luunabulle;4746190 a dit :@Ingifridr J'ai plein de questions a te poser si tu veux bien !ingifridr;4089030 a dit :Salut @aerodynamic !
On reste sur un français très normalisé. Personnellement, venir de France a été un atout dans mes études au Québec car je n'avais aucun mal a détecter les anglicismes que les autres étudiants ne voyaient même pas.
Est ce que tu pourrais m'en dire un peu plus sur le niveau de traduction du "baccalauréat" ?
J'ai une licence d'anglais LLCE, est ce un equivalent, ou le niveau au dessus ?
est ce que tu sais s'il y a l'equivalent d'un master en traduction ? Pas facile de comprendre leur site internet et qu'est ce qui correspond a quoi avec les niveaux qui ne sont pas equivalent...
tu étais plus orientée traduction littéraire ou technique ?
Les diplomes peuvent être reconnus en france ?
Voila c'est deja pas mal pour l'instant ! merci d'avance
Salut !
C'est drôle que tu donnes suite aujourd'hui à ce vieux message que j'avais posté, car c'était mon premier jour de boulot comme traductrice !
Pour répondre à tes questions, le baccalauréat au Québec est l'équivalent de la licence en France (3 ans).
Oui il existe des masters en traduction, appelées maîtrises, c'est 2 ans de plus après le bac. D'après ce que j'en sais, c'est beaucoup de recherche. Le bac est le niveau demandé par la plupart des employeurs ici.
Dans mon programme, la traduction n'est pas divisée entre littéraire et technique, il y a une base de cours obligatoires (par exemple : Traduction avancée ou Outils informatiques des langagiers), et des cours à options, il y a un nombre minimal à choisir chaque trimestre, donc tu es libre de piocher dans le juridique, le médical, le financier, l'adaptation publicitaire, la traduction littéraire, les cours de la théorie de la traduction, la révision, et même des introductions à l'interprétariat.
Pour ce qui est de la reconnaissance des diplômes en Europe, je ne m'y suis jamais intéressée, je ne peux donc pas répondre à cette question. C'est quelque chose à ne pas prendre à la légère si tu veux retourner chez toi ensuite, mais je pense que dans le cadre d'un échange universitaire, il y a moins de risques de se retrouver sans rien de retour chez soi.
J'espère t'avoir aidée, n'hésite pas si tu as d'autres questions !

mais t'es pas obligée de répondre 
). J'ai donc choisi de devenir interprète d'abord, avec la combinaison anglais-danois, que je travaille depuis les bacheliers. La formation est très axée sur la pratique, on avait au moins six heures de simultanée par semaine dans chaque langues, trois heures de consécutive et une en retour (donc vers la langue étrangère). J'avais aussi deux heures de traduction à vue par semaine dans chaque langue et des cours de français (encore et toujours). En première master, on participe aux ateliers de traduction qui nous mettent en situation réelle pendant deux semaines d'un bureau de tard (c'était obligatoire pour les interprètes) et en deuxième Master : stage et mémoire. J'ai fait un mémoire de traduction depuis l'anglais.
). J'ai aussi fait un stage de deux mois où j'étais chef de projet dans une agence de traduction et j'ai adoré, je me suis vraiment éclatée.

Y'a vraiment que dans ma région actuelle qu'on parle ma variété et que mes services pourraient intéresser des gens, mais je me vois absolument pas vivre ici toute ma vie. C'est compliquééé 