En même temps quand tu vois les vieux croulant qui écrivent le dictionnaire, faut pas s'étonner qu'ils aient du mal à intégrer la notion de genre non binaire... Dommage ! Car si la définition du genre était clairement indiquée dans le dictionnaire, ça faciliterait l'acceptation par le plus grand nombre ! D'ailleurs je me demande quelle est la définition du mot "Genre" dans ces mêmes dicos !
Veille Permanente Sexisme
- Initiateur de la discussion Faye
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- les essentiels
@Ada or Ardor ,@alita99 , ce qui m'énerve c'est que au final je suis surement selon la société à la fois une fille grosse et coincée qui est aussi un pute . je m'explique (quand même)
Je suis donc un pute (ou simili puisque pas enceinte au final) alors que c'est que des accidents, que c'était avec le même homme (parce que bon selon la société avec 3 différents ça aurait surement été pire) avec qui je compte finir ma vie.
Au final ça rejoint le toutes des putes sauf ma mère... Peut être leur rappeler aussi que nos mère aussi peuvent tomber enceinte par accident
bon je fais que réagir sans donner de truc intéressant à part peut être des exemples concrets pour ta colloc, @Ada or Ardor
mais ça me révulse de me faire traiter de pute ou de voir qu'au final on insulte aussi ma mère.
je vais aller regarder des chatons
Et merci les filles je m'ouvre de plus en plus au féminisme et c'est grace à vous!
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Je suis donc un pute (ou simili puisque pas enceinte au final) alors que c'est que des accidents, que c'était avec le même homme (parce que bon selon la société avec 3 différents ça aurait surement été pire) avec qui je compte finir ma vie.
Au final ça rejoint le toutes des putes sauf ma mère... Peut être leur rappeler aussi que nos mère aussi peuvent tomber enceinte par accident
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bon je fais que réagir sans donner de truc intéressant à part peut être des exemples concrets pour ta colloc, @Ada or Ardor
mais ça me révulse de me faire traiter de pute ou de voir qu'au final on insulte aussi ma mère.
je vais aller regarder des chatons
Et merci les filles je m'ouvre de plus en plus au féminisme et c'est grace à vous!
@TheLittleUnicorn Juste, j'aimerais savoir en quoi "Hommasse" est lesbophobe (et pas juste sexiste)? Il n'y a pas qu'aux lesbiennes qu'on adresse ce genre d'insulte pourtant 
(Ou alors il y a un point de vue que j'ai pas tilter 
)
(Ou alors il y a un point de vue que j'ai pas tilter )
M
Membre supprimé 146616
Guest
Suis tombée sur ce post.
Traduction de la deuxième partie:
Toute ma sympathie va à cette pauvre ado...
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Toute ma sympathie va à cette pauvre ado...
@lafeemandarine Je sais même pas quoi dire devant ça 
@titelilie Ta mère est loin d'être la seule, un médecin m'avait dit que contrairement à ce qu'on pense beaucoup de femmes déjà mères avortent*, surtout celles qui prennent la pilule (en plus si elles n'avortaient pas on les accuserait surement de faire des enfants pour la CAF 
), c'est pour ça que beaucoup passent au stérilet ensuite (et aussi à cause des hormones). Mais bon vu que quand t'es nullipare les gynécos freinent des 4 fers pour t'en placer un 
C'est normal de ne pas réussir à gérer la pilule 100% du temps car c'est un "traitement" à vie ou quasiment. Or le quotidien des personnes est très riche et il y a un million de raisons pour que ça ne marche pas alors que tu la prends (comme par exemple le fait de la vomir), surtout quand tu as des enfants.
J'ai toujours trouvé ça anormal qu'il n'y ait quasiment aucune "formation" de proposée pour les femmes qui prennent la pilule, surtout les femmes jeunes (sans compter qu'on la prescrit par défaut alors que selon le style de vue ça peut ne pas convenir du tout), alors que dans le cas d'autres traitements chroniques les personnes ont accès à des formations de ce type. J'ai l'impression qu'on veut que les femmes fassent des erreurs. D'ailleurs les marques de médicament elles mêmes pourraient proposer ce genre de chose car ça augmenterait encore l'efficacité de leur médicament (et comme leurs "clientes" sont a priori clientes jusqu'à la ménopause, ça pourrait leur donner envie de garder la pilule après un enfant). Mais bon c'est tellement facile de reporter toute la culpabilité sur les femmes que rien ne change.
* He oui, contrairement à ce qu'on pense les femmes qui avortent ne sont pas des traînées qui couchent à tour de bras sans aucune protection en se disant que de toute façon elles pourront utiliser l'avortement comme moyen de contraception (ps : je ne dis pas que ça n'existe pas mais si c'est le cas 1) ces jeunes filles ont seulement besoin d'éducation parce qu'avorter c'est pas super fun, et 2) même si elles pensent ça, on peut aussi reprocher aux nombreux mecs avec qui elle a couché de ne jamais mettre de capote).
Je ne peux pas le prouver mais je pense que ce cliché vient directement des années 60/70 au moment où tout ça a commencé à bouger car on voit bien dans cette histoire de "traînée" la peur de perdre le contrôle sur la sexualité de la femme.
