Je suis tombé sur cet article qui remet en question les clichés habituels sur l'immigration avec des chiffres.
Et j'ai passé le week end un peu loin de tout ça parce que Sarko m'a tueR, la tuerie de Charleston c'est l'horreur absolu (le drapeau des confédérés n'a même pas été mis en berne), mon passage dans le 18e la semaine dernière qui m'a pas mal chamboulé, cette histoire d'amendement "spécial étrangers" à la loi renseignement, la petite fille Le Pen qui "ne comprend pas cette obsession pour la République" (sic) et le cas Rachel Machin qui me désarçonne pas mal (Comment de vrais noirs en arrivent à être représentés par une fausse noire ?). Tout ça saupoudré d'une dose de racisme ordinaire ("Je vais à Menton cet été, ils ont pas intérêt à faire chier les migrants" notamment), je suis fatiguée. J'en arrive à détester les gens qui se battent contre le sexisme ou l'homophobie et qu'on écoute. J'en arrive à détester les "racisés" qui se taisent ou pire, ont tellement assimilé le racisme qu'ils font tout pour être "le bon étranger". J'ai besoin de temps au pays des bisounours, je crois.
Et j'ai passé le week end un peu loin de tout ça parce que Sarko m'a tueR, la tuerie de Charleston c'est l'horreur absolu (le drapeau des confédérés n'a même pas été mis en berne), mon passage dans le 18e la semaine dernière qui m'a pas mal chamboulé, cette histoire d'amendement "spécial étrangers" à la loi renseignement, la petite fille Le Pen qui "ne comprend pas cette obsession pour la République" (sic) et le cas Rachel Machin qui me désarçonne pas mal (Comment de vrais noirs en arrivent à être représentés par une fausse noire ?). Tout ça saupoudré d'une dose de racisme ordinaire ("Je vais à Menton cet été, ils ont pas intérêt à faire chier les migrants" notamment), je suis fatiguée. J'en arrive à détester les gens qui se battent contre le sexisme ou l'homophobie et qu'on écoute. J'en arrive à détester les "racisés" qui se taisent ou pire, ont tellement assimilé le racisme qu'ils font tout pour être "le bon étranger". J'ai besoin de temps au pays des bisounours, je crois.