@abou333
Je ne pense pas qu'on puisse parler dans le cas de JK Rowling de femme qui est d'une autre génération et qui ne comprends pas certaines reconnaissances.
Deja parce que l'identité de genre se sont des notions connues depuis longtemps, que même à une période où c'était considérait (attention TW) comme une "pathologie", les médecins recommandaient quand même la transition médicale et sociale.
D'autres parce que si je prends un exemple personnel, des tas de gens de moins de soixante ans (et plus) connaissent ces notions et sont ouvert à des choses qu'ils ne comprennent pas forcément (big up à mon papi de 80 ans qui pensent que chacun devrait se mêler de ses fesses, que le principal c'est d'être heureux dans la vie, qu'on soit trans, cis, het ou homo, ou quoi que se soit d'autres).
Enfin une personne d'une autre génération pour moi c'est une personne qui par méconnaissance ou peur refuse de reconnaître certaines notions. Va peut-être être vindicatif ou seulement dire que c'est se prendre la tête pour rien. Mais ne va pas de manière répétée afficher sur les réseaux sociaux son mépris pour des personnes qu'ils jugent différentes de lui.
Si dans le cas de JK Rowling c'était un fait isolé ok. Le truc c'est que cela ne l'est pas, qu'elle affiche ouvertement, sur des réseaux où elle est suivi par des milliers de personnes. Et cela influence forcément des gens.
Pour une personne cis, cela semblera sans importance parce qu'on ne mesure pas l'impact que cela a sur les vies des personnes trans. Mais pour elleux, c'est limité leurs droits à des choses comme la PMA, la transition médicale. C'est potentiellement être considéré comme ayant (TW psychiatrie) un trouble mental, ce qui amène à devoir subir parfois un traitement (voir une thérapie de conversion) (Fin du TW psychiatrie).
C'est dans certains pays être potentiellement en danger (risque de prison, voir peine de mort, risque d'agression accru). Du coup se sont des idées qui sont dangereuses pour tout ça.
Après comme j'ai dit je comprends la frustration parce que Harry Potter est une saga qui a bercé l'enfance de beaucoup de gens. Perso je continue à lire des fanfics, j'ai gardé mes goodies, je ne vais pas enlever mes tatouages et je compte jouer aux jeux en empruntant à des gens que je sais l'acheter. D'ailleurs j'ai même lu sur Twitter que des personnes trans allaient même l'acheter. C'est un truc à voir avec soi-même et sa conscience.
Autant cela peut s'apparenter à de la cancel culture. Mais perso je le vois plus comme du boycotte. On peut se demander quelle est la différence entre les deux ?
Et bien pour moi ça réside dans ce qui est reproché à la personne. Et l'impact que ça a sur les gens. Par exemple une personne militante qui aurait un avis contraire sur un sujet des autres militants mais dont les idées n'ont pas de réels danger (parce qu'on peut trouver des danger à toutes idées si on cherche), et qu'on appelle à ne plus écouter : c'est de la cancel culture.
Une personne qui a des idées qui limitent les droits des autres ou qui a commis des crimes, c'est du boycotte quand on appelle à ne plus consommer.
Se sont des définitions qui sont aussi à voir avec soi-même, jusqu'où on place la barre. Car oui la cancel culture est un fléau. Mais parfois il peut aussi faire du bien. C'est un peu surfer sur une ligne.
Je ne pense pas qu'on puisse parler dans le cas de JK Rowling de femme qui est d'une autre génération et qui ne comprends pas certaines reconnaissances.
Deja parce que l'identité de genre se sont des notions connues depuis longtemps, que même à une période où c'était considérait (attention TW) comme une "pathologie", les médecins recommandaient quand même la transition médicale et sociale.
D'autres parce que si je prends un exemple personnel, des tas de gens de moins de soixante ans (et plus) connaissent ces notions et sont ouvert à des choses qu'ils ne comprennent pas forcément (big up à mon papi de 80 ans qui pensent que chacun devrait se mêler de ses fesses, que le principal c'est d'être heureux dans la vie, qu'on soit trans, cis, het ou homo, ou quoi que se soit d'autres).
Enfin une personne d'une autre génération pour moi c'est une personne qui par méconnaissance ou peur refuse de reconnaître certaines notions. Va peut-être être vindicatif ou seulement dire que c'est se prendre la tête pour rien. Mais ne va pas de manière répétée afficher sur les réseaux sociaux son mépris pour des personnes qu'ils jugent différentes de lui.
Si dans le cas de JK Rowling c'était un fait isolé ok. Le truc c'est que cela ne l'est pas, qu'elle affiche ouvertement, sur des réseaux où elle est suivi par des milliers de personnes. Et cela influence forcément des gens.
Pour une personne cis, cela semblera sans importance parce qu'on ne mesure pas l'impact que cela a sur les vies des personnes trans. Mais pour elleux, c'est limité leurs droits à des choses comme la PMA, la transition médicale. C'est potentiellement être considéré comme ayant (TW psychiatrie) un trouble mental, ce qui amène à devoir subir parfois un traitement (voir une thérapie de conversion) (Fin du TW psychiatrie).
C'est dans certains pays être potentiellement en danger (risque de prison, voir peine de mort, risque d'agression accru). Du coup se sont des idées qui sont dangereuses pour tout ça.
Après comme j'ai dit je comprends la frustration parce que Harry Potter est une saga qui a bercé l'enfance de beaucoup de gens. Perso je continue à lire des fanfics, j'ai gardé mes goodies, je ne vais pas enlever mes tatouages et je compte jouer aux jeux en empruntant à des gens que je sais l'acheter. D'ailleurs j'ai même lu sur Twitter que des personnes trans allaient même l'acheter. C'est un truc à voir avec soi-même et sa conscience.
Autant cela peut s'apparenter à de la cancel culture. Mais perso je le vois plus comme du boycotte. On peut se demander quelle est la différence entre les deux ?
Et bien pour moi ça réside dans ce qui est reproché à la personne. Et l'impact que ça a sur les gens. Par exemple une personne militante qui aurait un avis contraire sur un sujet des autres militants mais dont les idées n'ont pas de réels danger (parce qu'on peut trouver des danger à toutes idées si on cherche), et qu'on appelle à ne plus écouter : c'est de la cancel culture.
Une personne qui a des idées qui limitent les droits des autres ou qui a commis des crimes, c'est du boycotte quand on appelle à ne plus consommer.
Se sont des définitions qui sont aussi à voir avec soi-même, jusqu'où on place la barre. Car oui la cancel culture est un fléau. Mais parfois il peut aussi faire du bien. C'est un peu surfer sur une ligne.