Je ne reviendrais pas sur la question de l'illégalité, ça l'est en plus d'encourir un risque au pénal et au civil ce qui est une chose déjà qu'il faudrait prévenir parce que oui il n'y a pas atteinte à la personne mais le domicile est considéré à de nombreux égards comme une extension de la personne
Quant à la vengeance, en ayant quelques bases historiques, ça a toujours été un palliatif à l'absence de droit, de normes et un cadre dans les sociétés.
Mais ce qui m'a troublé c'est surtout cette valorisation de la colère féminine et le fait d'avoir le droit à l'immoralité. Tout au long des articles, on explique que l'éducation des garçons posent problèmes, qu'il faut apprendre à se contrôler, à exprimer ses émotions sans les retenir et sans violence ... Bref, tout ça pour après dire que les femmes ont le droit d'être en colère et qu'on leur apprend à tout accepter.
Et autant hausser le ton, taper du pied et dire quand il y a un problème est un truc que j'essaye de réaliser et d'entraîner les plus jeunes à le faire. Mais je ne vois pas l'intérêt de vouloir tout déglinguer en se disant qu'on nous a appris à ne le faire donc il faut le faire. C'est problématique dans l'éducation masculine, ça l'est autant une femme qui laisse sa colère la contrôler. Ce n'est pas être une personne parfaite, mais avoir l'égalité n'est pas traîner tout le monde vers le bas et je trouve sur ce point le témoignage problématique
Je dis ça dans une remise en question, pour signaler que je n'en pouvais plus d'une amitié toxique et créer une engueulade assez grosse pour régler le problème, j'avais caché les affaires de la personne et rendu après une demi heure de recherche. Et déjà c'était pas bien mature
Pour finir sur une note positive, au moins elle ne se retourne pas contre l'autre fille et ça s'est bien
Quant à la vengeance, en ayant quelques bases historiques, ça a toujours été un palliatif à l'absence de droit, de normes et un cadre dans les sociétés.
Mais ce qui m'a troublé c'est surtout cette valorisation de la colère féminine et le fait d'avoir le droit à l'immoralité. Tout au long des articles, on explique que l'éducation des garçons posent problèmes, qu'il faut apprendre à se contrôler, à exprimer ses émotions sans les retenir et sans violence ... Bref, tout ça pour après dire que les femmes ont le droit d'être en colère et qu'on leur apprend à tout accepter.
Et autant hausser le ton, taper du pied et dire quand il y a un problème est un truc que j'essaye de réaliser et d'entraîner les plus jeunes à le faire. Mais je ne vois pas l'intérêt de vouloir tout déglinguer en se disant qu'on nous a appris à ne le faire donc il faut le faire. C'est problématique dans l'éducation masculine, ça l'est autant une femme qui laisse sa colère la contrôler. Ce n'est pas être une personne parfaite, mais avoir l'égalité n'est pas traîner tout le monde vers le bas et je trouve sur ce point le témoignage problématique
Je dis ça dans une remise en question, pour signaler que je n'en pouvais plus d'une amitié toxique et créer une engueulade assez grosse pour régler le problème, j'avais caché les affaires de la personne et rendu après une demi heure de recherche. Et déjà c'était pas bien mature
Pour finir sur une note positive, au moins elle ne se retourne pas contre l'autre fille et ça s'est bien
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