@Strawberry&Balu Je n'avais pas vu passer cette expression de "tattoo blues", du coup je suis contente de voir que je ne suis pas la seule
!
Après, je ne pense pas que ça touche tout le monde et de la même façon
(du coup, les témoignages lus m'aident à me dire "ok, c'est/c'était possible d'en passer par là, serre les dents!" mais pas à prévenir ni diminuer ce sentiment de malaise)
Par exemple, j'ai un petit frère qui a les deux bras (et main) tatoués, manque plus qu ele remplissage pour faire des manchettes, et il n'a jamais eu ce "tattoo blues". De mon côté, le 1er a été une révélation, comme s'il avait toujours été là et que le tatoueur n'avait fait que gratter la surface pour le faire apparaître. Mais le 2e, ça a été l'horreur
.
Avec le recul, je pense que la déception et la difficulté à accepter cette nouvelle marque sur son corps est proportionnelle à la dimension affective que tu donnes au tatouage. Et de mon expérience, ce qui aide à prévenir ça, c'est la préparation: mon petit frère a réfléchi et patienté avant de se faire tatouer petit à petit son "cimetière" d'image (c'est lui qui l'appelle comme ça, il a que des trucs en rapport avec la mort - en général, ou de proches). Alors qu'une amie a tout fait en quelques jours (envie => dessin=> rdv chez le tatoueur => refus de modifier son image pour adapter à son corps => tatouer dans l'heure de son arrivée => GROS dégoût quant à la pièce finale). Après 5 mois, elle regrette toujours, et vu la taille de la pièce (ça lui prend les cotes du côté gauche) ça fait cher payer le caprice

Après, je ne pense pas que ça touche tout le monde et de la même façon

Par exemple, j'ai un petit frère qui a les deux bras (et main) tatoués, manque plus qu ele remplissage pour faire des manchettes, et il n'a jamais eu ce "tattoo blues". De mon côté, le 1er a été une révélation, comme s'il avait toujours été là et que le tatoueur n'avait fait que gratter la surface pour le faire apparaître. Mais le 2e, ça a été l'horreur

Avec le recul, je pense que la déception et la difficulté à accepter cette nouvelle marque sur son corps est proportionnelle à la dimension affective que tu donnes au tatouage. Et de mon expérience, ce qui aide à prévenir ça, c'est la préparation: mon petit frère a réfléchi et patienté avant de se faire tatouer petit à petit son "cimetière" d'image (c'est lui qui l'appelle comme ça, il a que des trucs en rapport avec la mort - en général, ou de proches). Alors qu'une amie a tout fait en quelques jours (envie => dessin=> rdv chez le tatoueur => refus de modifier son image pour adapter à son corps => tatouer dans l'heure de son arrivée => GROS dégoût quant à la pièce finale). Après 5 mois, elle regrette toujours, et vu la taille de la pièce (ça lui prend les cotes du côté gauche) ça fait cher payer le caprice
