@Ankara oui c'est souvent comme ça quand on court en ville.
Selon les moments de la journée c'est plus ou moins pratique.
L'aprem et vers 17h à la sortie de l'école il y a pleins de monde donc tout le monde te regarde.
La nuit c'est plus tranquille mais tu te prends les remarques ou regards "oh elle court toute seule la nuit, elle va se faire agresser
", mais bon l'hiver passé 16h bah oui il fait nuit le soir et je commence tôt donc je préfère courir la nuit.
Maintenant j'aime bien car le soir c'est tranquille il y a que quelques joggeurs et il fait toujours jour.
Le moment où c'est le cool aussi c'est le samedi et dimanche matin là il y a que des joggeurs et moins de badeauds lourds.
N'empêche le pire c'est quand j'étais à Paris et pourtant il y a plus de joggeurs que dans ma ville actuelle.
Mais entre le regard pervers (voir reflexions) des mecs pervers dans la rue, parc, les moqueries des bandes d'ados c'était le pire.
Mais bon après c'est de temps en temps puis je cours quand même non mais oh
.
Et surtout je me dis que moi je bouge mes fesses au lieu de rester là sans rien faire, à me foutre de ceux qui font des efforts!
Selon les moments de la journée c'est plus ou moins pratique.
L'aprem et vers 17h à la sortie de l'école il y a pleins de monde donc tout le monde te regarde.
La nuit c'est plus tranquille mais tu te prends les remarques ou regards "oh elle court toute seule la nuit, elle va se faire agresser

Maintenant j'aime bien car le soir c'est tranquille il y a que quelques joggeurs et il fait toujours jour.
Le moment où c'est le cool aussi c'est le samedi et dimanche matin là il y a que des joggeurs et moins de badeauds lourds.
N'empêche le pire c'est quand j'étais à Paris et pourtant il y a plus de joggeurs que dans ma ville actuelle.
Mais entre le regard pervers (voir reflexions) des mecs pervers dans la rue, parc, les moqueries des bandes d'ados c'était le pire.
Mais bon après c'est de temps en temps puis je cours quand même non mais oh

Et surtout je me dis que moi je bouge mes fesses au lieu de rester là sans rien faire, à me foutre de ceux qui font des efforts!
