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Mur des Lamentations
- Initiateur de la discussion Ambre
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Ce matin avant que ma mère parte faire des courses, j'ai remarqué que ses bleus dépassaient de la manche de son tee-shirt... J'ai eu envie de me flinguer sur place. Elle ne mérite pas ça.
Mais bon sinon j'ai un peu digéré, ça va mieux.
Mais bon sinon j'ai un peu digéré, ça va mieux.
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AnonymousUser
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Je lui ai dit ça pour lui faire peur, mais c'est lui qui m'a finalement quittée, "c'est ta faute, je t'adore, blablabla...", et le jour même il retrouve une fille, qu'il ramène à la soirée, j'étais dans un état pitoyable, je l'ai fracassé, c'était elle ou lui donc valait mieux que ce soit lui, puis je me suis accrochée comme un parasite lamentable et j'ai fini par dormir chez lui... J'ai envie de crever
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AnonymousUser
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AnonymousUser
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Si ce ++++++ de téléphone continue à sonner je vais faire un malheur.. (oui, j'ai un problème avec le téléphone. ><')
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AnonymousUser
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J'en ai marre de voir ma mère si mal, manipulée par un pauvre type possessif qui n'a rien avoir avec nous. Encore ils seraient ensemble, je devrais me taire mais là non, elle l'aide gentilement, sans rien demander, et il l'emprisonne. elle ne pourrait même plus rentrer chez son médecin seule, il voulait suivre, et maintenant lui fait une crise parce que je suis rentrée avec elle et lui non. Dès que je parle à ma mère, il veut tout savoir, et dit qu'on parle sur lui, sur tout..
Non mais c'est quoi ces blagues ? Et la liberté dans tout ça ? C'est pas comme si elle avait 47 ans, majeure et vaccinée mais bon..
Non mais c'est quoi ces blagues ? Et la liberté dans tout ça ? C'est pas comme si elle avait 47 ans, majeure et vaccinée mais bon..
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AnonymousUser
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Parfois, j'aimerais bien retourner en arrière, rien que pour revivre tous ces instants avec lui. Mais c'est fini, fini pour de bon. Alors j'essaie d'oublier, une bonne fois pour toute.
Ce soir ça avait bien commencé mais là il me saoule, a être sur sa console ca à l'air trop dur de passer une soirée avec moi...
Bon allez j'ai envie de me plaindre :
- Demain gros partiel (j'en ai que deux, rapport au fait que chu en prépa, donc vaut mieux pas que je le loupe), j'ai révisé disons 40 heures ... pourtant je sens que je vais le foirer, pcq je comprends pas donc j'apprends par c?ur sauf que j'ai une mémoire-passoire, je le sens maaaaal ....
- Je devais être en vacances samedi, mais j'ai une interro de rattrapage deux semaines après mes partiels, le jour où j'étais sensé me faire de l'argent avec mes copines ... génial
- Je dois passer un oral à une école où je veux pas aller, et qui risque de me faire annuler ma seule semaine de vacances de l'année ...
- Mon coeur n'a pas eu de réponses pour ses dossiers (il s'y est pris trop tard), je le sens gros comme une maison qu'il va se retrouver sans rien l'an prochain et être obligé de rentrer chez lui en province ... putain si ça arrive je me tue
- Et pour finir, je vais passer l'été seule comme une conne à rien faire, pas de vacances, pas de boulot, parce que j'attendais de savoir où mon coeur serait, résultat il part bosser loin de moi et plus possible de trouver un job désormais.
- Demain gros partiel (j'en ai que deux, rapport au fait que chu en prépa, donc vaut mieux pas que je le loupe), j'ai révisé disons 40 heures ... pourtant je sens que je vais le foirer, pcq je comprends pas donc j'apprends par c?ur sauf que j'ai une mémoire-passoire, je le sens maaaaal ....
- Je devais être en vacances samedi, mais j'ai une interro de rattrapage deux semaines après mes partiels, le jour où j'étais sensé me faire de l'argent avec mes copines ... génial
- Je dois passer un oral à une école où je veux pas aller, et qui risque de me faire annuler ma seule semaine de vacances de l'année ...
- Mon coeur n'a pas eu de réponses pour ses dossiers (il s'y est pris trop tard), je le sens gros comme une maison qu'il va se retrouver sans rien l'an prochain et être obligé de rentrer chez lui en province ... putain si ça arrive je me tue
- Et pour finir, je vais passer l'été seule comme une conne à rien faire, pas de vacances, pas de boulot, parce que j'attendais de savoir où mon coeur serait, résultat il part bosser loin de moi et plus possible de trouver un job désormais.
