@Little Moi-Même
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
. La goutte d'eau a été de s'entendre dire qu'il faut faire un master parce que la licence ne sert à rien... Ca a fini de m'achever parce que j'en pouvais déjà plus. Et plus j'avançais et plus je me disais mais qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de cet amas de théorie, pendant un job ???
)parce vous me dites la meme chose que ce que mes ami.es et ma famille m'ont conseillé de faire c'est à dire de lui expliquer que j'étais en incapacité (sans rentrer dans les détails) et que si elle maintenait la sanction de prévenir le responsable des licences pour essayer de "faire opposition" sur la note.
) parce que je vais m'inspirer de ton message pour tout lui expliquer; j'ai peur d’être trop maladroite voir menaçante (à coup de "j'irais voir le professeur/le responsable des licences") et que ça se retourne contre moi puisqu'elle a entre ses mains 50% de ma moyenne finale mais ton message est très juste.
(et c'est pas comme s'ils nous mettaient pas la pression à fond pour la sélection en master)
(en Belgique, la fac, c'est une branche de l'université. En gros, il y a l'université qui est l'ensemble des facs). Ce que je détestais pendant toutes mes études secondaires, c'était les profs qui me disaient quoi faire sur absolument tout (genre "il faut apporter sa farde avec tout le cours à chaque cours" --' je me suis déjà faite viré d'un cours car je n'avais que les feuilles des 3-4 derniers cours, ce qui suffisait pour suivre et m'évitait de me tuer le dos avec 200 feuilles dans mon sac à dos --'). A l'université, j'ai trouvé une certaine liberté: on peut ne pas aller en cours si on veut, prendre des notes ou non,... Je me suis enfin sentie libre d'étudier comme je le voulais et prise pour une personne responsable et non comme une gamine
(et moi qui ait un réel problème avec l'autorité, surtout pour suivre les consignes de celles-ci quand ça n'a aucune vraie raison derrière autre que "l'autorité l'a décidé", ça a été un réel soulagement de pas encore me retrouver en position défensive voire agressive toute la journée contre des consignes absurdes).


