Je vous comprends et vous envoie pas mal de courage
.
Pour ma part, je reviens de cinq jours de vacances qui m'ont fait du bien, en pleine campagne pluvieuse et humide, avec du vent partout. J'ai eu du temps pour faire mes trucs et ça m'a fait franchement du bien. D'être "loin" de tout ce qui se passe, même si on était informés, ça permettait de prendre du recul.
Ici, toujours pas d'infos pour lundi (je bosse en école). J'aimerai vraiment qu'on ait un temps dégagé pour en parler entre enseignants, avant d'avoir les enfants, et se décharger un peu. Là, je sens qu'on va avoir des fiches au dernier moment, et que chacun fera un truc différent dans sa classe. Sans qu'on ait pu prendre du recul, justement. Et non, j'en ai pas envie. J'ai pas envie de me prendre la tête avec ces fiches, sur la meilleure manière de faire ça.
Je suis franchement fatiguée.
Dans le bon côté, je lis un livre ("enseigner le vocabulaire autrement", eveline charmeux) qui me décoiffe ! J'apprends des trucs très intéressants et ça met des mots sur des choses que je ressens quant à ma pratique d'étude de la langue (même si quelques explications supplémentaires ne seraient pas de refus, parfois). J'ai hâte d'en arriver à la partie "propositions" (parce que dénoncer, c'est cool, mais proposer, c'est pas mal aussi !).