Je sais que ça a pas grand chose à faire ici mais j'ai envie :
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Veille Permanente Sexisme
- Initiateur de la discussion Faye
- Date de début
-
- Mots-clés
- les essentiels
?
M
Membre supprimé 226135
Guest
@Dame Andine cogite
Haha je n'en espérais pas tant. J'ai un ras le bol passager
Édit : mais merci, je l'attendrai du coup!
Haha je n'en espérais pas tant. J'ai un ras le bol passager
Édit : mais merci, je l'attendrai du coup!
@Carabinacitron : je sais bien, je ne l'ai pas pris personnellement, ne t'en fais pas 
@Triss_Divergente : oui mais sur Madmoizelle on a la VPS 
.
Yep sinon, on m'a déjà aussi parlé de Causette en mode "trop chouette c'est féministe". Mais (outre les articles pourris qu'on a déjà évoqués) moi je bloque déjà sur le slogan... "le magazine plus féminin du cerveau que du capiton...". Alors euh, le cerveau féminin... bon ben cf. discussion précédente...
(Personnellement, je vote en faveur de la plasticité neuronale
.)
Et euh, le capiton... c'est de "l'humour"...? c'est gentiment grossophobe?
(edit pour la coquille
)
.Yep sinon, on m'a déjà aussi parlé de Causette en mode "trop chouette c'est féministe". Mais (outre les articles pourris qu'on a déjà évoqués) moi je bloque déjà sur le slogan... "le magazine plus féminin du cerveau que du capiton...". Alors euh, le cerveau féminin... bon ben cf. discussion précédente...
(Personnellement, je vote en faveur de la plasticité neuronale
.)Et euh, le capiton... c'est de "l'humour"...? c'est gentiment grossophobe?
(edit pour la coquille
)
Dernière édition :
En fait c'est "le magazine plus féminin du cerveau que du capiton"C'est moi ou leur slogan n'est pas très clair ? J'ai du relire la phrase plusieurs fois pour le comprendre et encore, parce que "le magazine plus féminin sur cerveau" j'ai du mal à saisir le sens
M
Membre supprimé 226135
Guest
@Miss Rayven
La dépression j'ai fait, et c'est vrai que j'ai mis du temps à comprendre que tout le monde ne vivait pas comme elle. Et que oui on pouvait être heureux dans la vie.
Le plus grave je dirais que malgré son mal-être évidence, les regrets et tout le taintouin, elle me dit qu'elle est heureuse. En fait y a tellement de mots qui correspondent pas à la réalité (dire que telle chose c'est de l'amour, alors qu'en fait pas du tout, que tu peux pas vivre autrement qu'en privilégiant ta carrière...) que pour moi être heureux renvoyait à sa réalité (qui est en fait une forme de dépression qu'elle nie totalement) et je voyais pas du tout comment avoir un futur un tant soit peu optimiste. Elle mz disait que j'allais finir sous les ponts si je faisais pas de bonnes etudes, que je devais pas avoir d'amoureux tant qu'elles n'étaient pas finies, que les gens étaient tous des salauds donc qu'il ne fallait compter que sur soi, et surtout être indispensable à la société etc. J'ai fait une phobie scolaire au collège qui ne m'a plus quittéë (d'autres soucis en parallèle, règles depuis, mais la phobie scolaire est restée même à la fac, travailler avant une hiérarchie me terrifie quand je vois ce qu'elle est devenue). Et elle pensait que je faisais ça pour faire "mon intéressantë" et que c'était contre elle car elle était prof (une sorte d'affront).
J'ai souvent l'air de débarquer, d'être un peu je m'en foutiste sur ma façon de vivre parce que je privilégië l'instant présent, et mes envies. Ça marchera pas toujours, mais tant que je vivrai ici (et pour l'instant ça me va, vraiment j'ai pas de quoi me plaindre) je dois me maintenir dans un mood positif, un peu insouciant pour ne pas me laisser happer par son anxiété.
