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Vogel
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je pense passer en stabilisation vendredi/samedi. Je ne suis pas encore au poids souhaité mais je ne bouge plus, voire je reprends un peu. Je trouve que ça devient dangereux.
Je suis contente de réintégrer des aliments mais ça me fous les boules de ne plus bouger.
Je reste à un 46/48 en pantalon. Avec mes 47-48kgs perdus j'ai un peu de peau qui pendouille mais pas tant que ça, j'ai aussi l'impression que mon corps n'y arrive plus.
Maladie, corps qui s'arrête, en fait j'ai plus rien à perdre mais ça ne se voit pas?, je ne serais pas dire. Mais ça me gonfle, l'un de mes désirs était de voir à quoi je ressemble fine (en dessous de 42 ou 44) parce que je ne l'ai jamais été et là je me dis que je ne le serais jamais (ou uniquement par opération)
Je suis contente de réintégrer des aliments mais ça me fous les boules de ne plus bouger.
Je reste à un 46/48 en pantalon. Avec mes 47-48kgs perdus j'ai un peu de peau qui pendouille mais pas tant que ça, j'ai aussi l'impression que mon corps n'y arrive plus.
Maladie, corps qui s'arrête, en fait j'ai plus rien à perdre mais ça ne se voit pas?, je ne serais pas dire. Mais ça me gonfle, l'un de mes désirs était de voir à quoi je ressemble fine (en dessous de 42 ou 44) parce que je ne l'ai jamais été et là je me dis que je ne le serais jamais (ou uniquement par opération)
@Vogel en fait, courage dabord.
Tu parles de s'aigrir, ca me marque car perso jai l'impression que je deviens presque aigrie parfois (sur mon celibat arrivé à 34ans et mon desir de famille), autre sujet mais même crainte de devenir amère.
De mon côté, niveau gros/mince, je peux jurer que je préfère les hommes plutôt ronds et que les minces ne me plaisent pas du tout. Mon ex etait rond, je sais pas c'est un trait physique qui me plaît. Voilà en toute honnêteté. Je sais pas si ça arrange le reste de tes pensées négatives, sûrement pas, mais au moins la-dessus, je peux en attester à mille pour cent, c'est pas de l'hypocrisie. Donc peut être que cest pareil pour certains mecs vis-a-vis des filles rondes. Et cest pas que je me dis «ah je peux juste sortir avec des mecs pas trop beaux», vraiment pas. c'est vraiment que je trouve que ca adoucit les traits et ca donne une silhouette qui me plaît, niveau epaules, et ça va bien avec la barbe, voilà je sais pas l'expliquer....et une copine m'a confié pareil pour son mari. Courage en tous cas. Moi en tous cas qd je me sens déprimée sur mon problème, j'ai acheté un carnet pour ecrire chaque pensée opposée contrant la pensée negative c'est pas evident....mais ca marche parfois!
En fait, le plus dur c'est quil y a tjrs des exemples positifs qui contredisent la pensée négative, mais on a l'impression que pour nous ce sera pas le cas, genre j'imagine que les gens doivent te dire «y a des femmes portant une taille 46 tres heureuse en couple » (jen connais deux, en fait) et pour moi on me dit «je connais pleins de gens qui trouvent l'amour et fondent une famille après 35ans, t'inquiète, quand on se stresse pas et on est heureux on trouve» (=>injonction à la sois naturelle) MAIS c'est dur d'y croire certains jours même si c'est vrai...
.bon voilà, c'est tout ce que javais a dire ton message m'a parlé car je my suis reconnue sur la peur de s'aigrir du coup je tenvoie mon soutien!
Tu parles de s'aigrir, ca me marque car perso jai l'impression que je deviens presque aigrie parfois (sur mon celibat arrivé à 34ans et mon desir de famille), autre sujet mais même crainte de devenir amère.
