Je ne comprends pas les personnes qui, à peine sorties des w.c., sont partantes pour faire crac-crac avec leur partenaire... Je veux dire, tant mieux si ça ne les dérange pas mais en ce qui me concerne ça a plutôt tendance à tuer le désir...
Je ne comprends pas
- Initiateur de la discussion Hawley
- Date de début
-
- Mots-clés
- les essentiels
Je ne comprends pas les structures (écoles, entreprises, autres) qui, à l'heure actuelle où on est bombardé de partout par des messages du type "le gaspillage c'est mal" on nous demande encore de faire des fucking lettres de motivations manuscrites !
Sérieusement, j'essaye de réduire mon impact écologique, c'est pas évident. Mais alors quand on me demande de faire ce genre de truc ça me, pardon, troue les fesses. Parce que je sais que je vais devoir user au moins 4 ou 5 feuilles (voire le double vu qu'à l'ordi ce qui fait une page en fait 2 en manuscrit...) avant d'arriver à une version nickel.
Sérieusement, je suis à deux doigts de leur téléphoner pour leur demander pourquoi ils veulent une version manuscrite et de leur envoyer une version imprimée en expliquant qu'étant donné je souhaite faire de l'animation sociale (c'est un DUT pour l'animation sociale) autour de l'écologie et d'autres thèmes de cet ordre, ça serait bien que j'ai un minimum de cohérence et de conscience citoyenne. "Sois le changement que tu veux voir dans le monde". Namého. Et tant pis si pour ça je suis éliminée d'office, ça leur fera peut-être un peu réfléchir avant d'imposer des trucs aussi cons.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Sérieusement, j'essaye de réduire mon impact écologique, c'est pas évident. Mais alors quand on me demande de faire ce genre de truc ça me, pardon, troue les fesses. Parce que je sais que je vais devoir user au moins 4 ou 5 feuilles (voire le double vu qu'à l'ordi ce qui fait une page en fait 2 en manuscrit...) avant d'arriver à une version nickel.
Sérieusement, je suis à deux doigts de leur téléphoner pour leur demander pourquoi ils veulent une version manuscrite et de leur envoyer une version imprimée en expliquant qu'étant donné je souhaite faire de l'animation sociale (c'est un DUT pour l'animation sociale) autour de l'écologie et d'autres thèmes de cet ordre, ça serait bien que j'ai un minimum de cohérence et de conscience citoyenne. "Sois le changement que tu veux voir dans le monde". Namého. Et tant pis si pour ça je suis éliminée d'office, ça leur fera peut-être un peu réfléchir avant d'imposer des trucs aussi cons.
@Leech Ha mais je suis tellement d'accord ! 
J'y pensais même il y a une semaine, pendant que je faisais mes dossiers papiers APB (j'ai en moyenne 15 pages par dossier, sachant que j'ai une dizaine de dossiers ça fait 150 feuilles, plus toute l'encre d'imprimante qui doit être utilisée, sans compter tous mes ratés de lettres de motivation. 
) Ça me faisait super mal de voir tout ce papier gaspillé (car au final, ce n'est qu'une seule formation qui me prendra, le reste ira à la poubelle).
J'y pensais même il y a une semaine, pendant que je faisais mes dossiers papiers APB (j'ai en moyenne 15 pages par dossier, sachant que j'ai une dizaine de dossiers ça fait 150 feuilles, plus toute l'encre d'imprimante qui doit être utilisée, sans compter tous mes ratés de lettres de motivation. ) Ça me faisait super mal de voir tout ce papier gaspillé (car au final, ce n'est qu'une seule formation qui me prendra, le reste ira à la poubelle).
Et même sans entretien, pour les archives, on imprime les candidatures (du moins là où je travaille).bleue_;4667301 a dit :@Leech : Par flemme, à moins de rêver du poste en question, je ne postule pas quand il est demandé une lettre manuscrite. Mais je crains qu'au final, côté environnement, ça ne change rien : lors des entretiens, en général, ils ont ton CV et ta lettre de motivation qu'ils ont imprimée dans les mains. Et s'ils sont cinq, c'est fois cinq.