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AnonymousUser
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Aaanor, je vois qu'on est à peu près dans le même situation...Je venais ici pour dire en gros la même chose. Que tout me pèse. que je ne me sens bien nulle part. Je te fais des gros bisous en passant (si tu veux en parler (: )
Au stage, y a presque aucune valorisation. J'ai présenté mon projet ce matin, et ça n'a pas déclenché des foules de compliments, ça a rien déclenché du tout, juste des "il faudrait ça et ça". Je le sens qu'à leus yeux, c'est bien, mais pas sensationnel. L'un de mes chefs m'a parlé un peu après de son ancienne stagiaire "qui a fait un super boulot et une super soutenance". Je doute qu'il dise la même chose pour moi. Avec en prime, un responsable fuyant au possible et le même genre mais du côté de mon école. C'est l'indifférence (presque) totale.
Mon avenir est très incertain, pas dans le sens où je ne trouverai pas de travail (et encore...), mais dans le sens où je ne sais pas justement quel travail me plairait. J'en viens à douter de ma capacité à me fondre dans une entreprise comme un bon petit soldat. Les gens me lassent si rapidement et travailler en équipe me rend dingue au bout d'un moment. Je n'ai pas d'aptitudes extraordinaires, à part peut-être mon niveau d'anglais (mais pas bilingue) et mes capacités rédactionellles mais je vais pas aller très loin avec ça. C'est le flou complet, j'ai du mal à m'endormir, je redoute la confrontation avec mes questions incessantes et j'ai peur de ne pas trouver ls réponses.
La colocation me tape sur les nerfs. Je ne peux me retrouver vraiment seule nulle part. Je me sens pas chez moi, ça se sent au niveau du ménage que je ne fais plus aussi régulièrement, aux conversations que je ne lance plus avec mes chères (ironie ironie) colocatrices. Y a pas de cohésion et je suis, je pense, la dernière à le vouloir. Pas avec elles, enfin surtout la blondasse immature que je ne peux plus supporter.
Et pourtant rien de tout ça est grave, j'ai réussi à délivrer un projet qui marche, mes coloc sont respectueuses et propres et le marché du travail en informatique se porte assez bien. Mais ce n'est PAS ce je veux. Je sais pas ce que je veux, j'ai envie de tout lâcher souvent. J'arrête pas d'envoyer des signaux de détresse mais pas assez forts pour qu'on y prête vraiment attention. "Ca passera" qu'ils me disent. Ca fait deux mois que je suis comme ça, merde.
Au stage, y a presque aucune valorisation. J'ai présenté mon projet ce matin, et ça n'a pas déclenché des foules de compliments, ça a rien déclenché du tout, juste des "il faudrait ça et ça". Je le sens qu'à leus yeux, c'est bien, mais pas sensationnel. L'un de mes chefs m'a parlé un peu après de son ancienne stagiaire "qui a fait un super boulot et une super soutenance". Je doute qu'il dise la même chose pour moi. Avec en prime, un responsable fuyant au possible et le même genre mais du côté de mon école. C'est l'indifférence (presque) totale.
Mon avenir est très incertain, pas dans le sens où je ne trouverai pas de travail (et encore...), mais dans le sens où je ne sais pas justement quel travail me plairait. J'en viens à douter de ma capacité à me fondre dans une entreprise comme un bon petit soldat. Les gens me lassent si rapidement et travailler en équipe me rend dingue au bout d'un moment. Je n'ai pas d'aptitudes extraordinaires, à part peut-être mon niveau d'anglais (mais pas bilingue) et mes capacités rédactionellles mais je vais pas aller très loin avec ça. C'est le flou complet, j'ai du mal à m'endormir, je redoute la confrontation avec mes questions incessantes et j'ai peur de ne pas trouver ls réponses.
La colocation me tape sur les nerfs. Je ne peux me retrouver vraiment seule nulle part. Je me sens pas chez moi, ça se sent au niveau du ménage que je ne fais plus aussi régulièrement, aux conversations que je ne lance plus avec mes chères (ironie ironie) colocatrices. Y a pas de cohésion et je suis, je pense, la dernière à le vouloir. Pas avec elles, enfin surtout la blondasse immature que je ne peux plus supporter.
Et pourtant rien de tout ça est grave, j'ai réussi à délivrer un projet qui marche, mes coloc sont respectueuses et propres et le marché du travail en informatique se porte assez bien. Mais ce n'est PAS ce je veux. Je sais pas ce que je veux, j'ai envie de tout lâcher souvent. J'arrête pas d'envoyer des signaux de détresse mais pas assez forts pour qu'on y prête vraiment attention. "Ca passera" qu'ils me disent. Ca fait deux mois que je suis comme ça, merde.
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