De mon côté, niveau gros/mince, je peux jurer que je préfère les hommes plutôt ronds et que les minces ne me plaisent pas du tout. Mon ex etait rond, je sais pas c'est un trait physique qui me plaît. Voilà en toute honnêteté. Je sais pas si ça arrange le reste de tes pensées négatives, sûrement pas, mais au moins la-dessus, je peux en attester à mille pour cent, c'est pas de l'hypocrisie. Donc peut être que cest pareil pour certains mecs vis-a-vis des filles rondes. Et cest pas que je me dis «ah je peux juste sortir avec des mecs pas trop beaux», vraiment pas. c'est vraiment que je trouve que ca adoucit les traits et ca donne une silhouette qui me plaît, niveau epaules, et ça va bien avec la barbe, voilà je sais pas l'expliquer....et une copine m'a confié pareil pour son mari. Courage en tous cas. Moi en tous cas qd je me sens déprimée sur mon problème, j'ai acheté un carnet pour ecrire chaque pensée opposée contrant la pensée negative c'est pas evident....mais ca marche parfois!
En fait, le plus dur c'est quil y a tjrs des exemples positifs qui contredisent la pensée négative, mais on a l'impression que pour nous ce sera pas le cas, genre j'imagine que les gens doivent te dire «y a des femmes portant une taille 46 tres heureuse en couple » (jen connais deux, en fait) et pour moi on me dit «je connais pleins de gens qui trouvent l'amour et fondent une famille après 35ans, t'inquiète, quand on se stresse pas et on est heureux on trouve» (=>injonction à la sois naturelle) MAIS c'est dur d'y croire certains jours même si c'est vrai...
.bon voilà, c'est tout ce que javais a dire ton message m'a parlé car je my suis reconnue sur la peur de s'aigrir du coup je tenvoie mon soutien!
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Vogel
Guest
@missaaj Je te remercie beaucoup pour ta réponse. Il y aurait tant de points à aborder... Mais tes réflexions me parlent beaucoup. Depuis l'écriture de ce message je vais un peu mieux mais ce n'est pas la panacée. Justement, hier, quand j'étais en train de récupérer mon vélo après être allée faire des courses, j'ai entendu un groupe d'homme se moquer "d'une petite grosse" qu'ils connaissaient, qui "n'est pas moche mais qui a un peu abusé du gras quand même hahaha". J'ai l'impression que se sentir bien dans sa peau est un travail de longue haleine qui demande à se protéger constamment du monde extérieur. J'en suis toujours aussi fatiguée mais je vais mieux.
Je comprends ce que tu évoques dans la difficulté d'aller au delà de ses idées négatives et des généralités. Quand tu me dis que tu préfères les hommes ronds, je te crois, en fait. J'ai juste du mal à l'appliquer pour moi.
L'injonction à "sois naturelle, stresse pas, c'est quand on est heureux qu'on trouve" me parle totalement aussi. Tu l'évoques dans ton cas de figure (célibat à 35 ans) mais c'est aussi le genre de parole qu'on entend quand on a peu confiance en soi, ce qui enfonce plus qu'autre chose. En plus de galérer avec son corps, son âge, ou tout un tas de raisons, il faudrait complexer de complexer. Où s'arrêtent les idées reçues ?
Je te souhaite de t'épanouir également.
Je comprends ce que tu évoques dans la difficulté d'aller au delà de ses idées négatives et des généralités. Quand tu me dis que tu préfères les hommes ronds, je te crois, en fait. J'ai juste du mal à l'appliquer pour moi.
L'injonction à "sois naturelle, stresse pas, c'est quand on est heureux qu'on trouve" me parle totalement aussi. Tu l'évoques dans ton cas de figure (célibat à 35 ans) mais c'est aussi le genre de parole qu'on entend quand on a peu confiance en soi, ce qui enfonce plus qu'autre chose. En plus de galérer avec son corps, son âge, ou tout un tas de raisons, il faudrait complexer de complexer. Où s'arrêtent les idées reçues ?
Je te souhaite de t'épanouir également.
Merci pour ton message@missaaj Je te remercie beaucoup pour ta réponse. Il y aurait tant de points à aborder... Mais tes réflexions me parlent beaucoup. Depuis l'écriture de ce message je vais un peu mieux mais ce n'est pas la panacée. Justement, hier, quand j'étais en train de récupérer mon vélo après être allée faire des courses, j'ai entendu un groupe d'homme se moquer "d'une petite grosse" qu'ils connaissaient, qui "n'est pas moche mais qui a un peu abusé du gras quand même hahaha". J'ai l'impression que se sentir bien dans sa peau est un travail de longue haleine qui demande à se protéger constamment du monde extérieur. J'en suis toujours aussi fatiguée mais je vais mieux.
