J'ai entamé Là où chantent les écrevisses (de Delia Owens), mais je n'ai pas accroché tant que ça. Les descriptions des paysages, l'ambiance m'ont plu, l'écriture également, mais je n'ai pas réussi à me laisser emporter par l'histoire.
Je n'ai pas aimé le côté "born sexy yesterday" du personnage principal. Elle a toute ma sympathie mais les descriptions type "sauvageonne sexy belle gosse au naturel hyper douée dans tout ce qu'elle entreprend" m'a agacée.
J'attendais plus de nuances dans son traitement. Et les relations amoureuses H/F me fatiguent dans les romans, j'ai besoin d'autre chose.
Je me suis donc donné le droit de le laisser en attente, et de commencer La religion de ma mère (de Karim Akouche) à la place. Je viens de le terminer, j'ai l'impression que toutes mes émotions ont été retournées et triturées dans tous les sens !
J'avais un peu de mal avec le style haché (phrases très courtes) au début, mais je m'y suis vite habituée. Il correspond bien à la sensation que me laisse ce livre : le souffle court et une grosse boule dans la gorge. Je ne peux même pas trop juger la qualité de l'oeuvre puisque les sujets évoqués appellent à une réaction viscérale en moi.
Une lecture douloureuse, mais nécessaire, que j'ai beaucoup appréciée. Un peu étonnée par la fin : SPOIL je ne m'attendais sincèrement pas à une telle descente aux enfers, j'espérais quelque chose de plus doux, à l'image de son amour pour sa mère. J'imagine que j'ai beaucoup calqué mes propres ressentis sur les siens, ce qui veut dire que je me suis vraiment laissée happer par cette oeuvre !
Je n'ai pas aimé le côté "born sexy yesterday" du personnage principal. Elle a toute ma sympathie mais les descriptions type "sauvageonne sexy belle gosse au naturel hyper douée dans tout ce qu'elle entreprend" m'a agacée.
J'attendais plus de nuances dans son traitement. Et les relations amoureuses H/F me fatiguent dans les romans, j'ai besoin d'autre chose.
Je me suis donc donné le droit de le laisser en attente, et de commencer La religion de ma mère (de Karim Akouche) à la place. Je viens de le terminer, j'ai l'impression que toutes mes émotions ont été retournées et triturées dans tous les sens !
J'avais un peu de mal avec le style haché (phrases très courtes) au début, mais je m'y suis vite habituée. Il correspond bien à la sensation que me laisse ce livre : le souffle court et une grosse boule dans la gorge. Je ne peux même pas trop juger la qualité de l'oeuvre puisque les sujets évoqués appellent à une réaction viscérale en moi.
Une lecture douloureuse, mais nécessaire, que j'ai beaucoup appréciée. Un peu étonnée par la fin : SPOIL je ne m'attendais sincèrement pas à une telle descente aux enfers, j'espérais quelque chose de plus doux, à l'image de son amour pour sa mère. J'imagine que j'ai beaucoup calqué mes propres ressentis sur les siens, ce qui veut dire que je me suis vraiment laissée happer par cette oeuvre !
) de Madeline Miller (VO en anglais), le livre, dans ma PAL, me faisant de l’œil depuis plusieurs semaines. J'ai lu la VF (écrite par Christine Auché), et j'ai eu un ressenti mitigé. L'écriture m'a beaucoup dérangée. Je me suis dit que je voulais donner une seconde chance à ce roman, qui a été un best-seller, et aimé par beaucoup de personnes que j'estime.

, j'ai pouffé deux fois
– il est très rare que je rie en lisant) : il a trouvé sa place dans ma bibliothèque ! Avec Le Mont-Brûlé de Daphné du Maurier, il est dans le top 3 des “révélations”
J’avoue avoir aimé Pride and Prejudice du début à la fin, l’écriture de Jane Austen me rend heureuse et ses personnages aussi.
) : dès lors qu’un personnage féminin s’émancipe dans un roman il est qualifié de « féministe », et ça me saoule, le féminisme n’existe pas pour augmenter le nombre de ventes d’un bouquin et se faire du fric. Ceci dit (il fallait que ça sorte
) ! 
(Je suis sensible.)

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Je sais pas mais il y a de la magie, des batailles, il devrait y avoir un souffle mais non.