Alors, ça a été difficile, il faisait une tête d'enterrement, il s'ouvrait pas beaucoup,j'avais envie de lui dire mais réagis bon sang, bats toi un peu.
Il a dit qu'il était chiant (autodépréciation pour se victimiser merci...), qu'on lui avait déjà dit qu'il était replié sur lui même. Que les gens de la musique c'était devenu une famille de substitution, qu'il pouvait pas s'en passer mais qu'il avait mis des limites pour moi parce qu'il avait compris qu'il allait trop loin. Mais qu'il était pas sûr que ça suffise pour moi et que ça ne serait pas toujours un problème. Que faire des choses ensemble avec le covid et les couvre feu ça avait été dur et qu'on s'était à peine vus dernièrement.
Qu'il avait fait des choses dans le sens de ce que je disais, notamment le concert ça aurait été l'occasion que je rencontre ses copains mais ça avait été annulé. Qu'il avait peur que je ne m'entende pas avec ses amis et qu'il soit obligé de faire un choix. (ça va je ne suis pas une garce, et si vraiment il passe trop de temps avec eux et que je ne les supporte pas bah je m'en irais, je ferais le choix pour lui) Qu'il allait m'inclure plus, mais petit à petit, qu'il était lent et qu'il avait un autre rythme, que ça lui semblait un ultimatum alors qu'il aurait voulu faire les choses à son rythme.
Je lui ai dit que pour passer plus de temps ensemble et faire des choses y'avait pas besoin d'attendre des années, que si nos rythmes ne pouvaient pas coller et si il pensait qu'il lui faudrait des années, moi à un moment donné, je me lasserais, je serais frustrée et je ne voulais pas de ça. Qu'il avait le droit d'avoir son rythme mais que si il savait qu'il n'était pas en mesure de m'apporter ces choses simples que je demande bah il pouvait prendre la décision qui s'impose car si il m'aimait il ne devrait pas vouloir me voir en souffrir. En plus il n'est pas du genre à beaucoup dire ses sentiments alors en face c'est un peu dur parfois de se dire que c'est réciproque. Il ne verbalise pas.
Il m'a dit qu'il ne voulait pas me perdre. On s'est couchés tous les deux un peu sonnés. Bon on a eu une sorte de "réconciliation" sur l'oreiller, il s'est donné comme jamais d'ailleurs, beaucoup plus attentif que d'habitude,mais je lui ai dit que je pensais toujours ce que j'avais dit la veille.
Résumé on est toujours ensemble mais ce n'est pas résolu ... on verra comment ça se passe au cours des prochains mois.... Je suis un peu apaisée. Je veux y croire.Mais le fait de devoir lui dire qu'il faut qu'il prenne des initiatives et s'investisse un peu dans notre relation comme il le faisait avant qu'il y ait la musique et les confinements/couvre feu, et qu'il réagisse comme ça alors que ça devrait être naturel ne m'incite pas à un grand optimisme. Peut être que je suis naïve de m'acharner....
Il a dit qu'il était chiant (autodépréciation pour se victimiser merci...), qu'on lui avait déjà dit qu'il était replié sur lui même. Que les gens de la musique c'était devenu une famille de substitution, qu'il pouvait pas s'en passer mais qu'il avait mis des limites pour moi parce qu'il avait compris qu'il allait trop loin. Mais qu'il était pas sûr que ça suffise pour moi et que ça ne serait pas toujours un problème. Que faire des choses ensemble avec le covid et les couvre feu ça avait été dur et qu'on s'était à peine vus dernièrement.
Qu'il avait fait des choses dans le sens de ce que je disais, notamment le concert ça aurait été l'occasion que je rencontre ses copains mais ça avait été annulé. Qu'il avait peur que je ne m'entende pas avec ses amis et qu'il soit obligé de faire un choix. (ça va je ne suis pas une garce, et si vraiment il passe trop de temps avec eux et que je ne les supporte pas bah je m'en irais, je ferais le choix pour lui) Qu'il allait m'inclure plus, mais petit à petit, qu'il était lent et qu'il avait un autre rythme, que ça lui semblait un ultimatum alors qu'il aurait voulu faire les choses à son rythme.
Je lui ai dit que pour passer plus de temps ensemble et faire des choses y'avait pas besoin d'attendre des années, que si nos rythmes ne pouvaient pas coller et si il pensait qu'il lui faudrait des années, moi à un moment donné, je me lasserais, je serais frustrée et je ne voulais pas de ça. Qu'il avait le droit d'avoir son rythme mais que si il savait qu'il n'était pas en mesure de m'apporter ces choses simples que je demande bah il pouvait prendre la décision qui s'impose car si il m'aimait il ne devrait pas vouloir me voir en souffrir. En plus il n'est pas du genre à beaucoup dire ses sentiments alors en face c'est un peu dur parfois de se dire que c'est réciproque. Il ne verbalise pas.
Il m'a dit qu'il ne voulait pas me perdre. On s'est couchés tous les deux un peu sonnés. Bon on a eu une sorte de "réconciliation" sur l'oreiller, il s'est donné comme jamais d'ailleurs, beaucoup plus attentif que d'habitude,mais je lui ai dit que je pensais toujours ce que j'avais dit la veille.
Résumé on est toujours ensemble mais ce n'est pas résolu ... on verra comment ça se passe au cours des prochains mois.... Je suis un peu apaisée. Je veux y croire.Mais le fait de devoir lui dire qu'il faut qu'il prenne des initiatives et s'investisse un peu dans notre relation comme il le faisait avant qu'il y ait la musique et les confinements/couvre feu, et qu'il réagisse comme ça alors que ça devrait être naturel ne m'incite pas à un grand optimisme. Peut être que je suis naïve de m'acharner....
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