[PostSecret], murmure un secret

[Musca]

Je flippe souvent de devenir "méchante", que mon côté sombre prenne le dessus je sais pas pourquoi mais je me sens constamment obligé de lutter contre mes mauvaises pensées comme si j'allais virer génie du mal si je ne restait pas vigilante.

 

[Kaléidoscope]

Je m'habille en fonction de mon horoscope donné quotidiennement à la radio.

 

[Shirakawa]

Citation:

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J'ai été la plus grosse fan de Tokio Hotel du monde, ainsi que de Bill Kaulitz. J'avais des posters de la plinte des murs jusqu'au plafond, j'ai chialé pendant une après-midi entière quand j'ai appris que pour une de leur tournée ils ne passaient pas dans ma ville (au point de vouloir en déchirer mes posters justement, je leur en voulais trop... *pas sûr que ça reste ahaha*), et j'ai encore chialé une bonne partie du seul et unique concert où je les ai vu. (alors que j'étais de moins en moins fan)
J'ai vraiment des tas d'anecdotes sur cette sombre période, mais je n'assume pas

Aha. T'habiterais pas vers Montpellier toi par hasard ? ( nan ?)
J'étais p'têtre pas la plus grosse fan mais... J'avais pas de poster dnas ma chambre, mais quand même. N'ayant jamais fait d'allemand de ma vie, j'avais un sacré repertoire de mot que je connaissais par coeur. Puis j'ai fait Toulouse. Monpellier et toulouse. Puis Bercy (obligatoire quoi ! Faire un allez-retour en avion, juste pour aller à un concert !! GNE)
Maintenant je me sens bête, mais qu'est ce que c'était BIEN !


Quand j'étais petite, j'avais une définition de l'amour assez particulière.
Mouahaha, j'me marre rien que d'y penser !
J'me disais qu'on était vraiment amoureux de quelqu'un quand on pouvait s'imaginer la personne faire caca sans que ça nous dégoûte.
C'était en maternelle, j'devais avoir dans les 6 ans. Et j'ai jamais été amoureuse à cette époque

 

[Effie Stoner]

souvent je me brosse les dents avec les brosses des gens chez qui je dors...

 

[Azwaw]

Je dors toujours la porte fermée parce que j'ai peur que quelqu'un m'observe quand je dors.
Parfois quand je marche dans la rue, il m'arrive de me retourner plusieurs fois de suite histoire de vérifier que personne n'a l'intention de me tirer une balle dans le dos. ()
Quand j'étais petite, je croyais que seules les filles pouvaient être amoureuses, mais pas les garçons.
Je déteste qu'on me touche. Qu'il s'agisse qu'on me prenne par le bras ou qu'on me tapote l'épaule, je supporte mal le contact physique...

 

[tempsdance-89]

avant je me rongeais les ongles des pieds

quand jetais petite, j'en avais marre de manger de la soupe, donc je mettais de la grenadine dedans pour qu'ils la jette et que je ne sois plus forcée a en manger

j'ai peur de mourir

 

[Leorocking]

Le Cercle est un film qui m'a réellement traumatisée.
Pendant peut-être deux ou trois ans après l'avoir vu, j'étais dans l'incapacité de dormir à proximité d'une télé. Si y'en avait une dans ma chambre (genre quand je dormais chez ma grand-mère), je la tournais. Fallait vraiment pas qu'elle soit dans mon angle de vue sinon j'étais trop mal. Et quand l'écran était tout brouillé en mode neige, je ne vous raconte même pas l'angoisse. Voui, ce film avait réussi à me faire flipper quand j'étais seule avec une télé éteinte... C'est quand même bien ridicule quand j'y pense, mais bon... J'ai vu ce film plusieurs fois (SM?) sans jamais regarder la cassette en entier. Quand j'étais au collège, j'avais reregardé ce film avec mes deux meilleures amies et elles avaient mis sur pause une tête dégueulasse de je ne sais quel personnage, et elles se bidonnaient de me voir hurler en pleurant toutes les larmes de mon corps : CHANGE !!!!!! CHANGE !!!!. Oui, je suis un cas spécial. Néanmoins j'ai enfin réussi à voir le film en entier sans me cacher les mains le jour de mes 16 ans avec mon papa.
C'était la fin du traumatisme

 

[John John]

Quand je suis sur le quai du métro et que le train arrive à mon niveau, il m'arrive de détourner les yeux par crainte que quelqu'un ait choisi ce moment et ce lieu pour mettre fin à ses jours.

 

[Candy Porno]

Je suis ce qu'on appelle un géant de fer. Je ne donne aucune indication sur mes sentiments, je ne laisse rien transparaître, je contrôle tout. Mon entourage à fait de moi une sorte de monstre. La vie, m'a tellement de fois violée, blessée, tourmentée, que j'ai mis sous clés tout ce qu'il y avait de bon en moi. Au fond, je suis cette petite fille, innocente, souvent naïve et qui se laisse prendre au jeu, lorsque on lui conte des histoires fantastiques. Fragile, douce et qui ne demande qu'à libérer cette cage doré aux sentiments.

 

[Alaska Savage.]

Je suis incroyablement parresseuse.

 

[Rosa_]

J'ai l'impression d'être une grosse hypocrite et de me mentir à moi-même... J'ai toujours été anti homophobie, malgré l'avis de mes parents et de mes amis, et pourtant quand je sortais avec une fille je me sentais comme si ce n'était pas bien. Mais d'un autre côté je me dis aussi qu'on s'est pas aimées pour les bonnes raisons... Moi je l'aimais depuis longtemps parc'que c'était la seule personne au monde à qui je me confiais, alors que je me sentais complètement abandonnée par le reste du monde, et ça me rendait trop triste qu'elle n'aie pas besoin de moi autant que moi je dépendais d'elle. Et puis un jour je lui ai montré mes cicatrices (je me scarifiais (et non je le faisais pas pour faire genre emo-kikou-toussa) ) et là ben... je pense qu'elle est vraiment tombée amoureuse de moi. Elle s'inquiétait pour moi, faisait des cauchemars, elle se mettait à boire pour oublier (à 14 - ça choque que moi ?), parlait de suicide etc parc'qu'elle assumait pas le fait de m'aimer. Un jour elle me l'a avoué et on est sorties ensemble... jusqu'à ce que me rende compte que je l'avais idéalisée et que je l'aimais pas vraiment. Je lui ai brisé le cœur, elle va pas bien du tout, et je me sens tellement mal putain. J'ai plus envie d'être proche de personne dans ma vie, c'est trop dangereux.

 

[Candy Porno]

D'apparence, on me pense froide, hautaine et indigeste. En réalité, je suis chaleureuse, simple et bonne vivante. Mais qu'on ne s'y m'éprenne pas. Je ne suis pas la gentille de service, qui ferme continuellement sa gueule, et qui se laisse faire. Je sais me taire pour mieux observer. Mais, le jour où, le point de non retour est atteint, c'est la rupture de silence. Gentille, assez bonne, mais pas conne.