Sur la remarque comme quoi "on n'est pas des femmes", je pense que oui on peut dire les CF ne sont pas des femmes comme les lesbiennes : c’est-à-dire que comme on sort de la norme genrée, on n'est plus reconnue comme faisant partie du groupe "femme" par défaut et qu'il "faut" nous faire rentrer dans le rang.
Le fait de remettre en question la parentalité fondamentalement, c’est-à-dire qu'elle n'est pas nécessaire à la femme cis hétéro (ou perçu comme telle), on remet forcément en cause leur propre choix d'enfanter. Et c'est plus simple de renier ce choix en parlant d'un désir (fort parce qu'il y a de nombreux moyens d'échapper à la maternité, de la contraception à l'accouchement sous X).
Alors que nos choix (enfanter ou non) sont totalement englué dans la société et que c'est à ce niveau qu'il faut déconstruire la norme. Aucun de nos choix/identités ne sont pas lié à la société dans laquelle on vit. Et donc on fait avec. Le rappeler n'est que rarement une attaque personnelle, mais c'est souvent prit comme tel parce qu'on se dit "qu'on participe à notre propre oppression". Mais c'est ramener des oppressions structurelles à de simples relations interindividuelles alors que justement elles sont le fait de la société elle-même.
Le fait de remettre en question la parentalité fondamentalement, c’est-à-dire qu'elle n'est pas nécessaire à la femme cis hétéro (ou perçu comme telle), on remet forcément en cause leur propre choix d'enfanter. Et c'est plus simple de renier ce choix en parlant d'un désir (fort parce qu'il y a de nombreux moyens d'échapper à la maternité, de la contraception à l'accouchement sous X).
Alors que nos choix (enfanter ou non) sont totalement englué dans la société et que c'est à ce niveau qu'il faut déconstruire la norme. Aucun de nos choix/identités ne sont pas lié à la société dans laquelle on vit. Et donc on fait avec. Le rappeler n'est que rarement une attaque personnelle, mais c'est souvent prit comme tel parce qu'on se dit "qu'on participe à notre propre oppression". Mais c'est ramener des oppressions structurelles à de simples relations interindividuelles alors que justement elles sont le fait de la société elle-même.