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Membre supprimé 276733
Guest
Un article intéressant sur le potentiel handicapant du fait d'être HQI, si vous voulez un exemple de sources sur le propos : Quand l’intelligence élevée fragilise la construction de l’identité : comment grandit-on quand on est surdoué ?
C'est une source parmi d'autres. Elle pourrait aussi t'intéresser parce qu'elle parle de la pensée en arborescence, @Margay.
Mon copain m'avait parlé d'une étude qui mettait en évidence qu'il y avait beaucoup d'erreurs de diagnostic de HQI, qui se retrouvent dans des hôpitaux psychiatriques à cause de leurs traits caractéristiques. Je ne la retrouve pas, elle était très intéressante sur le propos, puisqu'elle montre clairement que les particularités des HQI peuvent faire qu'on va les mettre au même niveau que des malades mentaux.
C'est une source parmi d'autres. Elle pourrait aussi t'intéresser parce qu'elle parle de la pensée en arborescence, @Margay.
Mon copain m'avait parlé d'une étude qui mettait en évidence qu'il y avait beaucoup d'erreurs de diagnostic de HQI, qui se retrouvent dans des hôpitaux psychiatriques à cause de leurs traits caractéristiques. Je ne la retrouve pas, elle était très intéressante sur le propos, puisqu'elle montre clairement que les particularités des HQI peuvent faire qu'on va les mettre au même niveau que des malades mentaux.
Je trouve que tu résumes assez bien le sentiment que j'ai eu au cours du débat, avec cette phrase...La prochaine fois que des personnes non concernées de façon directe par le hqi essayeront d'expliquer pourquoi ces personnes ne sont pas en droit de s'exprimer sur leur souffrances et donc sur le validisme, je m'abstiendrai.
Ca ne doit pas être ça, pour le coup. Je pense qu'il y a eu un glissement entre les deux sujets abordés ici parallèlement, puisqu'il n'était pas spécifiquement question de handicap, mais de "points sur lesquels on va discriminer quelqu'un". Parce qu'on peut remplacer le fait d'être roux par celui d'être noir, par exemple : ce n'est pas un handicap en soi, mais le regard que les gens posent dessus peut être extrêmement négatif. Mais il est vrai que cela n'a pas des mêmes conséquences au niveau sociétal, ce n'est pas comparable.Je pense que c'est le fait que tu parles de discriminations qui ne sont pas à l'encontre des handicaps (la rousseur par exemple) qui a choqué. Car être rousse, c'est pas gênant en soi (s'il n'y avait pas les autres!), alors que l'autisme, c'est un handicap en soi, que le regard que les gens posent dessus soit positif ou négatif.

Je lis souvent çà et là des arguments du type "on n'autorise pas les femmes à être en surpoids mais quand t'es un mec et que t'es gros, ça passe crème" et pour le coup je ne suis pas d'accord du tout
Je n'ai VRAIMENT pas l'impression que les hommes gros s'en sortent bien dans notre société. Peut-être un poil plus que les femmes grosses ? Franchement, je trouve ça difficile à quantifier pour ma part. Du coup j'ai toujours été sceptique sur cette idée-là. Peut-être parce qu'un de mes cousins est obèse et j'ai pu observer à quel point il s'en prenait dans la gueule depuis son plus jeune âge (ah, la famille, cette source inépuisable de commentaires bienveillants
)