Ca y est, on a rompu. Je sais que c'est la bonne solution mais c'est duuuuur. Remède miracle anti blues de la rupture vous avez ? moooooooohhhh j'ai envie de me liquéfier là.
Le coeur lourd ? C'est ici.
- Initiateur de la discussion Pierre Paul Jacques
- Date de début
Hé bien… Je suis dans un caca aussi gros que la galaxie 
Il semblerait bien que je sois tombée amoureuse de la personne dont il ne fallait surtout pas tomber amoureuse. Il est amoureux de son ex, il est plus qu'instable et me donne que très peu de nouvelles chaque jours.
POURQUOI ?!
Il semblerait bien que je sois tombée amoureuse de la personne dont il ne fallait surtout pas tomber amoureuse. Il est amoureux de son ex, il est plus qu'instable et me donne que très peu de nouvelles chaque jours.
POURQUOI ?!
Des calins à vous 
Je suis triste parce que j'ai peur de partir du cocon de mes parents alors que j'ai toujours rêvé d'habiter dans mon chez moi. Et tout à l'heure, ma soeur m'a donné toutes les boites pour empaqueter et la, impossible de faire quoi que ce soit. Blocage. Je veux plus partir.
Je suis triste parce que j'ai peur de partir du cocon de mes parents alors que j'ai toujours rêvé d'habiter dans mon chez moi. Et tout à l'heure, ma soeur m'a donné toutes les boites pour empaqueter et la, impossible de faire quoi que ce soit. Blocage. Je veux plus partir.
Ca fait un peu drama queen de dire ça mais je me sens assez incomprise, j'ai souvent l'impression que peu de gens me connaissent vraiment.
J'ai souvent l'impression que les gens se font des fausses idées sur moi, en ce moment c'est assez fort parce que pour le job d'été que je fais les gens avec qui je bosses m'ont vite catalogués avec pleins d'aprioris les mêmes d'ailleurs de quand j'étais au lycée.
De plus ma famille se fait souvent des fausses idées sur moi et me voit aussi différement de moi, ils sont persuadés qu'ils me connaissent biena lors qu'ils me connaissent mal, mes amis aussi peu connaissent peu.
Enfait la seule personne qui me voit comment je me sens vraiment, qui sais vraiment qui je suis c'est mon copain mais bon je trouves pas très sain vu que si on sépare un jour (on sait jamais ce qui peut arriver) je me retrouverais vite très seule, surtout que c'est rare de rencontrer quelqu'un qui sache de me comprendre et qui ait appris à vraiment me connaitre enfin bon.
J'aimerais tellement renvoyer la même image aux autres que celle que j'ai de moi.
J'ai souvent l'impression que les gens se font des fausses idées sur moi, en ce moment c'est assez fort parce que pour le job d'été que je fais les gens avec qui je bosses m'ont vite catalogués avec pleins d'aprioris les mêmes d'ailleurs de quand j'étais au lycée.
De plus ma famille se fait souvent des fausses idées sur moi et me voit aussi différement de moi, ils sont persuadés qu'ils me connaissent biena lors qu'ils me connaissent mal, mes amis aussi peu connaissent peu.
Enfait la seule personne qui me voit comment je me sens vraiment, qui sais vraiment qui je suis c'est mon copain mais bon je trouves pas très sain vu que si on sépare un jour (on sait jamais ce qui peut arriver) je me retrouverais vite très seule, surtout que c'est rare de rencontrer quelqu'un qui sache de me comprendre et qui ait appris à vraiment me connaitre enfin bon.
J'aimerais tellement renvoyer la même image aux autres que celle que j'ai de moi.
Aujourd'hui c'est mon anniversaire, j'ai 17 ans, et ça fera le deuxième anniversaire où j'aurai ni bisous, ni câlins, ni même un appel de ma mère.. J'ai toujours eu un problème avec les anniversaires (oui, du haut de mes petits 17 ans) les bilans qui sont souvent négatifs, les personnes perdues dont l'absence se fait encore plus ressentir.. Je vais passer ma petite nuit à déprimer un peu et j'essayerai de profiter un minimum demain avec mes amis..
messodie;4312089 a dit :
Joyeux anniversaire !
Et courage, c'est pas facile d'être seule à son anniversaire, mais comme tu dis, tu profiteras avec tes amis demain ! Et puis ce n'est qu'une journée, ça passe vite.
J'ai le coeur lourd et cette fois, pas d'enfants à qui aller raconter des histoires pour oublier comme le monde est moche, pour me dire qu'eux, au moins, maintenant, j'ai les moyens de les faire sourire.
Je ne peux rien faire, je peux juste patiemment attendre d'avoir, peut-être, des nouvelles. Tout en ne cherchant pas trop à en savoir non plus, je pourrais pas le supporter.