Je ne comprend pas le mec qui dit qu'il veut prendre son temps et ne pas passer à l'acte et qui te sous entend qu'il t'aime après 3 semaines --'
Le dernier article de Josée l'obsédée fait l'amûr dans les foins, me rappelle que je ne comprend pas quelle est l'excitation qu'on trouve à faire l'amour dans des lieux insolites. Dans le cas de l'article, c'est un couple qui s'embrasse et qui le fait dans le feu de l'action, donc ok c'est cool d'être en couple, d'être amoureux (ou pas), et de vivre ce genre de moments de façon imprévisible et spontanée (ça doit même être carrément trop bien en fait 
)
Bref mais j'ai du mal avec l'idée de le prévoir à l'avance, comme un fantasme à réaliser
. J'arrive pas à comprendre en quoi c'est romantique ou excitant. Comment ressentir du plaisir et se laisser aller dans un lieu où il faut se dépêcher, être à l'affût de spectateurs non désirés et où en plus on est dans une position inconfortable ?
(Tant que j'y pense je ne comprends pas non plus le délire des ambiances romantiques au cinéma. Les bougies et les pétales de rose ça mène à l'orgasme ??
)
)Bref mais j'ai du mal avec l'idée de le prévoir à l'avance, comme un fantasme à réaliser
. J'arrive pas à comprendre en quoi c'est romantique ou excitant. Comment ressentir du plaisir et se laisser aller dans un lieu où il faut se dépêcher, être à l'affût de spectateurs non désirés et où en plus on est dans une position inconfortable ?(Tant que j'y pense je ne comprends pas non plus le délire des ambiances romantiques au cinéma. Les bougies et les pétales de rose ça mène à l'orgasme ??
)
Iscambe
L'orange dit "pas de quartier !"
Pour répondre, de façon tout à fait personnelle, sur la question du cul dans des lieux inappropriés, je dirai simplement que c'est exactement ça.
J'ai une libido d'assoiffée sexuelle. Et je n'ai pas forcément envie au bon moment ni au bon endroit, et je n'ai pas de pudeur particulière. Du coup, si l'envie me prend sur la plage, sur un toit ou au milieu des champs, et que mon partenaire est plutôt d'accord, ben let's go
. Ce qui a donné des expériences particulièrement fortes, parce que même si on se laisse aller au désir, il y a toujours dans un coin de notre tête le petit radar qui nous fait flipper d'être pris sur le fait (par un voisin, un promeneur, un flic...). Le goût du danger, c'est quitte ou double. Et moi, ça marche à mort. Savoir aussi que ce n'est pas bien, que ça ne se reproduira pas de sitôt voire jamais, la spontanéité de la chose donnent aussi une saveur à ces parties de jambes en l'air. Et personnellement, je n'ai jamais eu de problèmes d'herbes qui grattent, de sable malvenu, de moustiques ou que sais-je...
Du coup, ça a toujours été très positif, ce qui m'a donné des fantasmes sur d'autres endroits qui me paraissent insensés, histoire de créer de nouveaux souvenirs sexuels aussi forts. Mais ce n'est pas parce que j'ai envie de le faire dans un jacuzzi ou sur une table de billard que je vais forcément créer l'opportunité à tout prix si je croise une table de billard ou un jacuzzi. Si l'occaz se présente, si l'envie est vraiment là, avec le bon partenaire pour ça, alors oui, ça se fera. Mais le faire histoire de cocher la case dans la liste, effectivement, ça ne me paraît pas avoir le moindre intérêt.
