Je ne comprends pas pourquoi il y a tellement de choses que je ne comprends pas. #inception #miseenabime
La recette publiée aujourd'hui par Madz m'y fait penser, mais: Le concept de grosse bouffe de gueule de bois.
Je ne comprends pas et je crois que je ne comprendrai jamais, alors que c'est une idée vachement répandue. Un nombre incalculable de gens parlent avec passion de leurs repas au McDo / grosses plâtrées de pâtes / pizzas / brunch / omelettes aux pâtes et au parmesan / [insérer ici repas gras] de lendemain de grosse soirée.
Personnellement le seul truc que j'arrive à avaler en ayant la gueule de bois c'est du bouillon de légumes ou du jus de fruits dilué Et un repas relativement léger en fin de journée quand je commence à me sentir mieux. Rien que l'idée d'une pizza quatre fromages me donne envie de vomir dans ces moments-là (et pourtant je vous assure que j'aime beaucoup le gras en temps normal ).
Il va donc falloir m'expliquer comment fonctionne l'organisme des autres gens
De mémoire, le fait de moins dormir joue plus sur le fonctionnement du corps que l'appétit. Je crois qu'il s'agit de régulation hormonale qui est perturbée quand on ne dort pas assez.
Mais oui, bien dormir aide à garder la ligne
Je ne saurais pas comment expliquer sans répéter exactement la même chose Je pense que dans la majorité des cas, il est pas utile de préciser le genre de la personne (et par exemple, il m'arrive d'écrire, et j'aimerais pouvoir le faire sans avoir à préciser s'il s'agit d'un personnage homme/femme/non-binaire, pour que tout le monde puisse lire en ce mettant à la place du personnage, mais c'est pas vraiment possible actuellement). En restant dans l'exemple du boulanger, si on me fait gouter un super pain, et je dis "whaou, le pain de ce/cette boulanger/boulangère est super bon!", je trouve pas ça utile de savoir que ce soit un homme ou une femme (et la langue française ne laisse pas la possibilité de ne pas préciser... ). Je ne comprends pas ce besoin de toujours genrer, pour moi, c'est une caractéristique au même titre que la couleur des cheveux, et quand je parle de quelqu'un je m'en fiche de préciser que cette personne est blonde/brune/chatain, etcJ'en profite pour dire que je ne comprends pas ce que tu entends par "préciser le genre est inutile"
Le problème de la 4ème formule, à mon avis, est qu'elle constitue en soi un mégenrage pour une femme trans et pour une personne non-binaire qui ne se reconnaîtrait pas dans ce pronom et cette désinence