Jour 3 de l'exercice de substitution : aujourd'hui c'était une tablette de côte d'or au chocolat au lait et avec des noisettes. J'ai encore voulu manger devant la télé, mais je pense que je n'étais pas assez attentive à ce que je mangeais. J'en aurais bien mangé plus, mais ça n'aurait été que de la gourmandise et non pas de la faim. D'ailleurs environ 15 min après je me suis rendue compte que j'étais arrivée à satiété mais la sensation est vraiment arrivée en décalé. Et environ 1h après j'ai été un peu écœurée.
Les 2 derniers jours, j'ai eu faim aux environs de 17h, à chaque fois j'ai mangé des fruits (parce que c'est ce qui me faisait le plus envie à ce moment là) mais hier j'ai remarqué que j'ai eu envie de chocolat aussi. Je n'ai pas cédé à l'envie car je me suis dit que j'avais quand même mangé une tablette à midi et que ça suffisait. Je pense que j'aurais mieux fait d'écouter mon envie, mais même si la culpabilité n'est pas là au moment où je mange ma tablette, elle plane quand même sur le reste de ma journée.
Mais hier soir, pour mon diner, je me suis bien rendue compte qu'il était hors de questions de manger du chocolat, je voulais un vrai repas (qui a finalement été un mélange de courgettes, carottes, chou fleur, haricots verts, riz, tofu et sauce soja). Pour autant, j'avais quand même hâte d'être à midi pour manger mon chocolat. Je pense que c'est dû au fait que je ne me l'autorise qu'à ce moment là et non pas dès que j'en ai envie
Les 2 derniers jours, j'ai eu faim aux environs de 17h, à chaque fois j'ai mangé des fruits (parce que c'est ce qui me faisait le plus envie à ce moment là) mais hier j'ai remarqué que j'ai eu envie de chocolat aussi. Je n'ai pas cédé à l'envie car je me suis dit que j'avais quand même mangé une tablette à midi et que ça suffisait. Je pense que j'aurais mieux fait d'écouter mon envie, mais même si la culpabilité n'est pas là au moment où je mange ma tablette, elle plane quand même sur le reste de ma journée.
Mais hier soir, pour mon diner, je me suis bien rendue compte qu'il était hors de questions de manger du chocolat, je voulais un vrai repas (qui a finalement été un mélange de courgettes, carottes, chou fleur, haricots verts, riz, tofu et sauce soja). Pour autant, j'avais quand même hâte d'être à midi pour manger mon chocolat. Je pense que c'est dû au fait que je ne me l'autorise qu'à ce moment là et non pas dès que j'en ai envie
, soit répondre par une question sur leur propre assiette, non mais. Enfin, comme je le disais à 
)(mais jamais devant des films/séries, plutôt en bruit de fond), mais c'est vrai que ça compromet l'exercice puisque ça t'empêche d'être focalisée sur le goût/les sensations. C'est important de suivre les directives du bouquin, et puis c'est rassurant, mais tu as le droit de manger du chocolat au repas suivant si tu en as envie, parce que t'inquiète, ça va vite te saouler ! Une blogueuse que je lisais (Pensées by Caro, elle a une rubrique Zermati si ça t'intéresse) racontait qu'elle, elle avait une obsession avec les noix de cajou. Zermati, qu'elle voyait en consultation, lui avait dit de remplacer son déj par des noix de cajou, et d'en remanger si elle avait à nouveau faim. Bref, pas de règle ! 
donc ça me conforte dans l'idée que j'ai bien grossi comme je le ressens. Mais à la lumirèe de ce que je dis au dessus, ben je suppose que quand ma vie sera stabilisée, ben ça se remettra en place tout seul
je compte b ien rester et continuer à venir me plaindre 
c'est juste que j'aimerais arriver à lacher un peu prise et à me mettre moins la pression par rapport à cette petite prise de poids ! Rester ici ne pourra qu'être bénéfique de toute façon 
! Pour les enfants, j'y pense aussi parfois. On aura un vrai impact sur ce qu'on transmettra à nos enfants, je crois que ce sera un vrai cheval de bataille pour moi. Je laisserai rien passer en terme d'injonctions, de règles, tout en essayant de les éduquer aux saveurs et à la variété. Et il est inenvisageable que qui que ce soit ose faire une remarque sur leur apparence/corpulence. Après, on peut malheureusement pas les protéger de la société. Et puis on est humaines... Ma mère ne m'a jamais rien imposé, elle m'a toujours laissé manger comme je l'entendais, ne m'a jamais fait de remarques. Toujours est-il que je l'ai toujours vu faire attention, très exigeante pour elle-même, et que je sais que ça a contribué à mes années de TCA et à ma vision du corps idéal. Elle a fait de son mieux, on fera pareil. 
(et bon courage pour le mémoire. Je suis quand même ravie d'être venue à bout de 9 ans de droit même si la de suite je suiscrevée 
Il faudrait que j'arrive à raisonner comme ça parfois !
. J'en ai fait 3 avant d'aller voir ailleurs, je ne peux donc que te donner une médaille 
.
