@alextine1703 On peut expliquer cette manière de fonctionner par plein hypothèses, que seul un professionnel qui examine bien la personne concernée saura valider ou invalider.
Moi j'ai eu des difficultés émotionnelles parce que j'avais une dépression/un trouble anxieux. Mes patients ils ont des difficultés émotionnelles et sensorielles parce qu'ils ont un TSA. Il doit aussi y avoir l'intervention de facteurs hormonaux, biologiques, anatomiques... Ce qui là me dépasse complètement !
Et puis comme je l'ai dit plus haut, je pense que oui, ça peut être dans le caractère de quelqu'un d'être facilement émotif/envahi par ses émotions/empathique (etc etc), ou en tout cas de se sentir l'être et de se définir ainsi (
@Obalie ). Et si on se pense plus facilement émotif ou que sais-je que la moyenne, bah il n'y a aucun mal à dire "moi je suis quelqu'un de sensible". C'est normal qu'on auto-définisse sa propre identité, c'est humain, et c'est normal que ça ne soit pas forcément par la terminologie ultra scientifique et précise des classifications psychiatriques les plus récentes validées par des études randomisées contrôlées, hein, on est d'accord là-dessus.

Par contre, si ce fonctionnement fait souffrir quelqu'un, ce que sous entend le préfixe "hyper", et que ce quelqu'un va voir un professionnel pour avoir des réponses à cette souffrance, je trouve que la réponse "vous êtes hypersensible" à titre d'explication absolue, c'est insuffisant. Le terme est trop vague et ne renvoie à rien de scientifique.
Voilà, je crois que j'ai résumé ma pensée

Et je fais des redites, désolée