Je comprends ce que tu évoques dans la difficulté d'aller au delà de ses idées négatives et des généralités. Quand tu me dis que tu préfères les hommes ronds, je te crois, en fait. J'ai juste du mal à l'appliquer pour moi.
L'injonction à "sois naturelle, stresse pas, c'est quand on est heureux qu'on trouve" me parle totalement aussi. Tu l'évoques dans ton cas de figure (célibat à 35 ans) mais c'est aussi le genre de parole qu'on entend quand on a peu confiance en soi, ce qui enfonce plus qu'autre chose. En plus de galérer avec son corps, son âge, ou tout un tas de raisons, il faudrait complexer de complexer. Où s'arrêtent les idées reçues ?
Je te souhaite de t'épanouir également.
et contente de lire que tu te sens mieux aussi! Il y a des jours avec et des jours sans, et je te rejoins tout a fait qu'être bien dans sa peau c'est un travail de longue haleine! Courage a toi aussi 
Hello par ici,
Je fais juste un petit up de ce topic qui mérite d'être vu !
Petit racontage de life :
Je suis obèse depuis.. Souvent je dis "depuis toujours" sauf que ce n'est pas vrai, enfant je n'étais pas obèse. J'ai commencé à me réfugier dans la nourriture au début de l'adolescence il me semble (j'achetais des saucissons et des chips et je les cachais dans ma chambre !) et puis j'ai grossi progressivement. J'ai de la chance, je crois n'avoir jamais subi moqueries et cie liées à mon poids (ou alors j'ai de très bonnes œillères). J'ai aussi un don pour ignorer tout ce qui ne me plait pas (en mode "ouioui cause toujours tu m'intéresses") Bref, je ne sais pas trop pourquoi j'ai commencé à manger pour compenser/me réconforter, à l'époque je n'avais rien vécu de plus méchant que
(rien de violent, juste je n'ai pas envie que ce soit lisible sans être inscrit)
Depuis quelques années, mon poids me travaille. Il était relativement stable jusqu'à il y a 3 ou 4 ans puis j'ai eu des traitements qui m'ont fait encore + grossir, j'ai réussi à perdre ce poids en + puis il y a eu le confinement (et là je me suis rendue compte que le peu d'activité physique que j'avais chaque jour avait une vraie incidence sur mon poids) et j'ai repris ce poids. Bref, là, ce n'est vraiment plus possible. Il faut que j'inverse la tendance. Depuis 1 an, je me suis mise à faire du renforcement musculaire (je ne faisais pas du tout de sport avant, je suis très sédentaire) dans l'espoir de faire du musc' et d'augmenter mon métabolisme + ça fait un bout de temps que je travaille sur ma relation à la nourriture et que ça s'améliore grandement.
J'ai beau relativement bien vivre mon obésité, j'aimerais perdre du poids. Essentiellement pour pouvoir me saper plus facilement et pour bouger plus facilement (dans le sens, sans avoir l'impression d'être au bout de ma vie et sans suer 66252 litres d'eau) D'un autre côté, perdre du poids me fait flipper => J'ai peur de ressembler à un gant de toilette vide ou de ne plus me reconnaitre.
Je suis un peu frustrée parce qu'avec l'arrivée du sport dans ma vie + l'amélioration de mon alimentation (que ce soit en terme de qualité, de quantité, de satiété), je pensais que j'allais perdre bien gentiment sauf que non. Que dalle. Niet. Nada.
