@Jester. Les fêtes ça me saoule oui, mais je pars du principe que comme tu dis, c'est une nuisance normale et attendue de la vie en communauté, donc tant que ça reste occasionnel j'accepte de fulminer dans mon coin juste ce soir-là et c'est tout. Le problème c'est que moi mes voisins qui font des fêtes ne sont pas dans mon immeuble mais dans d'autres immeubles de la même cour, dans laquelle tout résonne joyeusement
et du coup je ne suis bien sûr jamais prévenue. Mais bon, encore une fois, ce sont des nuisances normales du quotidien en appartement. Moi je parle plutôt des types qui traînent en bas de chez moi tard le soir, nous réveillent en pleine nuit en hurlant (de rire parfois mais pas que), des gens qui mettent la musique à fond hors de toute fête, des gens qui claquent les portes à toute volée constamment, qui portent des talons chez eux... Le genre de bruits qu'on peut , et devrait selon moi, limiter par respect pour les autres, mais que la plupart des gens se permettent de faire par pur individualisme.
et du coup je ne suis bien sûr jamais prévenue. Mais bon, encore une fois, ce sont des nuisances normales du quotidien en appartement. Moi je parle plutôt des types qui traînent en bas de chez moi tard le soir, nous réveillent en pleine nuit en hurlant (de rire parfois mais pas que), des gens qui mettent la musique à fond hors de toute fête, des gens qui claquent les portes à toute volée constamment, qui portent des talons chez eux... Le genre de bruits qu'on peut , et devrait selon moi, limiter par respect pour les autres, mais que la plupart des gens se permettent de faire par pur individualisme.
et c'est vraiment la plaie, genre je me croirais au milieu de leur salon, et je n'ai aucune idée de qui sont ces gens !
Ici pendant des années j'ai entendu tous les matins la radio suffisamment fort pour que j'aie l'impression qu'elle était dans ma chambre, je ne comprenais pas, je croyais que c'était celle de ma mère, puis de la voisine d'en dessous, avant que je finisse par identifier que c'était la voisine de l'immeuble d'à côté qui est sourde comme un pot - et ne sort jamais de chez elle, donc impossible de la choper pour lui parler
Comme quoi ce n'était vraisemblablement pas si compliqué de l'écouter moins fort/de ne pas la coller à notre mur mitoyen
Aller faire les courses dans mon quartier, c'est systématiquement faire du slalom tout le trajet : trottoir-route-trottoir-route, ah zut, y'a une voiture la route ! 

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) que de penser qu'elle peut être autiste. Personnellement, c'était mon cas, à l'école on avait évoqué la possibilité de me faire passer des tests de QI (spoiler, pour en avoir passé à l'âge adulte, je suis tout à fait banale