes qui boivent à s'en rendre malade.. je trouve limite que "ça revient même à la mode" (entre grosses guillemets) de ne pas boire. Alors est-ce avec l'âge ? Ou tout simplement parce que les personnes proches de moi me ressemblent ? On s'assume plus, et on assume nos choix ? On est plus mature ? Bon je pense que c'est surtout avec l'âge, on assume ENFIN. Car vraiment, même quand j'avais 15 ans, mes potes étaient "Je ne suis pas fan de l'alcool/on peut très bien s'amuser sans") D'ailleurs mes potes masculins, chez moi, préfèrent largement une fille qui ne boit pas/sait gérer sa consommation, qu'une meuf qui au bout de 2 heures est déjà bourrée..
Mais ouais, les personnes qui mettent la pression à coup de "Mais siiiiiiiii allez encore un petit verre ! Ca passe tout seul ! Allez détends-toi ! T'es en soirée, profiiiiiiiiites, tu dormiras bien ce soir hihihi ! Roooooh t'es nulle ! Tiens je te donne mon verre haha", qui se prennent des cuites la plupart du temps (ok c'est cool ça fait une expérience, d'accord) sinon ils trouvent qu'ils ont loupé quelque chose, et qui considèrent RÉELLEMENT que bonne soirée = moment où il faut boire, et où on doit boire : sont des cons. Clairement. (amen de n'avoir pas de potes (et amis de mes potes) comme ça !) Adultes, ou ado. (moi je ne trouve pas ça normal car bah ouais ado = expériences = on n'est pas mature. Bah non, pas forcément)
Par la même occasion, je ne comprends pas les personnes qui s'obligent à boire. Du moins, si je les comprends puisque c'est à cause de cette fameuse pression, mais NON. Si tu as envie de boire UN verre et pas DEUX, tu n'en boiras QU'UN. Pire, si tu n'aimes pas l'alcool et que tu ne veux pas boire d'alcool, tu n'en boiras PAS. Même si les autres te font des remarques en te taquinant, avec une douce voix gentille, ou carrément avec une pression : TU ES LIBRE DE TES CHOIX.
NB : c'est comme quand je vais dans un bar. Perso je ne commande pas comme la plupart (même si du coup je le sens que je suis un peu "de côté") une bière, mais un jus de fruit.
Et ça m'importe peu. En plus faut le dire, ça coûte quand même super cher de prendre un verre d'alcool. Je me dis que j'ai du faire des économies depuis le temps
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@Sword
Pour ce qui est de repas ou apéro chez vous je pense que si vous ne buvez jamais d'alcool vous n'êtes pas obligés d'en proposer. Si je vais manger chez un couple de végétariens je vais pas m'attendre à manger de la viande. Quand tu vas chez quelqu'un tu respectés sa façon de vivre et de manger donc. Par contre pour un mariage j'avoue que c'est peut-être plus compliqué. Parce qu'on a beau se répéter qu'on ne se marie que pour soi ça reste un événement familiale et donc collectif.
Pour ce qui est de repas ou apéro chez vous je pense que si vous ne buvez jamais d'alcool vous n'êtes pas obligés d'en proposer. Si je vais manger chez un couple de végétariens je vais pas m'attendre à manger de la viande. Quand tu vas chez quelqu'un tu respectés sa façon de vivre et de manger donc. Par contre pour un mariage j'avoue que c'est peut-être plus compliqué. Parce qu'on a beau se répéter qu'on ne se marie que pour soi ça reste un événement familiale et donc collectif.
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R
rusne
Guest
sword;4690914 a dit :Tiens ça me fait penser que mon copain ne boit pas du tout d'alcool (vraiment pas du tout) et depuis que je suis avec lui j'ai pris cette habitude aussi : quand on va au resto je prends un demi pression pour le plaisir du goût, mais c'est vraiment le SEUL alcool que je consomme, et c'est vraiment très occasionnel.
A tel point que je me suis mise à détester le goût de l'alcool : je ne supporte plus les plats flambés ou aromatisés à l'alcool (style crêpes au grand marnier), je trouve ça immonde.
Et je me demande si le jour où on vivra ensemble on pourra recevoir les gens sans leur proposer d'alcool.
Je veux dire : est-ce que ça se fait ? Genre si j'invite des amis ou de la famille à boire l'apéro et que je sors juste des jus de fruits et du coca ?
J'ai l'impression qu'en faisant ça on passe pour un gros radin, mais vu que ni lui ni moi ne buvons d'alcool, je ne me vois vraiment pas acheter des trucs spécialement pour les gens que je reçois(surtout que je n'ai pas l'ombre d'une notion de ce qu'on est supposé boire à telle ou telle occasion).
Idem si un jour je fête mon mariage ou mon pacs, je n'ai pas envie de payer de l'alcool pour saoûler les invités (surtout que je sais que certains profitent justement de ces occasions pour se bourrer la gueule gratuitement
J'ai l'impression que dans la culture française, c'est un truc aussi commun que de manger dans une assiette, et que ce serait quasiment grossier de ne pas proposer de vin à table ou à l'apéritif.
