Le coeur lourd ? C'est ici.

[Solemnia]

J'ai le coeur lourd parce que je fais des choses que j'aurai trouvé deguelasse il y'a 1 an
J'ai le coeur lourd que je ne suis plus ce que j'etais, que je changes, et que bon Dieu comme le temps passe vite ...!!
J'ai le coeur lourd parce que je ne sais plus quoi faire, que je dois choisir mais que je ne peux/veux pas , parce que je les aime, parce qu'il me rend folle, complétement folle et que ca m'etait pas arrivé depuis un moment
et enfin, j'ai le coeur lourd parce que j'avais beau dire "je ne suis pas trop pour la regle fuis moi je te suis suis moi je te fuis, je suis un peu détachée de ce genre de truc et je finis par virer le mec" en fait je me suis fait prendre au piége comme une bleue, ca marche bien et il le sait
J'ai le coeur lourd car j'ai peur des conséquences

 

[Ancien membre]

Je vais pas m'étendre sur les raisons, mais aujourd'hui j'ai le coeur lourd, lourd, lourd. Ca pèse, et paradoxalement je me sens vide, j'ai envie de rien.

J'aimerais tellement que quelqu'un me prenne dans ses bras. Ici je suis toute seule. Ici y a personne pour me faire des câlins.

 

[Sookie__]

Je suis loin. Trop loin de ma soeur qui aurait besoin de moi ce weekend.
Je suis loin. Trop loin de mon meilleur ami dont j'aurais tellement besoin. Des fois j'ai l'impression que si on parle pas de maman, c'est le seul qui croit vraiment en moi.
Je suis loin. Trop loin de l'amoureux. Qui ne raconte pas ce qu'il fait. Qui s'éloigne au fur et à mesure. Et je sais pas quoi faire. J'ai tous les jours peur de le perdre. Et je ne peux rien faire d'ici.

Je voudrais rentrer chez lui, je voudrais rentrer chez moi. Ne plus être là, dans cette ville où les gens ont beau tout faire pour ne pas me laisser seule, je n'ai pas envie de grand chose.
Il y a longtemps, j'étais deux au fond de moi. Pas vraiment de la schizophrénie hein, mais un visage avec les gens, et un autre toute seule. J'avais perdu mon acolyte. Elle est revenu. Un peu trop vite.

Et je bois trop pour moi. Et je pleurs tous les jours. Mon coeur pèse une tonne, et se déplace dans ma gorge.

 

[Coconut-Syrup]

Finalement non, je ne suis pas allée à la gare. Partager les adieux avec ta famille et tous tes amis c'était pas possible pour moi. Alors tu es venu devant chez moi, un peu. C'est dur des adieux qui durent 1 minute. En fait, c'est dur des adieux qui me rendent triste à ce point, alors que toi tu souris, si heureux de t'en aller. Tu ne m'as pas embrassé, je m'en doutais. Deux trois câlins, bisous sur la joue. C'est dur. Je crois que je vais perdre toute l'eau présente en ce moment dans mon corps. J'aimerais rester chez moi, dans mon lit à pleurer toute la journée. Mais j'ai promis que j'allais bosser, et courir ce soir. Il faut que je me bouge, sinon je vais passer 6 mois atroces à me lamenter, à pleurer, à manger, à faire n'importe quoi... Si je réagis pas maintenant ce sera trop tard. Tu me répètes que "6 mois ça passe vite". Mais j'ai l'impression que c'est une éternité.
Tu me manques déjà. Je suis abonnée à ce topic maintenant avec tout ça... En fait j'aurais pu le mettre dans "ce que j'aimerais lui dire", mais j'aimerais même pas lui dire tout ça. Je voudrais tellement qu'il pense tout le contraire, et que je pète la forme, et que ces 6 mois vont être 6 mois de folie...

 

[Ancien membre]

Je vais pas m'étendre sur les raisons, mais aujourd'hui j'ai le coeur lourd, lourd, lourd. Ca pèse, et paradoxalement je me sens vide, j'ai envie de rien.

J'aimerais tellement que quelqu'un me prenne dans ses bras. Ici je suis toute seule. Ici y a personne pour me faire des câlins.

:$

 

[Ea]

Je ne supporte plus de te croiser et de faire comme ci je ne t'avais pas vu, je pense à toi continuellement, jour comme nuit, les larmes sont toujours présentes, là au coin de mes yeux .. J'ai tellement mal ..

 

[Tromb0ne]

J'ai le coeur lourd parce que je crois que j'ai un problème de dépendance affective, je crois que pour mon bien-être il faudrait que je retourne voir ma psy...