J'ai une libido d'assoiffée sexuelle. Et je n'ai pas forcément envie au bon moment ni au bon endroit, et je n'ai pas de pudeur particulière. Du coup, si l'envie me prend sur la plage, sur un toit ou au milieu des champs, et que mon partenaire est plutôt d'accord, ben let's go
. Ce qui a donné des expériences particulièrement fortes, parce que même si on se laisse aller au désir, il y a toujours dans un coin de notre tête le petit radar qui nous fait flipper d'être pris sur le fait (par un voisin, un promeneur, un flic...). Le goût du danger, c'est quitte ou double. Et moi, ça marche à mort. Savoir aussi que ce n'est pas bien, que ça ne se reproduira pas de sitôt voire jamais, la spontanéité de la chose donnent aussi une saveur à ces parties de jambes en l'air. Et personnellement, je n'ai jamais eu de problèmes d'herbes qui grattent, de sable malvenu, de moustiques ou que sais-je...Du coup, ça a toujours été très positif, ce qui m'a donné des fantasmes sur d'autres endroits qui me paraissent insensés, histoire de créer de nouveaux souvenirs sexuels aussi forts. Mais ce n'est pas parce que j'ai envie de le faire dans un jacuzzi ou sur une table de billard que je vais forcément créer l'opportunité à tout prix si je croise une table de billard ou un jacuzzi. Si l'occaz se présente, si l'envie est vraiment là, avec le bon partenaire pour ça, alors oui, ça se fera. Mais le faire histoire de cocher la case dans la liste, effectivement, ça ne me paraît pas avoir le moindre intérêt.
Ahah votre conversation me rappelle une anecdote à la fois drôle et gênante...
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dernière édition :
shireen-stark;4668282 a dit :@Iscambe Je t'envie un peu, parce que moi, à ce niveau-là, je suis complètemen bloquée !
En fait, je ne comprend pas comment on peut se détendre et profiter du moment quand on est susceptible d'être surpris à tout moment !
]
Tout pareil !
Iscambe
L'orange dit "pas de quartier !"
shireen-stark;4668282 a dit :En fait, je ne comprend pas comment on peut se détendre et profiter du moment quand on est susceptible d'être surpris à tout moment !
Bah être surpris ou entendu par des gens que je ne connais pas, je m'en fous, je ne les reverrai sûrement jamais. Alors que comme toi, des gens que je connais et/ou que je suis amenée à croiser régulièrement, je ne peux pas toujours. Je suis rapidement déconcentrée, pas trop dans le truc.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Dans 99% des autres cas, rien ne nous est arrivé et je m'en souviens quand même. Mais après, mon point de vue n'a pas changé par rapport à mon message de tout à l'heure. Et je comprends que ça ne plaise ou n'intéresse pas tout le monde. Et heureusement, sinon j'oserais plus aller dans la nature promener mon chien
.
_fadette;4669277 a dit :
Je pense qu'inversement, ça peut être assez violent d'être face à une personne qui défend avec beaucoup de véhémence des idéaux auxquels dans lesquels on ne se reconnait pas du tout. Enfin je sais que ça aurait tendance à me mettre sur la défensive assez rapidement. Pas forcément à cause des idées en elles-mêmes, mais parce que je me sens facilement agressée par ce genre de rhétorique et qu'en réaction je répondrais par la contradiction. C'est comme dans n'importe quel débat où tu ne laisses pas de porte de sortie à ton "adversaire", en fait.
Je ne me rappelle pas avoir déjà adopté ce genre de position (par contre j'ai déjà été celle qui fait subir ce genre de "violence symbolique" (pas sûre que ça entre dans la définition de Bourdieu mais bon
) ). Bref, je précise que je n'affirme rien quant à la situation que tu as vécue hein, j'essaye juste d'apporter une tentative d'explication au comportement auquel tu as eu affaire...
Dernière édition :
Je préviens de suite, je n'ai pas lu d'études scientifiques (médicales ou sociologiques, ou je ne sais quoi) à ce propos ; mais je suis assez méfiante face aux gens qui crient à la dépendance occasionnée par les jeux vidéos ou aux critiques sur le côté non convivial, non social ("Ca vous coupe du monde, vous ne sortez plus, etc.")