Vous en pensez quoi ?
L'amoureux et moi ne buvons pas (moi pas du tout et lui éventuellement une bière ou autre lorsque l'on va au restaurant, mais cela reste extrêmement ponctuel), parce que cela ne nous 'ressemble pas'. A titre personnel, je déteste le goût de pas mal d'alcools (ce qui m'a passé l'envie de tester ceux que je ne connaîtrais pas encore d'ailleurs), et c'est quelque chose qui me fait peur, que je considère depuis petite - pour tout un tas de raisons - avec une méfiance extrême. Quelqu'un qui a besoin d'une dose d'alcool assez souvent me rend méfiante. Cela va d'ailleurs de paire avec le début de la discussion, car je fais partie de ces gens qui ne comprennent pas la nécessité et le rôle de l'alcool dans les notions de 'plaisir' et de 'jeunesse' actuelles (lorsque j'assistais à des fêtes, j'étais de celles qui riaient au début et nettoyaient / rangeaient / maternaient à la fin). Bref.
A l'heure actuelle, nous n'avons donc aucun alcool à l'appartement (parfois du rhum pour les crêpes, le seul que je trouve bon en pâtisserie
) et lorsque nos amis viennent, ils ont depuis le début pris le pli d'amener leurs propres bouteilles... Non parce que nous le leur avons demandé ou imposé (nous en achetions pour eux dans un premier temps), mais parce qu'ils trouvent cela normal. Nous nous occupons de la nourriture et des sodas / jus de fruits, eux de l'alcool qu'ils sont seuls à boire. C'est quelque chose qui s'est institué de façon extrêmement naturelle, et j'avoue que j'apprécie cette initiative de leur part...Pour ce qui est des repas à plus grande échelle et des cérémonies, je doute en revanche que nous puissions couper à 'ce qui se fait'. Parce que ceux qui ne boivent pas son minoritaires, et que beaucoup apprécient un petit verre d'alcool pour accompagner le goût de leur plat... Chose que je peux comprendre. En revanche, je ne supporterais pas que quiconque s'avise de boire trop (sous-entendre : se rendre malade) si je suis en charge de tout, s'il s'agit de MA cérémonie, de quelque chose qui est important pour moi. Je ne pense pas être d'un naturel méchant ou intolérant, mais l'une des seules choses pour lesquelles je n'ai aucune complaisance, c'est le fait de se rendre volontairement minable malgré le fait que tous sachent à quel point je trouve cela effrayant. Si je m'occupe de la chose, que personne ne s'avise de tituber en me disant 'qu'il / elle connaît ses limites' et autres phrases bien connues. Je considérerais cela comme un manque de respect.
Hormis cela et chez les autres, je suis gentille et maternelle.
Dans un contexte qui n'était pas celui de soirées, je ne me suis jamais sentie mal de ne pas offrir de l'alcool à boire 
(vu que y'en a pas chez moi). Et j'ai même jamais pensé au café... (j'ai l'impression d'être un monstre )
En fait je vais faire des efforts sur ce que les gens n'aiment pas / ne peuvent pas manger/boire (type maladie, religion, etc), mais par contre aucun sur ce que les gens aiment en particulier...
Par contre si j'organise un apéro je vais prendre des trucs variés (après généralement quand j'étais étudiante, tout le monde ramenait un truc).
C'est assez différent si je suis invitée chez quelqu'un et que je ramène un truc: si tu sais que la personne adore particulièrement un truc et que je peux le faire, pas de souci.
J'ai plus ramené d'alcool depuis des lustres en soirée, mais par contre soda/jus de fruits oui, ce qui au final n'est pas plus mal la plupart du temps pour les hôtes, qui se retrouvent généralement avec un bouteille de tequila, 2 de vodka, du whisky et du jet 27, avec pour mélanger tout ça UN LITRE de jus d'abricot (je suis sûre que y'a des lectrices qui vont reconnaître cette situation
)
Pour les mariages c'est vrai que la problématique est différente, je ne sais pas ce que je ferais
(vu que y'en a pas chez moi). Et j'ai même jamais pensé au café... (j'ai l'impression d'être un monstre )En fait je vais faire des efforts sur ce que les gens n'aiment pas / ne peuvent pas manger/boire (type maladie, religion, etc), mais par contre aucun sur ce que les gens aiment en particulier...
Par contre si j'organise un apéro je vais prendre des trucs variés (après généralement quand j'étais étudiante, tout le monde ramenait un truc).
C'est assez différent si je suis invitée chez quelqu'un et que je ramène un truc: si tu sais que la personne adore particulièrement un truc et que je peux le faire, pas de souci.