Breeeeeeeeeeeef, j'ai juste envie de papoter avec des personnes qui sont comme moi et qui comprennent les problématiques liées à l'obésité
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Petit racontage de life :
Je suis obèse depuis.. Souvent je dis "depuis toujours" sauf que ce n'est pas vrai, enfant je n'étais pas obèse. J'ai commencé à me réfugier dans la nourriture au début de l'adolescence il me semble (j'achetais des saucissons et des chips et je les cachais dans ma chambre !) et puis j'ai grossi progressivement. J'ai de la chance, je crois n'avoir jamais subi moqueries et cie liées à mon poids (ou alors j'ai de très bonnes œillères). J'ai aussi un don pour ignorer tout ce qui ne me plait pas (en mode "ouioui cause toujours tu m'intéresses") Bref, je ne sais pas trop pourquoi j'ai commencé à manger pour compenser/me réconforter, à l'époque je n'avais rien vécu de plus méchant que
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Depuis quelques années, mon poids me travaille. Il était relativement stable jusqu'à il y a 3 ou 4 ans puis j'ai eu des traitements qui m'ont fait encore + grossir, j'ai réussi à perdre ce poids en + puis il y a eu le confinement (et là je me suis rendue compte que le peu d'activité physique que j'avais chaque jour avait une vraie incidence sur mon poids) et j'ai repris ce poids. Bref, là, ce n'est vraiment plus possible. Il faut que j'inverse la tendance. Depuis 1 an, je me suis mise à faire du renforcement musculaire (je ne faisais pas du tout de sport avant, je suis très sédentaire) dans l'espoir de faire du musc' et d'augmenter mon métabolisme + ça fait un bout de temps que je travaille sur ma relation à la nourriture et que ça s'améliore grandement.
J'ai beau relativement bien vivre mon obésité, j'aimerais perdre du poids. Essentiellement pour pouvoir me saper plus facilement et pour bouger plus facilement (dans le sens, sans avoir l'impression d'être au bout de ma vie et sans suer 66252 litres d'eau) D'un autre côté, perdre du poids me fait flipper => J'ai peur de ressembler à un gant de toilette vide ou de ne plus me reconnaitre.
Je suis un peu frustrée parce qu'avec l'arrivée du sport dans ma vie + l'amélioration de mon alimentation (que ce soit en terme de qualité, de quantité, de satiété), je pensais que j'allais perdre bien gentiment sauf que non. Que dalle. Niet. Nada.
Breeeeeeeeeeeef, j'ai juste envie de papoter avec des personnes qui sont comme moi et qui comprennent les problématiques liées à l'obésité
Bonjour,
Je ne sais pas si ce topic est toujours d’actualité.
Je voudrais échanger avec vous car j’ai des formes généreuses (1m70 pour 95kg) et j’aime particulièrement mon corps.
Je vois beaucoup de forum pour perdre du poids et s’assumer mais je n’en ai pas trouvé de femmes qui s’aiment et qui entretiennent leurs rondeurs.
Je ne sais pas si ce topic est toujours d’actualité.
Je voudrais échanger avec vous car j’ai des formes généreuses (1m70 pour 95kg) et j’aime particulièrement mon corps.
Je vois beaucoup de forum pour perdre du poids et s’assumer mais je n’en ai pas trouvé de femmes qui s’aiment et qui entretiennent leurs rondeurs.
Je fais un petit UP du topic parce que j'avais partagé ici mon parcours pour perdre du poids et les suites de mon By-Pass réalisé en Janvier 2019. Peut-être que la suite de mon parcours intéresse des personnes ici donc voilà un petit résumé ci-dessous.
Je mets un petit rappel cependant avant que vous lisiez mon spoiler: ce témoignage est une vision très subjective d'un parcours propre à moi-même et qui ne doit en aucun cas être perçu comme un encouragement à la chirurgie bariatrique. Ces opérations sont des opérations lourdes, parfois mal vécues et souvent trop mal encadrées et elles relèvent d'un choix tout à fait propre à chaque personne et son parcours de vie. Perdre du poids a été un choix qui a fait suite à de longues années de réflexion et d'hésitation sur le sujet. je préfère le préciser car mon bilan est plutôt très positif en ce qui me concerne mais ce n'est clairement pas le cas de tous les gens qui passent par là.
