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Membre supprimé 226135
Guest
@Miss Rayven
La dépression j'ai fait, et c'est vrai que j'ai mis du temps à comprendre que tout le monde ne vivait pas comme elle. Et que oui on pouvait être heureux dans la vie.
Le plus grave je dirais que malgré son mal-être évidence, les regrets et tout le taintouin, elle me dit qu'elle est heureuse. En fait y a tellement de mots qui correspondent pas à la réalité (dire que telle chose c'est de l'amour, alors qu'en fait pas du tout, que tu peux pas vivre autrement qu'en privilégiant ta carrière...) que pour moi être heureux renvoyait à sa réalité (qui est en fait une forme de dépression qu'elle nie totalement) et je voyais pas du tout comment avoir un futur un tant soit peu optimiste. Elle mz disait que j'allais finir sous les ponts si je faisais pas de bonnes etudes, que je devais pas avoir d'amoureux tant qu'elles n'étaient pas finies, que les gens étaient tous des salauds donc qu'il ne fallait compter que sur soi, et surtout être indispensable à la société etc. J'ai fait une phobie scolaire au collège qui ne m'a plus quittéë (d'autres soucis en parallèle, règles depuis, mais la phobie scolaire est restée même à la fac, travailler avant une hiérarchie me terrifie quand je vois ce qu'elle est devenue). Et elle pensait que je faisais ça pour faire "mon intéressantë" et que c'était contre elle car elle était prof (une sorte d'affront).
J'ai souvent l'air de débarquer, d'être un peu je m'en foutiste sur ma façon de vivre parce que je privilégië l'instant présent, et mes envies. Ça marchera pas toujours, mais tant que je vivrai ici (et pour l'instant ça me va, vraiment j'ai pas de quoi me plaindre) je dois me maintenir dans un mood positif, un peu insouciant pour ne pas me laisser happer par son anxiété.
Je culpabilise un peu aussi de ça, de me plaindre alors qu'il y a beaucoup d'étudiants qui seraient content d'avoir un toit décent et de quoi manger. C'est une atmosphère pénible somme toute, qui pousse à l'enlisemement...
Édité : pour la colère, je géré mieux qu'avant prce qu'on ne change pas les gens. On peut s'adapter ou non à eux. Je considère clairement qu'elle choisit le malheur. Quand elle me demande mon avis et quu'ë situation me concerne j'hésite plus à instaurer des limites et ça permet de rester calme.
La dépression j'ai fait, et c'est vrai que j'ai mis du temps à comprendre que tout le monde ne vivait pas comme elle. Et que oui on pouvait être heureux dans la vie.
Le plus grave je dirais que malgré son mal-être évidence, les regrets et tout le taintouin, elle me dit qu'elle est heureuse. En fait y a tellement de mots qui correspondent pas à la réalité (dire que telle chose c'est de l'amour, alors qu'en fait pas du tout, que tu peux pas vivre autrement qu'en privilégiant ta carrière...) que pour moi être heureux renvoyait à sa réalité (qui est en fait une forme de dépression qu'elle nie totalement) et je voyais pas du tout comment avoir un futur un tant soit peu optimiste. Elle mz disait que j'allais finir sous les ponts si je faisais pas de bonnes etudes, que je devais pas avoir d'amoureux tant qu'elles n'étaient pas finies, que les gens étaient tous des salauds donc qu'il ne fallait compter que sur soi, et surtout être indispensable à la société etc. J'ai fait une phobie scolaire au collège qui ne m'a plus quittéë (d'autres soucis en parallèle, règles depuis, mais la phobie scolaire est restée même à la fac, travailler avant une hiérarchie me terrifie quand je vois ce qu'elle est devenue). Et elle pensait que je faisais ça pour faire "mon intéressantë" et que c'était contre elle car elle était prof (une sorte d'affront).
J'ai souvent l'air de débarquer, d'être un peu je m'en foutiste sur ma façon de vivre parce que je privilégië l'instant présent, et mes envies. Ça marchera pas toujours, mais tant que je vivrai ici (et pour l'instant ça me va, vraiment j'ai pas de quoi me plaindre) je dois me maintenir dans un mood positif, un peu insouciant pour ne pas me laisser happer par son anxiété.
Je culpabilise un peu aussi de ça, de me plaindre alors qu'il y a beaucoup d'étudiants qui seraient content d'avoir un toit décent et de quoi manger. C'est une atmosphère pénible somme toute, qui pousse à l'enlisemement...
Édité : pour la colère, je géré mieux qu'avant prce qu'on ne change pas les gens. On peut s'adapter ou non à eux. Je considère clairement qu'elle choisit le malheur. Quand elle me demande mon avis et quu'ë situation me concerne j'hésite plus à instaurer des limites et ça permet de rester calme.