Et puis il y a celui dont j'ai de nouveau rêvé aussitôt replongée dans le monde réel, pour qui j'avais tellement mal, celui à propos de qui j'ai réalisé, en en parlant, à quel point je n'avais pas la moindre idée de ce qu'il avait vécu et je ne pouvais que sous-estimer. J'avais tellement envie de le serrer dans mes bras dans mon rêve, mais je pouvais pas, n'ai jamais pu, ne pourrai jamais.
Et puis attendre de pouvoir de nouveau aller distribuer des sourires parce qu'il y a rien d'autre qui vaille le coup. Prendre soin de moi d'ici là, si je veux en rester capable. Et peut-être aussi partir chasser les chimères pour voir des fois que je serais capable d'être heureuse malgré tout. Une jolie vie qui s'annonce avec tout ça. Je n'ai pas à me plaindre. Je sais tellement, tellement que je n'ai pas à me plaindre.
Je ne peux rien faire, je peux juste patiemment attendre d'avoir, peut-être, des nouvelles. Tout en ne cherchant pas trop à en savoir non plus, je pourrais pas le supporter.
Et puis il y a celui dont j'ai de nouveau rêvé aussitôt replongée dans le monde réel, pour qui j'avais tellement mal, celui à propos de qui j'ai réalisé, en en parlant, à quel point je n'avais pas la moindre idée de ce qu'il avait vécu et je ne pouvais que sous-estimer. J'avais tellement envie de le serrer dans mes bras dans mon rêve, mais je pouvais pas, n'ai jamais pu, ne pourrai jamais.
Et puis attendre de pouvoir de nouveau aller distribuer des sourires parce qu'il y a rien d'autre qui vaille le coup. Prendre soin de moi d'ici là, si je veux en rester capable. Et peut-être aussi partir chasser les chimères pour voir des fois que je serais capable d'être heureuse malgré tout. Une jolie vie qui s'annonce avec tout ça. Je n'ai pas à me plaindre. Je sais tellement, tellement que je n'ai pas à me plaindre.
Il est 21h45 et je n'ai pas dormi la nuit dernière, donc il faut vraiment que je me magne d'aller au lit et de dormir.
Néanmoins il y a ce patient dans mon service, un homme que je connais et que j'ai apprécié, et aujourd'hui je vois le prix à payer pour ses erreurs (quelle tête de mule) et j'observe les médecins... ce que je suis sensée devenir un jour.
Et toute admiration s'envole, faisant place à une exaspération, une rancoeur, une colère. Le patient est-il réellement un patient? Ou bien n'est-il qu'un numéro de chambre, un numéro de dossier, une opération à venir? (et sans opération à venir, qu'est-il?).
Je ne vais rien lâcher, je vais surveiller ce qu'il devient/ce qu'on le fait devenir, et secrètement je prie, secrètement j'espère, secrètement je crois (ou j'aimerais croire) que je deviendrai véritablement un meilleur médecin qu'eux. Plus humaine, pas forcément plus talentueuse, mais plus humaine.
Demain je retourne travailler, la boule au ventre... Les hommes vieillissent et s'affaissent, ceux qui m'ont vue grandir deviennent ceux qu'il faut recoucher à la fin du déjeuner pour faire leur sieste habituelle...
Combien de connaissances, à son instar, auront besoin de mon aide alors que jadis ils veillaient sur moi? Je suis, depuis quelques jours, nostalgiques de mon enfance, du temps qui passe immuablement, du passé qui ne reviendra jamais, de ce qui a été à jamais révolu.
(ne pas citer)
Néanmoins il y a ce patient dans mon service, un homme que je connais et que j'ai apprécié, et aujourd'hui je vois le prix à payer pour ses erreurs (quelle tête de mule) et j'observe les médecins... ce que je suis sensée devenir un jour.
Et toute admiration s'envole, faisant place à une exaspération, une rancoeur, une colère. Le patient est-il réellement un patient? Ou bien n'est-il qu'un numéro de chambre, un numéro de dossier, une opération à venir? (et sans opération à venir, qu'est-il?).
Je ne vais rien lâcher, je vais surveiller ce qu'il devient/ce qu'on le fait devenir, et secrètement je prie, secrètement j'espère, secrètement je crois (ou j'aimerais croire) que je deviendrai véritablement un meilleur médecin qu'eux. Plus humaine, pas forcément plus talentueuse, mais plus humaine.
Demain je retourne travailler, la boule au ventre... Les hommes vieillissent et s'affaissent, ceux qui m'ont vue grandir deviennent ceux qu'il faut recoucher à la fin du déjeuner pour faire leur sieste habituelle...
Combien de connaissances, à son instar, auront besoin de mon aide alors que jadis ils veillaient sur moi? Je suis, depuis quelques jours, nostalgiques de mon enfance, du temps qui passe immuablement, du passé qui ne reviendra jamais, de ce qui a été à jamais révolu.
(ne pas citer)
N
novacaine
Guest
Crepuscule, putain, y a tellement d'humanité dans ce que tu dis, tellement de vrai... même si ça s'effritera peut-être avec le temps, la routine ou les désillusions, rien que le fait qu'aujourd'hui, tu considères ton futur métier avec autant de justesse, c'est beau
Je me sens bizarre.