J'espère que vous allez tous.tes bien en tous les cas
Je mets un petit rappel cependant avant que vous lisiez mon spoiler: ce témoignage est une vision très subjective d'un parcours propre à moi-même et qui ne doit en aucun cas être perçu comme un encouragement à la chirurgie bariatrique. Ces opérations sont des opérations lourdes, parfois mal vécues et souvent trop mal encadrées et elles relèvent d'un choix tout à fait propre à chaque personne et son parcours de vie. Perdre du poids a été un choix qui a fait suite à de longues années de réflexion et d'hésitation sur le sujet. je préfère le préciser car mon bilan est plutôt très positif en ce qui me concerne mais ce n'est clairement pas le cas de tous les gens qui passent par là.
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J'espère que vous allez tous.tes bien en tous les cas
Bon j'ai fini par me décider à aller voir le médecin pour un check-up et parler de différents soucis. Et pfff....
C'était une nouvelle médecin que je ne connaissais pas. Au premier rdv elle a eu une approche très précautionneuse, presque trop à vrai dire. Elle a pu dire des trucs du genre "avec votre léger surpoids...." (non vraiment pas, là ton euphémisme est presque embarrassant
), à un autre moment le brassard de tension ne fonctionnait pas pour moi, et au lieu de simplement dire qu'il était trop petit, elle m'a sorti que j'avais une forme de bras pas commun "un peu en triangle" qui ne prenait pas ....... Oui d'accord
Le second rdv a été la déprime totale. Pas de grossophobie claire, ouf, mais quand même des résultats sanguins qui indiquent un potentiel risque de cholestérol et un "pré-diabète"/résistance à l'insuline bref truc chiant parce que je consomme trop de sucre.
Et là elle m'a conseillé de voir un endocrinologue qui s'y connait mieux sur le sujet, et qui pourra me proposer un accompagnement global: diéteticienne et potentiellement un traitement pour l'insuline.
Quand je lui ai demandé ce que je devais faire par rapport au cholestérol/sucre, elle m'a vraiment sorti "oh avec l'accompagnement d'une diéteticienne ca va aller, tout va suivre" ...... Genre t'es vraiment en train de me dire que je vais voir une dame qui va faire un truc magique et le lendemain je vais maigrir et ne plus avoir de problème avec la bouffe? Sérieusement t'es au courant que ca fait plus de 15ans que je suis grosse avec des prises de poids importantes par phases, et que par ailleurs tu ne m'as pas demandé si j'avais des TCA ? Comme si les médecins ne se cassaient pas les dents sur les problèmes de poids depuis des décennies
Elle m'aurait prescrit un régime miracle que c'aurait été pareil.
D'un côté je croise les doigts pour que l'endocrinologue soit effectivement plus calé sur le sujet. Et en même temps j'ai juste envie de fuir devant le possible accompagnement diététique et les vérifications de mon alimentation/poids.
Depuis que je vis seule (et me suis séparée), j'ai réussis à perdre un peu de poids et bien mieux gérer mon rapport à la nourriture (avec évidemment des ratés).
Depuis que j'ai fait cette prise de sang il y a 2semaines, je me pèse tous les jours ou 2 fois par jour, j'ai eu plein de compulsions alimentaires et j'ai déjà repris 1 kg.
Bref je flippe. J'ai envie d'abandonner en route. Alors que c'était vraiment un énorme effort de retourner voir un médecin, ce que je n'ai pas fait depuis près de 10ans, à part besoin d'antibio. Et que par ailleurs je suis hyper anxieuse sur mon état de santé, et je ne veux vraiment pas entrer dans les statistiques des personnes grosses qui meurent prématurément par évitement des médecins.
Mais purée ca fait vraiment remonter tout le pire. Je ne veux pas une prescription de légumes et viande blanche. De sport. Ou de limitation du sucre.
J'ai passé 10jours avec mon frère qui est obsédé par "l'addiction au sucre" et j'ai eu envie de m'avaler plus de biscuits et chocolat que je n'ai mangé en une année. Je ne vais pas du tout gérer ce genre de discours. Déjà que la généraliste a commencé à me sortir qu'il fallait que je mange de la salade en début de repas pour manger moins de féculents et maigrir. Je flippe.
Moi jusque là je tentais juste de gérer mon rapport au corps, essayer de m'accepter et vivre avec moi-même. Mais comment on fait quand on entre dans le stéréotype de personne grosse qui ne fait pas de sport et risque plein de maladies en fait?
