@Ghost wind La quasi-totalité des gens avec qui je parle du moment où ils sont devenus végé me disent que le plus dur ça a été le fromage Et pour moi ça a aussi été le cas ; je n'aimais pas trop la viande, mais le fromage on en consommait tous les jours ! Effectivement, ça rend accro à cause la caséine.
Du coup pour dériver vers une comfort food végane, il faudrait garder les sensations (par exemple un truc à tartiner, à moins que tu manges le fromage tout seul), et quelque chose qui donne la sensation de l'onctuosité. Je pensais comme ça au houmous, mais c'est peut-être un réflexe de houmousnista ^^ Il y a des aliments "santé" qui me font aussi vaguement penser au fromage, je ne sais pas pourquoi, comme la crème de fonds d'artichauts (il suffit de mixer des fonds d'artichauts cuits à la vapeur). C'est très bon en plus .
Sinon une fille m'avait passé cette recette de fromage vgl, que je n'ai jamais testée mais qui m'intrigue :
Ça sera surement pas comme le camembert mais on sait jamais, ça peut dépanner J'espère que ça ira, je te souhaite bon courage :-*
Et moi je trouve que tu es tout sauf une vegane en carton, tu es allée tellement vite dans ta "mutation" végé, je n'avais jamais personne changer toutes ses habitudes comme ca du jour au lendemain ! Je vais à pas de fourmi à côté de tes changements incroyables, moi qui tolère encore de manger "juste" végétarien à l'extérieur quand pas de plan B - et par flemme d'en chercher aussi. Consommer ce fromage ne change rien à ce que nous avons décidé d'être, c'est juste un détail à l'échelle d'un processus. Je pense aussi, en tant qu'ancienne malade, qu'il faut résolument faire confiance à son corps. Des fois notre corps nous pousse à manger un aliment parce qu'il n'en a pas fini avec cet aliment, il a besoin de l'éprouver encore une fois pour se rendre compte que ça ne lui manquera pas (et souvent on fait une dernière expérience déceptive, c'est arrivé à plein de végé que je connais). Et le corps mérite aussi d'être entendu, il a son propre rythme, on ne peut pas le forcer à tout, car il fait déjà beaucoup pour nous à subir toutes nos lubies. Mes crises de fromage en période de rémission ont duré un an, tu vois, mon corps a bien fait son intéressant pour le coup ! Mais il a fini par dire stop de lui-même. Ici on sait tou.te.s que le fromage est un produit non éthique : notre consommation de fromage fluctue en fonction des aléas car il a fait partie de toutes nos vies antérieures, mais nous avons bien cette idée en tête - nous ne nous leurrons pas et nous sommes clair.es avec nous-mêmes - et c'est le plus important dans l'histoire. Tout se mettra en place en temps et en heure, et nous serons mieux :-*
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Et moi je trouve que tu es tout sauf une vegane en carton, tu es allée tellement vite dans ta "mutation" végé, je n'avais jamais personne changer toutes ses habitudes comme ca du jour au lendemain ! Je vais à pas de fourmi à côté de tes changements incroyables, moi qui tolère encore de manger "juste" végétarien à l'extérieur quand pas de plan B - et par flemme d'en chercher aussi. Consommer ce fromage ne change rien à ce que nous avons décidé d'être, c'est juste un détail à l'échelle d'un processus. Je pense aussi, en tant qu'ancienne malade, qu'il faut résolument faire confiance à son corps. Des fois notre corps nous pousse à manger un aliment parce qu'il n'en a pas fini avec cet aliment, il a besoin de l'éprouver encore une fois pour se rendre compte que ça ne lui manquera pas (et souvent on fait une dernière expérience déceptive, c'est arrivé à plein de végé que je connais). Et le corps mérite aussi d'être entendu, il a son propre rythme, on ne peut pas le forcer à tout, car il fait déjà beaucoup pour nous à subir toutes nos lubies. Mes crises de fromage en période de rémission ont duré un an, tu vois, mon corps a bien fait son intéressant pour le coup ! Mais il a fini par dire stop de lui-même. Ici on sait tou.te.s que le fromage est un produit non éthique : notre consommation de fromage fluctue en fonction des aléas car il a fait partie de toutes nos vies antérieures, mais nous avons bien cette idée en tête - nous ne nous leurrons pas et nous sommes clair.es avec nous-mêmes - et c'est le plus important dans l'histoire. Tout se mettra en place en temps et en heure, et nous serons mieux :-*
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