Bon j'ai peut-être été trop radicale en jetant direct mon savon (j'en ai un peu honte en fait...). Mais j'ai eu tellement de problème de peau que je n'ose plus prendre de risque.
Petit point au passage sur les gens qui travaillent pour de grands groupes et leur esprit critique : bien sûr, il y a de tout. Mais moi qui suit en contact avec bcp de chercheurs qui travaillent pour des entreprises de toutes tailles, j'ai le sentiment que ce sont des gens qui ne se départissent jamais de leurs esprits scientifiques et de leur méthode. Je suis d'accord qu'il n'y a pas de réelle objectivité en science mais globalement, ces chercheurs ne me semblent pas plus biaisés que ceux qu'on trouve dans les labos universitaires.
En revanche, ils se mettent tous d'accord pour vouer aux gémonies les gens du marketing (pardon s'il y en a qu me lisent).
Ma collègue me racontait des dialogues surréalistes où les gens du marketing lui demandaient de lancer un projet de gel douche au lait d'olive (je pense). Et qu'elle avait beau leur expliquer que selon les reglementations légiférant ce qu'était un lait, c'était scientifiquement impossible, ils lui répondaient juste qu'elle faisait preuve de mauvaise volonté (exemple parmi de très nombreux autres).
Son point de vue à elle, c'est que même si le but premier des gros groupes est de s'enrichir (elle a fait partie des gens qui ont perdu leur travail après des décénies de bons et loyaux services pour faire plaisir aux actionnaires), ils essayent de le faire en faisant plaisir au consommateur.
Elle qui a travaillé sur des questions du type "comment faire en sorte que la peau soit plus souple au toucher après la douche ? " ou "comment éviter le voile gris sur la vaisselle qui apparait au bout d'un moment ? " ou "idem avec le voile gris sur le linge", elle s'amuse de voir que les gens reviennent en arrière, même si elle ne critique pas fondamentalement leurs raisons (elle même à une démarche écolo). Et que si on a laissé tomber le savon de marseille et autre, ça n'est pas uniquement pour enrichir les grands groupes mais aussi pour répondre aux envies des consommateurs de l'époque.
Petit point au passage sur les gens qui travaillent pour de grands groupes et leur esprit critique : bien sûr, il y a de tout. Mais moi qui suit en contact avec bcp de chercheurs qui travaillent pour des entreprises de toutes tailles, j'ai le sentiment que ce sont des gens qui ne se départissent jamais de leurs esprits scientifiques et de leur méthode. Je suis d'accord qu'il n'y a pas de réelle objectivité en science mais globalement, ces chercheurs ne me semblent pas plus biaisés que ceux qu'on trouve dans les labos universitaires.
En revanche, ils se mettent tous d'accord pour vouer aux gémonies les gens du marketing (pardon s'il y en a qu me lisent).
Ma collègue me racontait des dialogues surréalistes où les gens du marketing lui demandaient de lancer un projet de gel douche au lait d'olive (je pense). Et qu'elle avait beau leur expliquer que selon les reglementations légiférant ce qu'était un lait, c'était scientifiquement impossible, ils lui répondaient juste qu'elle faisait preuve de mauvaise volonté (exemple parmi de très nombreux autres).
Son point de vue à elle, c'est que même si le but premier des gros groupes est de s'enrichir (elle a fait partie des gens qui ont perdu leur travail après des décénies de bons et loyaux services pour faire plaisir aux actionnaires), ils essayent de le faire en faisant plaisir au consommateur.
Elle qui a travaillé sur des questions du type "comment faire en sorte que la peau soit plus souple au toucher après la douche ? " ou "comment éviter le voile gris sur la vaisselle qui apparait au bout d'un moment ? " ou "idem avec le voile gris sur le linge", elle s'amuse de voir que les gens reviennent en arrière, même si elle ne critique pas fondamentalement leurs raisons (elle même à une démarche écolo). Et que si on a laissé tomber le savon de marseille et autre, ça n'est pas uniquement pour enrichir les grands groupes mais aussi pour répondre aux envies des consommateurs de l'époque.




