Je me demande combien d'années/décennies il faudra laisser passer pour qu'on arrête enfin d'entendre tout le monde dire que "avoir des enfants c'est la vraie vie".
Vraiment, j'entends ça partout, tout le temps, ça m'insupporte.
Je comprends parfaitement que des parents se sentent épanouis dans leur rôle et que ce rôle soit vraiment un accomplissement pour eux, mais c'est pas un incontournable dans la vie.
En même temps, tout est orienté parentalité tout le temps donc c'est pas trop étonnant (et ça rapporte beaucoup d'argent donc c'est pas près de changer)
Vraiment, j'entends ça partout, tout le temps, ça m'insupporte.
Je comprends parfaitement que des parents se sentent épanouis dans leur rôle et que ce rôle soit vraiment un accomplissement pour eux, mais c'est pas un incontournable dans la vie.
En même temps, tout est orienté parentalité tout le temps donc c'est pas trop étonnant (et ça rapporte beaucoup d'argent donc c'est pas près de changer)

Je les ai trouvé géniaux et j’étais surtout surprise qu’à cet âge ils aient cette mentalité et en parlent librement comme ça. Je n’ai jamais eu de nouvelles après ces vacances et je ne sais pas si les deux sont encore en vie mais cœur sur eux où qu’ils soient !
ça perd totalement son intérêt. Il y a un financement participatif en cours (encore un ! Il y en a souvent), mais si c’est pour une BD quasi que thème enfants, je ne suis même pas sûr.e de la prendre

). Entre tout ça, quelques brèves d'actualité sans aucune analyse politique derrière, dont tout le monde se fout. Je ne lis quasiment plus aucun article du magazine alors qu'avant, je trouvais toujours 2-3 contenus intéressants. Ça devient d'une pauvreté abyssale, qui n'est que le reflet de l'image qu'ont les dirigeants (qui est-ce, d'ailleurs ?) des lectrices. Ça me dégoûte vraiment, c'est pas comme s'il y avait beaucoup de médias féminins qui ne prennent pas leurs lectrices pour des gourdes obsédées par le maquillage et le couple hétéro... Franchement c'est un délire la presse féminine, surtout quand on comprend à quel point ça conditionne, ça modèle nos identités ! C'est pire qu'un rouleau compresseur.