Je suis dans le même cas, mais ma psy ne peut plus être ma psy x)
Je te soutiens

 

[Nadja__]

Mon copain a l'air de vraiment m'en vouloir, il n'a même pas dormi avec moi. Il s'est approché du lit, il a grogné et il est allé dormir dans le hamac.
C'est fou, parce que je lui ai juste reproché de ne pas me prêter assez attention un soir, j'avais juste besoin de tendresse, qu'il me serre dans ses bras quoi. Il est glacial depuis dimanche, du coup niveau tendresse je peux me brosser. Pour la première fois j'avais besoin d'être rassurée, j'avais vraiment besoin d'entendre qu'il m'aime, pfff ... Apparemment il me reproche (outre le fait que je pleure à fond parce que ça me fait mal toute cette histoire) de ne pas venir vers lui après les engueulades, mais vu comme il est froid, le regard sombre, j'ai vraiment pas le courage d'aller vers lui.

 

[Sabbat]

Ca va pas.
J'essaie de faire la femme forte, qui peut déplacer des montagnes, attraper ses problèmes à bras le corps et d'y faire face. Mais en fait j'ai envie de tout envoyer en l'air.
Rentrée depuis 3 semaines. J'ai retrouvée ma chambre que j'avais laissé comme propre et nette. Un dépôt. Tout est pris. Mes affaires ne sont donc pas rangées, tout s'entasse et je vis dans un dépotoir. J'essaie de ranger mais chaque fois je vois de nouveaux trucs qui ont été entreposés. Déjà 3 gros sacs de poubelles jetés. Et c'est toujours en friche. Et mes frères me tombent dessus pour que je la range car mes affaires ne peuvent plus être contenue seulement dans ma chambre, alors j'envahis les autres.
Voilà. Retour après un an. Je n'ai même plus mon identité, ma chambre. Comme un déni de mon existence. Et je vais où moi alors? Je n'ai nulle part. Impression de ne plus avoir de "chez moi". Je me sens déracinée et sans lieu qui pourrait m'accueillir.
Puis j'enchaine. Juste une journée de pause entre l'allemagne et les cours en france à la fac. Je suis même pas une vraie étudiante. Pas d'attestation. Ben non, écoles allemande et française se tirent dans les pattes et me font tourner en bourrique depuis 3 semaines. Et sans attestation de licence par d'inscription au master. Mais là je n'ai plus envie de me battre.
Et puis pas de vacances. En décembre j'aurai des vacances. Cela fera une année sans vacances à ce moment. C'est lourd moralement. Des horaires à la con. On m'a oublié ce soir. Retour à la maison 22h30. Adieu week end aussi. J'en ai marre de courir, de me buter à des obstacles, de les affronter et de repartir ainsi sans pause. Je dors mal, je suis fatiguée, j'ai des cernes et cela se voit.
J'ai juste envie d'appuyer sur pause et de tout envoyer balader. Mais si j'appuie sur pause je perds un rêve. Alors je dois avancer.
Ma vie c'est un peu le jeu des kaplas. Vous savez ces batonnets de bois qu'on empile pour faire des figures.
Sauf que là, la base se pète la gueule. Alors j'ai beau essayé d'arranger pour atteindre ce rêve et mes objectifs et ben, bizarrement, avec cette base, je n'y arrive pas.
Ou il est le bouton pause?
J'arrive à rien, dès que j'ai un moment justement je suis en pause. Une figurine vide car c'est les seuls instants où je peux me le permettre. Mais je culpabilise d'être posée devant mon ordi à rien foutre.
Putain. J'en ai marre et j'ai les larmes qui viennent.

 

[Fiasco]

Ma vie est une connerie.C'est le 4ème jour consécutif dans lequel je pleure la nuit jusqu'à la fatigue.

 

[Exyn.]

J'ai passé un mauvais moment hier soir, un vigile à la con qui se rinçait l'œil pendant que deux nanas s'embrassaient. Et qui ose venir dire que ce n'est pas normal. J'étais dans un état d'énervement incroyable, je lui ai fait la morale, tellement je trouvais ça irrespectueux et incorrect. Je crois que le pire c'est qu'il matait en douce et qu'ensuite il se mette à juger, à tenir des propos homophobes comme s'il pouvait se le permettre, comme si ce n'était pas puni par la loi. Je n'ai jamais eu d'excès de colère aussi intense contre quelqu'un que je ne connais pas, encore moins quelqu'un qui pourrait me me virer ou m'en foutre une, ou au moins m'immobiliser. Il n'a pas su quoi dire, quand face au gérant, il s'est rendu compte qu'il avait tord, ou tout du moins qu'il était dans le tord.
Je contiens encore cette colère en moi, j'ai envie d'aller porter plainte.

 

[Delgnat]

Gone.