Je ne pensais pas avoir aussi mal.
C'est horrible d'être aussi peu considérée, de se trouver face à quelqu'un qui ne veut pas que vous soyez là.
C'est la première fois que je vis cette situation, je me rends compte que j'ai été préservée jusque là de ce mal.
Alors que ça n'est pas ce que je veux et je ne l'ai jamais voulu, bien au contraire. Je suis du genre à m'écraser à chaque fois pour apaiser les situations.
Je me suis senti tellement mal d'être là, de voir tout le stratagème employé pour m'éviter, alors que ma présence était totalement normale et légitime. J'avais presque honte de me trouver à cette endroit. Le malaise était tellement palpable que j'en ai eu la tête qui tourne.
Ca ne sera donc jamais fini, je vais toujours me sentir comme ça, tout le temps, à chaque fois... Je n'en aurai pas la force
Je ne pensais pas avoir aussi mal.
C'est horrible d'être aussi peu considérée, de se trouver face à quelqu'un qui ne veut pas que vous soyez là.
C'est la première fois que je vis cette situation, je me rends compte que j'ai été préservée jusque là de ce mal.
Alors que ça n'est pas ce que je veux et je ne l'ai jamais voulu, bien au contraire. Je suis du genre à m'écraser à chaque fois pour apaiser les situations.
Je me suis senti tellement mal d'être là, de voir tout le stratagème employé pour m'éviter, alors que ma présence était totalement normale et légitime. J'avais presque honte de me trouver à cette endroit. Le malaise était tellement palpable que j'en ai eu la tête qui tourne.
Ca ne sera donc jamais fini, je vais toujours me sentir comme ça, tout le temps, à chaque fois... Je n'en aurai pas la force
j'arrives jamais à prendre une décision dans ma vie ça j'ai trop de regretter et c'est compliqué.
Par exemple la j arrives pas a choisir des apparts et je me dis que mon indécision va me faire perdre des opportunités et je me rends compte que ça se retrouve dans d'autres choses de ma vie ça m'agace.
Par exemple la j arrives pas a choisir des apparts et je me dis que mon indécision va me faire perdre des opportunités et je me rends compte que ça se retrouve dans d'autres choses de ma vie ça m'agace.
T
Tinariwen
Guest
Mon ex m'a envoyé les papiers de dissolution du pacs.
C'est moi qui suis à l'origine de la rupture, je ne regrette pas mon choix, je ne pense pas qu'on soit vraiment compatibles et notre relation me rendait pas vraiment heureuse. Mais ça me fait mal au coeur.
Sur le papier, y'a la date de notre pacs. On est restés pacsés à peine plus d'un an. On a passé quatre ans ensemble, on a parcouru littéralement des milliers de kilomètres ensemble, j'ai été à ses côtés quand son père est mort. Et on n'est plus ensemble.
Ca a un goût d'échec, de gâchis. J'aurais aimé qu'on soit compatibles, qu'on soit heureux ensemble. J'aurais aimé que ça finisse autrement ou que ça ne commence jamais. Cette dissolution de pacs, c'est une grosse page qui se tourne, ça me fait vraiment quelque chose.
Toutes ces personnes de son entourage que j'ai connues "pour rien", tous ces efforts pour rien, tous ces sacrifices de vie. Tous ces silences qui m'ont fait souffrir, toutes nos incompréhensions.
Ca me fait peur pour l'avenir. Si toutes mes relations étaient vouées à périmer ? Si j'étais faite pour être seule dans la vie ? S'il avait raison et que je voguerai toute ma vie de relation en relation ?
C'est moi qui suis à l'origine de la rupture, je ne regrette pas mon choix, je ne pense pas qu'on soit vraiment compatibles et notre relation me rendait pas vraiment heureuse. Mais ça me fait mal au coeur.
Sur le papier, y'a la date de notre pacs. On est restés pacsés à peine plus d'un an. On a passé quatre ans ensemble, on a parcouru littéralement des milliers de kilomètres ensemble, j'ai été à ses côtés quand son père est mort. Et on n'est plus ensemble.
Ca a un goût d'échec, de gâchis. J'aurais aimé qu'on soit compatibles, qu'on soit heureux ensemble. J'aurais aimé que ça finisse autrement ou que ça ne commence jamais. Cette dissolution de pacs, c'est une grosse page qui se tourne, ça me fait vraiment quelque chose.
Toutes ces personnes de son entourage que j'ai connues "pour rien", tous ces efforts pour rien, tous ces sacrifices de vie. Tous ces silences qui m'ont fait souffrir, toutes nos incompréhensions.
Ca me fait peur pour l'avenir. Si toutes mes relations étaient vouées à périmer ? Si j'étais faite pour être seule dans la vie ? S'il avait raison et que je voguerai toute ma vie de relation en relation ?
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