nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
@Madhiko Ben non, ce serait l'épouvantard qui prendrait la forme de son aïeule.
Est-ce qu'Ombrage ne serait pas l'Épouvantard d'une bonne partie des gens qui l'ont fréquentée en fait au bout du compte ?Franchement, à partir du tome 5, je pense que l'épouvantard de Trelawney serait simplement OmbrageOmbrage lui rappelant qu'elle ne vaut rien, lui indiquant gentiment la sortie la plus proche et une future enquête du ministère sur son compte. Je pense que Sibylle sera traumatisée d'elle à vie
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Pour moi oui, l'idée n'est pas forcément d'avoir peur de la chose qui se présente sous tes yeux, ça te renvoie juste à ce qui t'effraie le plus : il n'a pas peur de la pleine lune, il a peur au fond d'être un monstre incapable de se contrôler et qui pourrait donc blesser ou tuer des innocents, et c'est ce que l'Épouvantard lui renvoie immédiatement. Pour moi l'Épouvantard ne cherche pas en soi à faire peur là tout de suite vas-y hurle, il réactive juste une peur très puissante, qui est sans doute enfouie quelque part la plupart du temps parce que tout le monde cherche à oublier un peu ce qui l'effraie pour être capable de vivre sans se noyer dans l'angoisse.@Azelais Ce que je voulais dire, c'est que selon si on sait si c'en est un ou non, on peut avoir peur ou non. Mais en effet, dans les livres, les épouvantards ne se soucient pas de ça. Et autant quand ils incarnent une phobie (genre un serpent géant), ça marche quand même, autant je sais pas si Lupin a vraiment peur de la pleine lune quand il sait que c'est pas la vraie![]()
Pour Hermione, peut-être qu'à cette époque c'était sa plus grande peur, mais à mon avis, ne serait-ce qu'à 17 ans, son épouvantard pourrait bien avoir changé![]()
Là-dessus, je ne suis franchement pas d'accord. Alors peut-être que je n'identifie pas bien ma plus grande peur, qu'il nous faudrait un Épouvantard ou une séance d'hypnose pour pouvoir en avoir le cœur net, mais chez moi c'est parfaitement rationnel, alors que dans la vraie vie, ce qui caractérise les peurs les plus profondes, c'est justement qu'elles ne sont pas très rationnelles, qu'elles nous prennent aux tripes sans qu'on comprenne pleinement pourquoi on en a aussi peur.