Et puis, par rapport à mon post précédent, je répète que c'est quand même hyper malsain de tenter de justifier une orientation romantique et/ou sexuelle selon le degré d'affection des parents. Par définition, ce que fait l'enfant avec ses partenaires romantiques et/ou sexuel.le.s est justement - entre autres - ce qui lui permet de s'émanciper et construire des expériences hors du foyer familial. Je veux dire, ce sont des "amours" qui ne se mélangent pas
(c'est un autre débat mais c'est comme les parents jaloux des conjoints de leurs enfants alors que c'est pas comparable. Et bizarre.)
Et après j'arrête de digresser mais ça me rappelle un article du Dico des filles - ou L'Encyclo des filles, je ne sais plus - qui disait que "quand on fait l'amour, au lit, on n'est pas deux mais plusieurs : il y a aussi les parents, et les grands-parents..." En gros ça disait qu'on perpétuait implicitement un comportement amoureux observé dans notre ascendance
Ben oui, on imagine tou.te.s nos aïeux faire l'amour et on y pense pendant nos propres rapports, ça me paraît tout à fait sain
(et hétéronormé, en plus. Non parce que mes relations homo je les ai pas copiées de mes parents, au secours
)