Ma mère, disant à une amie à elle qu'elle avait assez confiance en ce que je disais en général. Ça m'a touchée.
Les mots qui m'ont touchée aussi, de façon générale, sont ceux des profs de français qui ont loué mes qualités d'écriture. Ils m'ont toujours fait me sentir fière.
Un mail que je viens de retrouver, d'une amie de mon père, prof de français à l'époque, à qui j'avais fait lire un début de roman (c'était en 2004, j'avais 14 ans) :
" Eh ben dis donc ! Tu peux à bon droit être un papa gâteux : c'est de la bonne graine, cette petite ! Son récit témoigne d'une maîtrise et d'une imagination que je n'ai encore jamais rencontrées chez aucun de mes élèves..."
Oh et puis encore une phrase que je viens de retrouver, toujours du même garçon, il m'en a dit des jolies celui-là :
"J'aimerais bien t'oublier pour que tu m'oublies aussi et que tu arrêtes de te torturer l'esprit à cause de moi, mais je ne peux pas t'oublier".