Je culpabilise un peu aussi de ça, de me plaindre alors qu'il y a beaucoup d'étudiants qui seraient content d'avoir un toit décent et de quoi manger. C'est une atmosphère pénible somme toute, qui pousse à l'enlisemement...
Édité : pour la colère, je géré mieux qu'avant prce qu'on ne change pas les gens. On peut s'adapter ou non à eux. Je considère clairement qu'elle choisit le malheur. Quand elle me demande mon avis et quu'ë situation me concerne j'hésite plus à instaurer des limites et ça permet de rester calme.
La dépression j'ai fait, et c'est vrai que j'ai mis du temps à comprendre que tout le monde ne vivait pas comme elle. Et que oui on pouvait être heureux dans la vie.
Le plus grave je dirais que malgré son mal-être évidence, les regrets et tout le taintouin, elle me dit qu'elle est heureuse. En fait y a tellement de mots qui correspondent pas à la réalité (dire que telle chose c'est de l'amour, alors qu'en fait pas du tout, que tu peux pas vivre autrement qu'en privilégiant ta carrière...) que pour moi être heureux renvoyait à sa réalité (qui est en fait une forme de dépression qu'elle nie totalement) et je voyais pas du tout comment avoir un futur un tant soit peu optimiste. Elle mz disait que j'allais finir sous les ponts si je faisais pas de bonnes etudes, que je devais pas avoir d'amoureux tant qu'elles n'étaient pas finies, que les gens étaient tous des salauds donc qu'il ne fallait compter que sur soi, et surtout être indispensable à la société etc. J'ai fait une phobie scolaire au collège qui ne m'a plus quittéë (d'autres soucis en parallèle, règles depuis, mais la phobie scolaire est restée même à la fac, travailler avant une hiérarchie me terrifie quand je vois ce qu'elle est devenue). Et elle pensait que je faisais ça pour faire "mon intéressantë" et que c'était contre elle car elle était prof (une sorte d'affront).
J'ai souvent l'air de débarquer, d'être un peu je m'en foutiste sur ma façon de vivre parce que je privilégië l'instant présent, et mes envies. Ça marchera pas toujours, mais tant que je vivrai ici (et pour l'instant ça me va, vraiment j'ai pas de quoi me plaindre) je dois me maintenir dans un mood positif, un peu insouciant pour ne pas me laisser happer par son anxiété.
Je culpabilise un peu aussi de ça, de me plaindre alors qu'il y a beaucoup d'étudiants qui seraient content d'avoir un toit décent et de quoi manger. C'est une atmosphère pénible somme toute, qui pousse à l'enlisemement...
Édité : pour la colère, je géré mieux qu'avant prce qu'on ne change pas les gens. On peut s'adapter ou non à eux. Je considère clairement qu'elle choisit le malheur. Quand elle me demande mon avis et quu'ë situation me concerne j'hésite plus à instaurer des limites et ça permet de rester calme.
J'imagine que le but, c'est de montrer que la ligne édito ne se veut pas superficielle, et que magazine féminin ne veut pas forcément dire régimes et crème anti-cellulite partout (qu'il peut y avoir des articles "de fond").@Lilou la licorne : Ok, mais je comprend toujours pas ce que le "plus" vient foutre là, "magazine féminin" c'était pas suffisant pour eux ?
Et puis nos peaux d'orange les emmerdent d'abord
Après, je trouve ça quand même assez nul, y'avait quand même d'autres moyens de le dire... Là le capiton ça passe pas trop, et le fait même que nous soyions en train de nous interroger sur la pertinence et le sens de ce slogan, ça montre qu'il n'est pas très réussi, pas très percutant.
@Aethelthryth. @Lilou la licorne au temps pour moi, c'est une coquille
J'avais bien en tête "... plus féminin du cerveau..." ça n'empêche que je trouve que c'est un slogan nul et pas clair.
J'avais bien en tête "... plus féminin du cerveau..." ça n'empêche que je trouve que c'est un slogan nul et pas clair.
