@Ploue Payez avec sa carte, tu pourras te dire que ça, c'est un resto que sa mère ne pourra pas notifier ! Puisque tu disais que ça te gênait qu'elle puisse se forger un avis sur vos dépenses, en citant les resto.
C'est mignon, ton interaction avec ton copain qui "évolue" m'a fait penser à mon copain et moi. On aurait pu avoir les mêmes échanges, et le même type de résolution, jusqu'à la remarque sur le fait de devenir adulte et le blotissement contre l'autre. Sauf que c'est moi qui suis dans la position de ton copain, et que tu me fais pas mal penser au mien.
Je suis heureuse de l'avoir vu toute la semaine dernière, j'en avais besoin, il arrive vraiment à m'apaiser. Mais qu'est-ce qu'il me manque... Et avec les partiels, je suis bien moins disponible, donc je me sens vraiment en manque de lui (en plus d'être épuisée de stress).
Je voudrais l'avoir chez moi toute l'année, pour me blottir contre lui chaque nuit dans mon lit, pour profiter de sa présence même quand on fait des choses de notre côté (j'aime le savoir à côté de moi, à portée de bisou), pour sentir son odeur chaque fois que j'en ai besoin. Ce qu'il me manque...
Quand il était là, il a passé des heures à essayer de faire fonctionner un émulateur, parce qu'il voulait absolument que j'ai de quoi me reposer les neurones. Il a essayé de nous trouver des jeux à faire ensemble, en sachant que cela me ferait très plaisir. Il a pris le temps de me conseiller, de me rassurer, de me dorloter dès que j'en ai eu besoin, en sachant pertinemment que j'avais un grand besoin de repos, autant physiologiquement que psychologiquement. Il est parfait, mon copain.
On a passé des moments géniaux, doux et simples, comme on aime. On a profité de l'autre sans restriction.
Ah, et on a fait des bougies. J'en ai une tonne dans mon salon, maintenant, et j'entends bien les brûler une par une.