), c'est pour ça que beaucoup passent au stérilet ensuite (et aussi à cause des hormones). Mais bon vu que quand t'es nullipare les gynécos freinent des 4 fers pour t'en placer un C'est normal de ne pas réussir à gérer la pilule 100% du temps car c'est un "traitement" à vie ou quasiment. Or le quotidien des personnes est très riche et il y a un million de raisons pour que ça ne marche pas alors que tu la prends (comme par exemple le fait de la vomir), surtout quand tu as des enfants.
J'ai toujours trouvé ça anormal qu'il n'y ait quasiment aucune "formation" de proposée pour les femmes qui prennent la pilule, surtout les femmes jeunes (sans compter qu'on la prescrit par défaut alors que selon le style de vue ça peut ne pas convenir du tout), alors que dans le cas d'autres traitements chroniques les personnes ont accès à des formations de ce type. J'ai l'impression qu'on veut que les femmes fassent des erreurs. D'ailleurs les marques de médicament elles mêmes pourraient proposer ce genre de chose car ça augmenterait encore l'efficacité de leur médicament (et comme leurs "clientes" sont a priori clientes jusqu'à la ménopause, ça pourrait leur donner envie de garder la pilule après un enfant). Mais bon c'est tellement facile de reporter toute la culpabilité sur les femmes que rien ne change.
* He oui, contrairement à ce qu'on pense les femmes qui avortent ne sont pas des traînées qui couchent à tour de bras sans aucune protection en se disant que de toute façon elles pourront utiliser l'avortement comme moyen de contraception (ps : je ne dis pas que ça n'existe pas mais si c'est le cas 1) ces jeunes filles ont seulement besoin d'éducation parce qu'avorter c'est pas super fun, et 2) même si elles pensent ça, on peut aussi reprocher aux nombreux mecs avec qui elle a couché de ne jamais mettre de capote).
Je ne peux pas le prouver mais je pense que ce cliché vient directement des années 60/70 au moment où tout ça a commencé à bouger car on voit bien dans cette histoire de "traînée" la peur de perdre le contrôle sur la sexualité de la femme.
@alita99 , surtout que un avortement c'est assez dur moralement (pour ma mère en tout cas) et c'est pas anodin. Je me suis renseignée dessus et bordel tu ne peux pas penser à ça comme moyen de contraception (enfin comme tu dis pas si elles sont bien renseignées)
D'ailleurs une question me vient. Les mecs qui refusent la capote, dont l'amante potentielle n'a pas de moyen de contraception et qui veulent quand même continuer. Est ce que ça existe déjà? (Je dirai oui) et est que justement il se disent au pire elle pourra avorter? (Bon si ça n'existe pas ma seconde question n'a pas lieu d'être mais j'ai vraiment un doute)
D'ailleurs une question me vient. Les mecs qui refusent la capote, dont l'amante potentielle n'a pas de moyen de contraception et qui veulent quand même continuer. Est ce que ça existe déjà? (Je dirai oui) et est que justement il se disent au pire elle pourra avorter? (Bon si ça n'existe pas ma seconde question n'a pas lieu d'être mais j'ai vraiment un doute)
@titelilie oui, ça existe, j'en ai rencontré un; pour la petite histoire, on nous avait présentés car on était tous deux célibataires, lui a voulu sexer après le premier rencard et moi pas ( pas envie); je lui ai objecté que je ne prenais pas la pilule à ce moment et lui n'avait pas de capote. Plus tard il m'a dit que, au pire, j'aurai fait une IVG. Je sais que l'IVG n'est pas le traumatisme qu'on nous décrit ( merci au site "Je vais bien, merci") mais c'est une opération chirurgicale, et le c avait décidé de ce que je ferais de mon propre corps. J'en ai aussi entendu dire qu'ils pensaient que tu pouvais légalement obliger une femme à avoir un IVG ( une sorte de pendant des tests de paternité)
@LovelyLexy 
quelle attitude profondément débectante
quelle attitude profondément débectante
@LovelyLexy , sauf que non, je vois ça de la même manière que toi c'est une opération chirurgicale, ton corps et puis ton consentement la surtout . Après au niveau du traumatisme ça dépend ma mère l'est mais bon je pense pas que ça nous ait influencé mes frères et moi ou juste pour ne pas l'imposer.
Il y a pas mal de gens qui ont des rapports non protégés sans aucune contraception (et la réticence ne vient pas forcement que du garçon). Par manque d'information surtout, beaucoup de gens imaginent que si on est au bon moment du cycle, si la personne est vierge, si retrait, etc. Il n'y a pas de risque de grossesse.
Et puis il y a énormément de gens qui pensent que "ça n'arrive qu'aux autres", et c'est valable pour tout un tas de comportement à risque.
Et sinon je suis complétement d'accord avec vous, même en se protégeant le risque 0 d'éviter une grossesse n'existe pas (rupture de préservatif + pilule du lendemain qui foire, mauvaise assimilation ou mauvais dosage de la pilule, stérilet efficace dans 99,5% des cas et qui n'évite pas les grossesses extra-utérines). Ça reste très rare bien sûr (et heureusement!) mais oui ça existe.
