Hello ! Je me joins à vous parce que je suis tombée sur le témoignage d'une fille sur tumblr qui est aromantique et sa façon de décrire ce qu'elle ressent correspond assez bien à ce que jusqu'à peu je considérais comme "être difficile" : en gros j'ai des crush assez fréquemment, mais quand ils se concrétisent et que ça devient sérieux, je ne ressens plus aucune envie d'être en relation avec la personne, du coup le peu de relations que j'ai eues ont rarement dépassé une semaine. Après avoir rompu, outre une vague culpabilité, mon sentiment le plus fort c'était un soulagement d'être à nouveau sans attaches. Quand j'imagine mon futur c'est plus des instants ("le jour où je vais me marier", "quand j'aurais un enfant") mais je ne me projette pas du tout dans une vie avec quelqu'un ? Il y a des aspects d'une relation qui me plaisent en théorie, mais l'idée d'être liée à quelqu'un m'angoisse un peu pour être honnête ^^ Et je pense que la polyamorie n'est pas du tout pour moi parce que ça demande un investissement énorme dans plusieurs relations, alors que déjà une seule ça me paraît beaucoup. 
Je pensais que c'était de l'égoïsme de ma part (vouloir seulement quelques aspects d'une relation sans investissement de ma part), mais je me suis rendue compte que j'étais très tournée vers ma famille et mes amis et que je ne voulais pas sacrifier ça pour une relation.
Je précise que ce n'est pas un problème de sexualité, hein, je suis bisexuelle et côté attirance tak-tak tout va bien
 
Du coup voilà, je suis tombée sur ce post sur l'aromantisme et ça m'a fait le même effet que quand j'ai lu la description d'introvertie : ce serait donc ça, je suis "normale", etc. Mais je voudrais savoir si quelqu'un éprouvait les mêmes choses ou au contraire voyait ça différemment.
			
			Je pensais que c'était de l'égoïsme de ma part (vouloir seulement quelques aspects d'une relation sans investissement de ma part), mais je me suis rendue compte que j'étais très tournée vers ma famille et mes amis et que je ne voulais pas sacrifier ça pour une relation.
Je précise que ce n'est pas un problème de sexualité, hein, je suis bisexuelle et côté attirance tak-tak tout va bien
Du coup voilà, je suis tombée sur ce post sur l'aromantisme et ça m'a fait le même effet que quand j'ai lu la description d'introvertie : ce serait donc ça, je suis "normale", etc. Mais je voudrais savoir si quelqu'un éprouvait les mêmes choses ou au contraire voyait ça différemment.

				
		
			
 
 
. J'ai pas spécialement envie de voir ce que ça donnera quand j'aurai 40 ans (en supposant que je sois célibataire) 
 ce qui me fait dire que je suis toujours plus ou moins aromantique.
 
  
), j'ai toujours entendu ma mère dire qu'aucune femme n'avait jamais "besoin" d'avoir un homme "dans sa vie" (surtout les lesbiennes, Maman 
), (enfin, je m'en suis aperçue encore mieux après qu'il m'ait larguée comme une merde 
), alors je me suis dit que ma mère avait raison. Donc quoi qu'il en soit, mon opinion était lié à ce qu'elle m'avait toujours "appris" à ce sujet. Aujourd'hui, j'ai compris que c'est beaucoup plus complexe que ça 
 
 




 
 ) En gros, ta compagne est amoureuse de toi, c'est-à-dire qu'elle éprouve un attachement émotionnel certain, et intense, qui n'est pas partagé de la même manière? 
 Il serait chouette d'avoir plus de témoignages! Parce que mon sentiment premier, c'est de me dire que les personnes dans des relations queerplatoniques qui ne seraient pas exclusives en soi, ce serait la norme et pas l'exception.