Je reviens sur les différentes réponses sur l'hypersensibilité.
Me considérer (ou que des professionnel.les me considèrent) comme hypersensible ne fait pas que les autres ne sont pas empathes en fait. C'est plutôt moi qui suis trop que les autres qui ne sont pas assez.
Donc je ne pense blesser personne en disant que un truc normal me met intérieurement dans un état qui je considère comme pas normal et difficile à vivre. Par contre, penser que le but d'être HS est de dire que les autres sont insensibles, là ça me blesse.
Parce que j'ai réellement la sensation de devoir gérer un truc alors que la plupart des gens vont passer à autre chose. J'ai mis des stratégies en place, des exercices, et je n'ai pas l'impression que c'est ce que font les autres autour de moi.
C'est peut-être une "mauvaise gestion" de mes émotions mais pour moi, une émotion ne se gère pas. Elle est là, elle a sa place et on l'accompagne sans nuire aux autres.
Après effectivement, pour le côté médical, ça ne me parle pas car je n'ai pas les connaissances. Je voyais plus ça comme un curseur de la sensibilité où certains.es seraient près du milieu et d'autres (les HS) à l'extrémité du curseur.
Est-ce que ça cache un véritable trouble derrière ? Peut-être, je n'en ai aucun idée. Mais le débat est intéressant et ça mériterait d'être approfondi
Me considérer (ou que des professionnel.les me considèrent) comme hypersensible ne fait pas que les autres ne sont pas empathes en fait. C'est plutôt moi qui suis trop que les autres qui ne sont pas assez.
Donc je ne pense blesser personne en disant que un truc normal me met intérieurement dans un état qui je considère comme pas normal et difficile à vivre. Par contre, penser que le but d'être HS est de dire que les autres sont insensibles, là ça me blesse.
Parce que j'ai réellement la sensation de devoir gérer un truc alors que la plupart des gens vont passer à autre chose. J'ai mis des stratégies en place, des exercices, et je n'ai pas l'impression que c'est ce que font les autres autour de moi.
C'est peut-être une "mauvaise gestion" de mes émotions mais pour moi, une émotion ne se gère pas. Elle est là, elle a sa place et on l'accompagne sans nuire aux autres.
Après effectivement, pour le côté médical, ça ne me parle pas car je n'ai pas les connaissances. Je voyais plus ça comme un curseur de la sensibilité où certains.es seraient près du milieu et d'autres (les HS) à l'extrémité du curseur.
Est-ce que ça cache un véritable trouble derrière ? Peut-être, je n'en ai aucun idée. Mais le débat est intéressant et ça mériterait d'être approfondi