J'ai pas envie là.
Edit:
C'était une nouvelle médecin que je ne connaissais pas. Au premier rdv elle a eu une approche très précautionneuse, presque trop à vrai dire. Elle a pu dire des trucs du genre "avec votre léger surpoids...." (non vraiment pas, là ton euphémisme est presque embarrassant
), à un autre moment le brassard de tension ne fonctionnait pas pour moi, et au lieu de simplement dire qu'il était trop petit, elle m'a sorti que j'avais une forme de bras pas commun "un peu en triangle" qui ne prenait pas ....... Oui d'accord Le second rdv a été la déprime totale. Pas de grossophobie claire, ouf, mais quand même des résultats sanguins qui indiquent un potentiel risque de cholestérol et un "pré-diabète"/résistance à l'insuline bref truc chiant parce que je consomme trop de sucre.
Et là elle m'a conseillé de voir un endocrinologue qui s'y connait mieux sur le sujet, et qui pourra me proposer un accompagnement global: diéteticienne et potentiellement un traitement pour l'insuline.
Quand je lui ai demandé ce que je devais faire par rapport au cholestérol/sucre, elle m'a vraiment sorti "oh avec l'accompagnement d'une diéteticienne ca va aller, tout va suivre" ...... Genre t'es vraiment en train de me dire que je vais voir une dame qui va faire un truc magique et le lendemain je vais maigrir et ne plus avoir de problème avec la bouffe? Sérieusement t'es au courant que ca fait plus de 15ans que je suis grosse avec des prises de poids importantes par phases, et que par ailleurs tu ne m'as pas demandé si j'avais des TCA ? Comme si les médecins ne se cassaient pas les dents sur les problèmes de poids depuis des décennies
Elle m'aurait prescrit un régime miracle que c'aurait été pareil.D'un côté je croise les doigts pour que l'endocrinologue soit effectivement plus calé sur le sujet. Et en même temps j'ai juste envie de fuir devant le possible accompagnement diététique et les vérifications de mon alimentation/poids.
Depuis que je vis seule (et me suis séparée), j'ai réussis à perdre un peu de poids et bien mieux gérer mon rapport à la nourriture (avec évidemment des ratés).
Depuis que j'ai fait cette prise de sang il y a 2semaines, je me pèse tous les jours ou 2 fois par jour, j'ai eu plein de compulsions alimentaires et j'ai déjà repris 1 kg.
Bref je flippe. J'ai envie d'abandonner en route. Alors que c'était vraiment un énorme effort de retourner voir un médecin, ce que je n'ai pas fait depuis près de 10ans, à part besoin d'antibio. Et que par ailleurs je suis hyper anxieuse sur mon état de santé, et je ne veux vraiment pas entrer dans les statistiques des personnes grosses qui meurent prématurément par évitement des médecins.
Mais purée ca fait vraiment remonter tout le pire. Je ne veux pas une prescription de légumes et viande blanche. De sport. Ou de limitation du sucre.
J'ai passé 10jours avec mon frère qui est obsédé par "l'addiction au sucre" et j'ai eu envie de m'avaler plus de biscuits et chocolat que je n'ai mangé en une année. Je ne vais pas du tout gérer ce genre de discours. Déjà que la généraliste a commencé à me sortir qu'il fallait que je mange de la salade en début de repas pour manger moins de féculents et maigrir. Je flippe.
Moi jusque là je tentais juste de gérer mon rapport au corps, essayer de m'accepter et vivre avec moi-même. Mais comment on fait quand on entre dans le stéréotype de personne grosse qui ne fait pas de sport et risque plein de maladies en fait?
J'ai pas envie là.
Edit:
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Dernière édition :
@Olive° Je fais partie de ces personnes grosses qui ne font pas trop de sport et qui refusent de faire un régime et j'ai le droit en fait ! Je parviens à perdre un peu de poids quand je me sens bien dans ma peau et à mon rythme et faire de son mieux je pense que c'est déjà suffisant 
@Olive° Pas de soucis pour le temps de réponse ^^ et bon courage avec tout ça, quoi que tu décides de faire 
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