Quand j'étais petite, j'aimais beaucoup jouer à Mario ou Pokemon sur Gameboy Advance
mais plus que tout, j'aimais lire. Ca me prenait le plus clair de ma journée. Je faisais toujours reculer le couvre-feu pour lire "encore un peu", "encore un chapitre" ou au moins pour "finir mon paragraphe" , et je me levais souvent dans la nuit quand j'étais censée être couchée pour lire (même que j'avais développé une super technique pour pouvoir lire tard sans me faire engueuler : j'allais lire dans les toilettes et lorsque mes parents me disaient d'aller me coucher, je répondais invariablement "Oui oui, j'y vais, je suis juste aux toilettes là" 
). Quand je ne lisais pas, je pensais énormément à mes lectures, aux personnages, aux intrigues... j'étais hantée par certains livres (Harry Potter, A la croisée des Mondes, Le Seigneur des Anneaux, Les trois mousquetaires,...). Et soyons honnête, quand je lisais, je laissais mon frère et ma soeur jouer seuls, je n'allais pas gambader dans le jardin.
Et tout ça faisait de moi une "grosse lectrice", la "lectrice de la famille", c'était un peu rigolo, c'était bien.
Mais si on reprend ce même comportement et qu'on remplace "livre" par "jeux vidéos", ça en devient de la dépendance
Alors autant j'entends bien que quittes à se coucher tard, mieux vaut lire qu'être devant un écran, mais les autres critiques répondent un peu à un "deux poids deux mesures" j'ai l'impression, qui tiendrait d'une méfiance envers les jeux vidéos. D'ailleurs l'argument du "ça vous coupe du monde" me semble peu tenir, parce qu'on peut bien plus facilement jouer à deux à un JV que lire à deux un livre (enfin, c'est possible mais ça se fait moins quoi 
), d'autant plus qu'aujourd'hui, il y a l'air d'avoir pas mal de jeux sur lesquels on peut retrouver ses potes en ligne ou je ne sais quoi
Donc voilà, voir des parents inquiets aux JT pleurer parce que leur progéniture passent quatre heures d'affilée sur un jeu ou parce qu'ils ne sont pas en train de taper dans un ballon autrement que virtuellement me perturbe et me laisse perplexe
Quand j'étais petite, j'aimais beaucoup jouer à Mario ou Pokemon sur Gameboy Advance
mais plus que tout, j'aimais lire. Ca me prenait le plus clair de ma journée. Je faisais toujours reculer le couvre-feu pour lire "encore un peu", "encore un chapitre" ou au moins pour "finir mon paragraphe" , et je me levais souvent dans la nuit quand j'étais censée être couchée pour lire (même que j'avais développé une super technique pour pouvoir lire tard sans me faire engueuler : j'allais lire dans les toilettes et lorsque mes parents me disaient d'aller me coucher, je répondais invariablement "Oui oui, j'y vais, je suis juste aux toilettes là" ). Quand je ne lisais pas, je pensais énormément à mes lectures, aux personnages, aux intrigues... j'étais hantée par certains livres (Harry Potter, A la croisée des Mondes, Le Seigneur des Anneaux, Les trois mousquetaires,...). Et soyons honnête, quand je lisais, je laissais mon frère et ma soeur jouer seuls, je n'allais pas gambader dans le jardin.Et tout ça faisait de moi une "grosse lectrice", la "lectrice de la famille", c'était un peu rigolo, c'était bien.
Mais si on reprend ce même comportement et qu'on remplace "livre" par "jeux vidéos", ça en devient de la dépendance
Alors autant j'entends bien que quittes à se coucher tard, mieux vaut lire qu'être devant un écran, mais les autres critiques répondent un peu à un "deux poids deux mesures" j'ai l'impression, qui tiendrait d'une méfiance envers les jeux vidéos. D'ailleurs l'argument du "ça vous coupe du monde" me semble peu tenir, parce qu'on peut bien plus facilement jouer à deux à un JV que lire à deux un livre (enfin, c'est possible mais ça se fait moins quoi ), d'autant plus qu'aujourd'hui, il y a l'air d'avoir pas mal de jeux sur lesquels on peut retrouver ses potes en ligne ou je ne sais quoi Donc voilà, voir des parents inquiets aux JT pleurer parce que leur progéniture passent quatre heures d'affilée sur un jeu ou parce qu'ils ne sont pas en train de taper dans un ballon autrement que virtuellement me perturbe et me laisse perplexe
Discussions similaires