J'ai plus ramené d'alcool depuis des lustres en soirée, mais par contre soda/jus de fruits oui, ce qui au final n'est pas plus mal la plupart du temps pour les hôtes, qui se retrouvent généralement avec un bouteille de tequila, 2 de vodka, du whisky et du jet 27, avec pour mélanger tout ça UN LITRE de jus d'abricot (je suis sûre que y'a des lectrices qui vont reconnaître cette situation
)Pour les mariages c'est vrai que la problématique est différente, je ne sais pas ce que je ferais
Dernière édition :
Je ne comprends pas pourquoi à chaque fois que j'écoute cette chanson, je me sens hyper mal pour un truc qui n'est pas encore arrivé (et qui pour l'instant, n'a aucune raison d'arriver): la fin de mon histoire amoureuse actuelle.
Je sens que je chialerai comme une madeleine, en chantant du bout des lèvres:
"You and me baby ain't nothin' but mammals, So let's do it like they do on the Discovery Channel"
Pourtant, quand on jette un oeil aux paroles, on se rend compte qu'il y a quand même plus profond comme chanson à écouter pour déprimer après une rupture..
(oui, le clip nous file une idée de base déjà, je dois l'avouer..)
Je sens que je chialerai comme une madeleine, en chantant du bout des lèvres:
"You and me baby ain't nothin' but mammals, So let's do it like they do on the Discovery Channel"
Pourtant, quand on jette un oeil aux paroles, on se rend compte qu'il y a quand même plus profond comme chanson à écouter pour déprimer après une rupture..
(oui, le clip nous file une idée de base déjà, je dois l'avouer..)
Le post sur les gens qui prennent les trucs les plus chers au resto me fait penser à un truc que je ne comprends pas: les gens qui ne mangent rien. Par "rien", j'entends, les gens qui ont des goûts très restrictifs. Je crois qu'il y a déjà eu ce genre de débat sur ce topic mais je parle vraiment des gens qui ne sont, à mon sens, pas "courageux" culinairement parlant (pas des gens qui ont des problèmes de digestion, d'allergies ou tout autre problème médical).
Un exemple concret:
Ma cousine et son copain. Ma grand-mère nous a invité deux fois dans des restos gastronomiques haut de gamme pour son anniversaire. Les deux fois, on nous a proposé un menu à six ou sept plats. Les deux fois, ma cousine et son copain ont été les seuls à prendre autre chose parce qu'ils avaient "peur de ne pas aimer". Du coup ils mangeaient en décalé avec nous puisque les plats n'arrivaient pas au bon moment, et je trouve ça dommage car ça enlève une partie du plaisir de "l'expérience" collective. On va jamais dans des restos aussi classes donc je trouve ça chouette de partager tout ça en famille, de parler des plats, de comparer nos sensations, et tout.
J'avoue qu'avant, je ne pensais pas que la bouffe puisse être source d'autant de plaisir, mais j'y ai pris goût. La première fois qu'on est allés dans un grand resto classe, je voulais au départ prendre à la carte mais mon père m'a convaincu de prendre le menu comme tout le monde et je n'ai pas regretté.
La deuxième fois, c'était l'automne dernier et j'ai même mangé des champignons, moi qui n'aime pas ça. Je veux dire, ça me semble normal de faire un effort et de faire preuve d'un peu de curiosité dans un tel contexte.
Du coup au dernier resto qu'on a fait ma cousine et son copain ont hérité du doux surnom de "Happy Meal" parce qu'ils pourraient presque prendre le menu enfant, ce serait pareil.
Un exemple concret:
Ma cousine et son copain. Ma grand-mère nous a invité deux fois dans des restos gastronomiques haut de gamme pour son anniversaire. Les deux fois, on nous a proposé un menu à six ou sept plats. Les deux fois, ma cousine et son copain ont été les seuls à prendre autre chose parce qu'ils avaient "peur de ne pas aimer". Du coup ils mangeaient en décalé avec nous puisque les plats n'arrivaient pas au bon moment, et je trouve ça dommage car ça enlève une partie du plaisir de "l'expérience" collective. On va jamais dans des restos aussi classes donc je trouve ça chouette de partager tout ça en famille, de parler des plats, de comparer nos sensations, et tout.
J'avoue qu'avant, je ne pensais pas que la bouffe puisse être source d'autant de plaisir, mais j'y ai pris goût. La première fois qu'on est allés dans un grand resto classe, je voulais au départ prendre à la carte mais mon père m'a convaincu de prendre le menu comme tout le monde et je n'ai pas regretté.
La deuxième fois, c'était l'automne dernier et j'ai même mangé des champignons, moi qui n'aime pas ça. Je veux dire, ça me semble normal de faire un effort et de faire preuve d'un peu de curiosité dans un tel contexte.
Du coup au dernier resto qu'on a fait ma cousine et son copain ont hérité du doux surnom de "Happy Meal" parce qu'ils pourraient presque prendre le menu enfant, ce serait pareil.
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